Big Bang ? 1 août, 2008
Posté par hiram3330 dans : Non classé , 13 commentaires
La Voûte Étoilée
vient de donner naissance,
par scissiparité volontaire,
à la Voie Lactée …
Désormais la Voûte Étoilée (www.hiram3330.unblog.fr)
se consacrera principalement à ses recherches …
alors que la Voie Lactée (www.chris.unblog.fr)
poursuivra son chemin dans le domaine de
l’Imaginaire …
Les deux espaces intemporels
restent néanmoins liées .. unis …..
car l’Espace et le Temps,
qui n’existent pas,
sont indissociables …….
Les Deux en Un
seront toujours heureux
de votre visite,
de vos commentaires,
de vos contributions … si vous le souhaitez …..
Chris
le Premier d’Août 6008
La Voûte Etoilée … 13 juin, 2008
Posté par hiram3330 dans : Chaine d'union , 14 commentaires
Le matin en me levant, je contemple les étoiles…
La voûte étoilée
C’est en levant les yeux au ciel,
tout en gardant les pieds sur terre,
qu’il nous est permis de voir,
d’observer,
d’être …
Le Sanctuaire des Grands Dieux de Samothrace – Les Cultes à Mystères 3 octobre, 2024
Posté par hiram3330 dans : Contribution , ajouter un commentaire
LE SYMBOLISME – BASE DU TRAVAIL SYMBOLIQUE 2 octobre, 2024
Posté par hiram3330 dans : Recherches & Reflexions , ajouter un commentaireLE SYMBOLISME – BASE DU TRAVAIL SYMBOLIQUE
Nous avons été et nous sommes d’ailleurs nombreux à nous interroger sur la véritable nature du Symbolisme. Nous nous interrogeons encore et toujours. Le symbolisme est la clé de voute de la Franc-Maçonnerie : son essence comme sa quintessence …
Pour m’y aider personnellement, hormis mes lectures personnelles, je me suis arrêté momentanément sur un article du Groupe de Recherche Suisse Alpina.
C’est assez fort cette explication du symbolisme.
LE SYMBOLISME, BASE DU TRAVAIL MAÇONNIQUE
Le thème de réflexion aujourd’hui soumis à votre assemblée et donc aux Loges – le symbolisme, base du travail maçonnique – est un thème traditionnel mais fondamental.
Il se distancie intentionnellement de nos préoccupations immédiates afin de nous inviter à un retour aux sources.
Nos assemblées de ce jour ont certes pour objet ponctuel de résoudre des problèmes organiques comme en rencontrent pratiquement toutes les associations. Cette tâche nécessaire est pour nous un devoir, mais ce n’est pas l’essentiel. Car nous ne sommes pas réunis seulement pour traiter de questions administratives à brève échéance.
Cette assemblée a aussi pour but de stimuler notre réflexion et celles des Loges sur la mise en œuvre de notre idéal spécifique et sur l’avenir de la Franc- Maçonnerie suisse à long terme. C’est en effet dans la durée et dans la profondeur, non dans l’éphémère et le superficiel, que la Maçonnerie trouve à la fois sa raison d’être et la force de prospérer.
La réflexion que je vous propose sur le thème du symbolisme s’articule sur trois axes :
1. Le symbolisme initiatique, cœur de la Franc-Maçonnerie
2. L’étude des symboles et la compréhension de la méthode symbolique.
3. La pratique du symbolisme dans la vie quotidienne et maçonnique.
Ω Ω Ω Ω Ω Ω Ω Ω Ω
1. Le symbolisme initiatique, cœur de la Franc-Maçonnerie
La Franc-Maçonnerie se différencie fondamentalement des autres associations de la société civile par son caractère initiatique et l’utilisation du langage symbolique.
Dès ses origines, la Franc-Maçonnerie a reposé sur deux piliers. D’une part un engagement humaniste et exotérique collectif, sur le plan culturel, social ou politique. D’autre part une mission initiatique et ésotérique, individuelle, morale et spirituelle.
L’équilibre entre ces deux axes doit être maintenu, car tous les deux répondent aux besoins de l’humanité et à l’attente des Frères.
Ce qui fait toutefois l’originalité propre de la Maçonnerie, c’est sa dimension initiatique, ses rituels et ses symboles.
Puisque l’initiation et le symbolisme font la spécificité de la Maçonnerie, il est essentiel que les Loges et les Frères concentrent leur travail sur le symbolisme initiatique.
Des rituels disent que le but de la Franc-Maçonnerie est de trouver la vérité à travers le voile des symboles. Autrement dit, le but, c’est la vérité ; le moyen d’y
accéder, c’est le symbole.
