navigation

Église Chrétienne, Alchimie Et Franc-Maçonnerie… 29 mai, 2013

Posté par hiram3330 dans : Contribution , trackback

Église Chrétienne, Alchimie Et Franc-Maçonnerie…

 

Église Chrétienne, Alchimie Et Franc-Maçonnerie… dans Contribution E%CC%81glise+Chre%CC%81tienne+Alchimie+Et+Franc-Mac%CC%A7onnerie
Au Premier Abord L’église Est Incompatible Avec L’ésotérisme Qui Sous-Tend L’alchimie La Franc-Maçonnerie Et Aussi Le « Rosicrucianisme ». Ce Jugement Est Juste Si L’on Considère Les Églises Chrétiennes Telles Quelles Sont Actuellement, C’est-À-Dire Bardées De Dogmes.
Mais les Églises disent que ce n’est pas vrai. Les catholiques affirment que les dogmes ne sont pas imposés. Vous comprenez la suite, Ils minimisent très fortement la doctrine et sa dimension carcérale en disant que c’est la spiritualité et la mystique qui sont importantes.
C’est ainsi que beaucoup de jeunes sont séduits. Ils demandent le baptême puis finissent par comprendre que le discours qui les a séduits est biaisé. Ils quittent l’Église qui les a trompés et ne veulent plus entendre parler de ce qu’il faut appeler par son nom : l’hypocrisie.
Une chose est certaine : l’Église réelle est adogmatique et puissamment mystique. De ce seul fait, elle est incompatible avec les grandes Églises actuelles que ce soit le catholicisme, l’orthodoxie ou le protestantisme.
Le rôle de ces grands groupements est essentiellement de pacifier les foules, de faire en sorte que le prochain existe et de leur donner toutes raisons d’espérer au-delà de la mort. C’est une fonction qu’elles ont bien assumée pendant longtemps et de cela, il faut leur rendre hommage.
Un grand nombre d’individus réunis requiert évidemment un règlement intérieur pour éviter la zizanie. La doctrine avec les dogmes est issue de cette nécessité.
Ces règlements finirent par étouffer, au fil des siècles, la spiritualité et la mystique et cela d’une manière irréversible au fur et à mesure que s’affirmait une hiérarchie de juridiction supplantant celle issue de la connaissance et des charismes qui caractérisaient les prophètes (Evêques) de l’aube du Christianisme, comme le spécifie le plus ancien texte chrétien : la Didakée.
Actuellement certains ecclésiastiques un peu moins rationalistes que les autres laissent supposer que l’esprit du christianisme primitif existe au sein de leur Église. Alors, je me dois d’être net au-delà de toutes ambiguïtés : J’affirme que cela est faux ! Les Églises chrétiennes actuelles ont perdu tous liens avec leurs racines… et donc avec le christianisme lui-même !
Évidemment, je me dois d’être plus explicite à la suite d’une affirmation si catégorique. Eh bien c’est l’objet de cet article !
Le Christ n’a jamais affirmé qu’il y avait une rupture entre son enseignement et celui de la tradition l’ayant précédée. Cela est un point important, capital même, pour saisir l’esprit du christianisme.
Quand on parle de tradition, on entend généralement tradition judéo-chrétienne. Cela sous-entend que le christianisme prend ses racines dans le judaïsme…, ce qui est absolument faux.
En effet, trop souvent les historiens comme les théologiens négligent le fait que Moïse était Égyptien et « petit-fils » du Pharaon et que de ce fait, il fut initié dans les plus hautes sphères du clergé d’Égypte.
En d’autres termes Moïse fut formé par l’école initiatique d’Égypte et que de ce fait, il reproduira dans son judaïsme ce qu’il avait appris dans le secret des temples.
Il est en effet important de bien saisir que le peuple juif qui suivit Moïse parlait et pensait Égyptien car la période de captivité de ce peuple fut de 400 ans, ce qui laisse le temps à un peuple d’oublier sa langue d’origine et sa culture.
Ce Que Je Veux Dire, Avec L’accord Des Égyptologues, C’est Que Nos Racines Ne Sont Pas Judéo-Chrétiennes Mais Égypto — Chrétiennes.
La langue hébraïque fut inventée par Moïse pour donner à son peuple sa particularité. C’est pourquoi la langue et la culture Hébraïque primitives, issues de l’ancien Égyptien et source de l’arabe, sont inséparables de la culture initiatique égyptienne.
Toute la mystique de Moïse était celle des Écoles de Mystère d’Égypte qui, comme toutes les écoles de mystères, possédaient sept degrés initiatiques.
Sept étant inséparable de la matière et de la vie, toutes les écoles initiatiques antiques sans exception reposèrent sur cette valeur scandant la progression mystique des Êtres vers leur éveil.
De ce fait l’Église des premiers siècles ayant cette connaissance, elle va organiser en sept étapes la progression de ses évêques vers le sacerdoce.
Ces sept étapes seront espacées chacune de six mois à un an afin de permettre une maturation entre les étapes. Le concile de Trente spécifie avec sagesse :
« Observant entre les Ordres, des intervalles ordinaires des temps que l’on appelle communément interstices. »
« Nul ne pourra être promu aux Ordres sacrés (majeurs à partir de sous-diacre), qu’un an après avoir reçu le dernier des Ordres mineurs. » (Session du 11 novembre 1563)
À la Renaissance l’Église savait encore combien les espaces de maturation entre chacun des Ordres étaient importants pour dispenser un enseignement autant théorique que mystique. Il restait encore certains embryons de connaissances dans la formation des ecclésiastiques.
Par la suite la formation devint intellectuelle. Ainsi, au XIXe siècle les quatre Ordres mineurs étaient donnés à l’occasion d’une seule cérémonie.
Cet Aspect Particulier Montre La Dérive De L’église Vers Une Ecclésia De Croyance Alors Que Ses Prédécesseurs Étaient Une Église De Connaissance.
C’est pourquoi certaines sociétés initiatiques conservèrent, dans leurs degrés initiatiques, le même cérémonial que celui des ordinations. Malheureusement, ces degrés sont invalides car pour être valables, ils doivent transmettre l’ESPRIT,
Et donc être dispensés par un Evêque valide (c’est-à-dire non autoproclamé) ayant la filiation historique depuis les langues de feu du cénacle. Cela est évidemment un atout majeur pour les alchimistes face à leur athanor.
Les grandes Églises actuelles sont devenues des Églises de croyance qui s’apparente de plus en plus à une idéologie religieuse.
Les Églises de connaissance ne pouvant plus vivre en symbiose avec les Églises actuelles, elles ont été obligées de prendre leur autonomie car leurs discours devenaient diamétralement opposés à celui des Églises de croyance.
Son enseignement est essentiellement axé sur la mystique et la découverte des lois de la nature dans laquelle tout être spirituel doit pouvoir se situer. Dans ces conditions le mariage des prêtres et le sacerdoce féminin s’imposent… comme dans l’Église primitive !
Certains peuvent remarquer que des religieux comme ceux qui furent dans le monastère de Cimièz, vivaient en harmonie avec l’Église de croyance.
Les monastères furent en effet pendant très longtemps le refuge de l’Église de Connaissance. Mais jamais au grand jamais elle ne fut une « succursale » de l’Église de croyance.
Je dois rappeler qu’un