Toute la démarche maçonnique, au niveau des moyens et de la méthode, est basée sur le symbolisme, son langage et son efficacité. L’initiation en tant que
rituel est elle-même un ensemble dynamique de symboles.
Si les travaux en Loge se trouvent trop dépouillés, en qualité ou en quantité, de la richesse des rituels et de la symbolique, le travail maçonnique perd son sens et sa substance.
Comprendre la place et l’importance des symboles et des rituels initiatiques permet de mieux discerner les objectifs principaux du travail maçonnique et la finalité de l’initiation.
Le vécu des passages initiatiques, la participation aux rituels et l’étude des symboles ont pour but d’agir sur le Maçon, de façon à induire une transformation de son être.
Cette action se situe sur deux plans. D’une part, les symboles le font réfléchir, d’autre part ils agissent de manière intuitive ou inconsciente.
L’objectif premier du travail maçonnique est donc le développement personnel, l’épanouissement moral de l’être.
Son objectif collectif vient en second, car l’élévation des individus est la condition sine qua non du progrès de l’humanité.
La Franc-Maçonnerie étant initiatique, elle est par essence morale et spirituelle, dans ses fondements et dans ses buts. L’initiation, vécue comme un processus intérieur, est un cheminement vers la réalisation de soi, vers l’unité de l’être.
2. L’étude des symboles et la compréhension de la méthode symbolique
Pour améliorer le travail des Frères, il est utile d’étudier non seulement les symboles maçonniques, mais aussi de rechercher comment fonctionne le langage des symboles et comment le rituel agit sur l’initié.
L’étude des symboles eux-mêmes, la recherche sur leur interprétation et la quête intellectuelle de leur signification, tout cela est utile mais ne fait pas un initié.
Sinon les livres et les discussions suffiraient à la Maçonnerie, sans qu’elle ait besoin de Temples et de rituels.
L’homme moderne vit sous l’empire de la science et il a besoin d’explications rationnelles.
Quand il vit une initiation ou participe à une tenue, le Maçon d’aujourd’hui a envie de savoir comment cela fonctionne.
Ce désir d’explication des phénomènes symboliques et initiatiques est positif, car la compréhension objective du » comment ça marche » permet certainement de mieux vivre ou conduire les rituels, avec plus de conscience, donc de les rendre plus efficaces pour soi et pour les Frères.
La méthode symbolique et le phénomène initiatique ne relèvent pas du seul travail intellectuel. Les symboles et rituels influencent directement la psyché humaine, même sans médiation de l’intellect. C’est là une clé essentielle pour comprendre le symbolisme.
Le symbole est le langage de l’initiation, car ce que transmet l’initiation ne peut pas être exprimé par le langage ordinaire et le discours intellectuel. Le symbole s’adresse à autre chose encore qu’au mental conscient. Il s’adresse à la perception immédiate de l’émotion ou de l’intuition.
Pour bien pratiquer la Maçonnerie, il faut donc avoir tous ses sens en éveil.
Si l’on veut que le symbolisme initiatique remplisse son rôle, agisse efficacement, deux conditions sont nécessaires. D’une part, il faut en Loge que les Frères soient à l’écoute avec tout leur être, à la fois concentrés et sereins. D’autre part, il faut que les tenues soient conduites avec un maximum de sérieux et de rigueur.
Afin de sensibiliser les Frères à la nature du symbolisme, deux sujets de réflexion peuvent être intéressants.
Premièrement la différence entre les signes, qui parlent à la raison, et les symboles, qui parlent à l’être tout entier.
Deuxièmement la relation entre d’un côté le sens permanent et universel des symboles, d’un autre côté leur interprétation et leur perception personnelle.
Symbolisme et initiation sont fondés sur des processus psychiques et spirituels bien réels. Les étudier sous l’angle de la psychologie permet de mieux comprendre et vivre le travail maçonnique et son but.
La psychologie des profondeurs développée par Carl Gustav Jung, à ne pas confondre avec la psychanalyse freudienne, offre au Franc-Maçon d’aujourd’hui des clés précieuses pour comprendre comment fonctionne le symbolisme et quelle est la finalité morale et spirituelle de l’initiation.
Les notions fondamentales de la psychologie jungienne, comme l’inconscient collectif, les archétypes, le Soi et le processus d’individuation, éclairent de façon très pertinente les phénomènes symboliques et initiatiques, par conséquent la Franc-Maçonnerie elle-même.
Cette approche psychologique n’est en contradiction ni avec la tradition maçonnique spirituelle selon René Guénon, ni avec les conceptions de la Maçonnerie rationaliste. L’approche psychologique réconcilie, au contraire, science et spiritualité. Ce champ d’étude peut donc être fructueux.
3. La pratique du symbolisme dans la vie quotidienne et maçonnique
Le symbolisme n’est pas seulement un instrument maçonnique et initiatique. Il joue un rôle important dans l’existence intime de chacun, dans les relations avec autrui et dans la vie collective de l’humanité.
La plupart des problèmes de société ont leur source dans les attitudes psychiques des individus qui composent la collectivité. Les comportements sociaux et politiques sont fortement influencés par les symboles. La connaissance du symbolisme permet donc de mieux comprendre les mouvements qui agitent le monde.
Dans nos rapports quotidiens avec autrui, les paroles, attitudes et comportements ont, à côté de leur expression immédiate une portée souvent fortement symbolique. Être sensible au langage des symboles peuvent aider à gérer sentiments et réactions émotionnelles dans les relations humaines.
Sur le plan personnel, notre voix intérieure s’exprime souvent de manière symbolique, dans nos rêves, intuitions et réactions spontanées. L’ouverture au monde des symboles facilite l’écoute de soi-même et la compréhension des événements de notre vie.
En Loge, le travail mérite de faire une large place au symbolisme, non seulement par la pratique des rituels, mais aussi par une instruction sérieuse des Frères de
tous les grades.
L’étude du symbolisme devrait naturellement porter sur les différents symboles propres à la Franc-Maçonnerie ainsi que sur les rituels, en s’efforçant d’en dégager le sens profond et d’en tirer un message concret pour les Frères.
Le symbolisme d’autres traditions peut aussi être travaillé avec profit.
Il serait en outre stimulant d’étudier le symbolisme initiatique en tant que méthode, de rechercher et d’expliquer comment il fonctionne. Dans cette perspective, l’approche psychologique peut être très enrichissante.
Pratiquement, les Loges devraient inciter les Frères à faire des recherches personnelles et à présenter des planches traitant du symbolisme. Elles devraient également organiser des séances d’instruction, en particulier pour étudier les rituels des différents grades.
Un soin tout particulier doit être apporté à la pratique des rituels, car ceux-ci sont un élément capital du travail et de l’initiation maçonniques. Les rituels doivent être tenus avec une grande rigueur pour que les Frères puissent les vivre avec profit.
Si l’on veut que la Franc-Maçonnerie réponde pleinement à sa vocation initiatique et contribue au développement moral et spirituel des Maçons, il est indispensable que nos travaux rituels soient d’une qualité irréprochable.
Cette qualité est aussi la condition pour que l’enseignement maçonnique puisse porter ses fruits et être mis en pratique par chacun dans son existence quotidienne, à l’intérieur de lui-même comme dans ses rapports avec le monde.
Livres … Septembre 6024 1 octobre, 2024
Posté par hiram3330 dans : Livres , ajouter un commentaireLivres
Même ne sachant ni Lire, ni Écrire …
Ce mois ci j’ai épelé avec un grand plaisir, entr’autres :
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le livre de AXEL KAROL
« LE RITE FÉMININ DE MEMPHIS-MISRAÏM »
Δ
le livre de GÉRARD BAUDOU-PLATON
« RITE ANCIEN ET PRIMITIF DE MEMPHIS MISRAÏM
VOIE ORIENTALE, VOIE D’ÉVEIL
LE LIVRE DE COMPAGNON »
Δ
le livre de DONALD P. RYAN
» UNE ANNÉE EN ÉGYPTE ANCIENNE »
Δ
le livre de RICHARD PAPP
« VOUS NE SERIEZ PAS JUIF, PAR HASARD ? »
Δ
Chris
Septembre 6024
Protégé : Où voyagent les Grands Élus,Parfaits et Sublimes Maçons, et dans quel but ? – 14°- 30 septembre, 2024
Posté par hiram3330 dans : Chaine d'union,Contribution,Perfection.... , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.Guelyana l’Apocalypse dévoilée 29 septembre, 2024
Posté par hiram3330 dans : Recherches & Reflexions , ajouter un commentaire
EXCÈS D’INFORMATION – NÉVROSE MACONNIQUE
Posté par hiram3330 dans : Recherches & Reflexions , ajouter un commentaireEXCÈS D’INFORMATION – NÉVROSE MACONNIQUE
Je commence ce texte en soulignant la phrase attribuée au médecin et physicien suisse Paracelse, verbis :
» La différence entre un médicament et un poison, c’est la dose «
Avec l’émergence des réseaux sociaux et l’partage immodéré de textes, posts, « œuvres » etc. ; Nous, francs-maçons, sommes confrontés à une épidémie d’excès d’information dans laquelle, paradoxalement, ce qui est le plus lésé, c’est la connaissance.
Internet (réseaux sociaux) double, triple et parfois quadruple l’information, il n’est pas rare que nous recevions le même ouvrage ou post « maçonnique » dans des différents groupes et plusieurs fois. La « Chèvre » s’est transformée en perroquet, certains frères ne font que partager, ils ne pensent ni ne réfléchissent.
Le plus grand défi du « franc-maçon moderne » est de pouvoir composer avec l’avalanche de pots-de-vin : il ya des ouvrages, des annuaires, des « pilules », des calendriers, etc. ; dont le mérite, c’est-à-dire le succès ou l’échec, ne fait pas l’objet de ce texte, qui sont envoyés et partagés à outrance.
Il est donc essentiel que nous maçons, dans l’exercice de nos libertés, respectant la proportionnalité et la modération, qui en plus d’établir l’interdiction des excès, dans son autre dimension interdite l’insuffisance de protection du savoir maçonnique.
Dans la construction du « Grand Œuvre », il est nécessaire de reconnaître la proportionnalité comme un postulat maçonnique autonome. Ainsi, avant d’afficher (ce qui est rare, car peu produit) ou de partager, il faut évaluer l’existence d’une proportion entre l’objectif poursuivi par le groupe, c’est-à-dire favoriser la connaissance, la réflexion et la charge imposée à tous les frères de ce groupe. environnement virtuel, c’est-à-dire qu’il est nécessaire d’analyser la nécessité et l’adéquation de la diffusion de ce qui est proposé.
Ce que nous constatons, ce sont les « effets secondaires » ; frères anxieux, publications dans de « mauvais groupes », frères quittant des groupes, textes supprimés, non lus, administrateurs de groupes nerveux, etc. Cela ressemble vraiment à une « compétition » pour savoir qui partage le plus, lorsque les soi-disant « fausses nouvelles », à la fois sociales, économiques, politiques et maçonniques, ne se propagent pas.
La quantité d’informations disponibles et accessibles est insupportable. Avant, certains frères ne savaient pas qu’ils ne savaient pas, mais maintenant ils savent qu’ils ne savent pas, ce qui a généré un sentiment de frustration et d’incapacité qui, peu à peu, peut se transformer en anxiété.
Il est impossible (du moins pour les gens normaux) de lire, collecter, réfléchir et transformer de tels « messages » en informations/connaissances, c’est-à-dire qu’ils sont inutiles et nuisibles. L’information et la connaissance ne sont pas synonymes de sagesse.
Ce flot d’informations a donné naissance aux néologismes de l’époque de l’excès d’information :
- Cybercondriaques : c’est la version numérique des hypocondriaques.
- Dataholics : des gens « à travers l’information ».
- Boulimie informationnelle : expression qui caractérise le besoin compulsif de collecter des informations.
- Obésité informationnelle issue de la boulimie informationnelle, l’obésité fait référence à un excès d’informations inutiles ou peu pertinentes.
Malheureusement, certains frères sont des « tudologues » (spécialistes de tout), ils sont experts en coronavirus, économie, droit, santé, politique, sécurité, administration publique, franc-maçonnerie, rites, rituels, symboles, etc., ils savent tout , ils imposent tout le monde Si tel est le cas, la modération et la reconnaissance du fait qu’il existe des sujets dont le contenu nécessite des connaissances académiques, techniques et scientifiques, il ne suffit pas simplement de « penser » ou de ne pas être d’accord pour avoir raison ou être en désaccord avec ceux qui sont des techniciens dans le domaine, après tout « ce que nous ce que nous savons, c’est une goutte, ce que nous ne connaissons pas, c’est un océan .
Il y a des siècles, le philosophe politique français Montesquieu défendait l’idée selon laquelle nous, les êtres humains, sommes mieux logés au milieu qu’aux extrêmes ; il vaut alors mieux adopter un comportement de plus grande réflexion, plus d’études et moins d’exposition, moins de conjectures, moins de partage.
Platon a souligné à la fois l’importance et la difficulté de la modération dans « La République », où il la définit comme la vertu qui nous permet de contrôler ou d’atténuer nos passions, nos émotions et nos désirs. En tournée, Aristote, dans « L’Éthique à Nicomaque », le définissait comme un juste milieu entre deux extrêmes et insistait sur le fait qu’« un maître dans tout art éviter les excès et l’imperfection », cherchant toujours « l’intermédiaire » qui préserve l’ordre et la liberté dans tout art. Société ou pays maçonnique. Tacite l’appelait « la leçon de sagesse de la plus difficile », tandis qu’Horace liait la modération à la doctrine du juste milieu et de l’équilibre.
La modération en tant que vertu maçonnique doit occuper une place prépondérante dans la tradition maçonnique et dans le monde moderne, où elle a longtemps été englobe, aux côtés de la prudence, comme une « vertu capitale ». La modération n’est donc pas incompatible avec le caractère raisonnable et proportionné qui devrait dicter les actions du franc-maçon.
Dans cette pandémie d’information, la modération est la vertu suprême du franc-maçon. Il ne s’agit pas simplement d’un juste milieu entre deux extrêmes. Il contribue à ces aspects qui résident dans son caractère : la modération avec prudence, le tempérament, la connaissance du soleil et la maîtrise du soleil, plus un cadre spécifique d’action politique, qui s’oppose à l’extrême, au fanatisme et à tout excès, même informationnel.
Les francs-maçons (modérés) sont conscients de la validité relative de leurs propres convictions maçonniques, philosophiques, techniques et politiques et de leur sagesse imparfaite.
Marcelo Artilheiro
SOURCE : https://www.gadlu.info/exces-dinformation-nevrose-maconnique/
La civilisation mycénienne, les ancêtres des grecs
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Magie et sorcellerie : connaissez-vous Samhain, la fête celtique et païenne des sorcières ? 28 septembre, 2024
Posté par hiram3330 dans : Contribution , ajouter un commentaireMagie et sorcellerie : connaissez-vous Samhain, la fête celtique et païenne des sorcières ?
De notre confrère voici.fr – Par Églantine Werner
Un éclairage aux bougies, des déguisements pour chasser les esprits malfaisants, et des rituels de purification… Voilà le programme idéal d’un Samhain réussi ! On vous explique tout !
Avec la célébration de Samhain, on troque les toiles d’araignées pour des rituels de divination, et les bonbons contre un festin où les morts et les vivants sont conviés ! Cette fête, ancêtre d’Halloween, est d’ailleurs destinée à chasser les mauvais esprits… Prêts à vous lancer dans cette aventure magique ?
Qu’est-ce que la fête celtique de Samhain ?
Il s’agit d’une des quatre fêtes celtiques parmi les plus importantes, avec Imbolc, Beltaine et Lugnasad. Selon la croyance, Samhain est le symbole de la fin des récoltes, et le début de la période d’obscurité, dédiée au culte des morts et des esprits. Durant Samhain, plusieurs rituels peuvent être organisés, afin de prédire l’avenir, de communiquer avec l’au-delà, et purifier sa maison des esprits malveillants. Aujourd’hui, Samhain est associé à la religion Wicca, et est fêté par des milliers de personnes à travers le monde.
Comment fêter le Samhain ?
Il existe de nombreuses manières de fêter Samhain : vous pouvez, par exemple, allumer un feu afin d’honorer la fin de la période des récoltes, et pour purifier votre espace de vie (attention cependant à réaliser ce rituel de manière sécurisée !). Aussi, les personnes fêtant Samhain pensent que la nuit de cette soirée si spéciale le voile entre notre monde et celui des esprits est particulièrement fin. Il s’agit du moment idéal pour tirer les cartes du Tarot ou réaliser des rites de divination avec un pendule. Rassurez-vous cependant, à Samhain, aucun démon n’est invoqué : il s’agit davantage d’un moment convivial, qui permet des réunions entre amis et en famille autour d’un repas copieux.
Quelle est la fête païenne à l’origine d’Halloween ?
La fête païenne de Samhain (dont la prononciation est sow-een) est en réalité l’ancêtre de notre Halloween actuelle ! On retrouve d’ailleurs de grandes similarités entre ces deux fêtes, car lors de la soirée de Samhain, il est de coutume de se déguiser afin de faire fuir les mauvais esprits, et de décorer son intérieur afin d’accueillir comme il se doit les ancêtres disparus.
Quand se déroule Samhain ?
Samhain se déroule dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre de chaque année, qui marque littéralement l’avènement de mois plus sombres, dédiés à l’introspection et à la spiritualité.
SOURCE : https://450.fm/2023/10/07/magie-et-sorcellerie-connaissez-vous-samhain-la-fete-celtique-et-paienne-des-sorcieres/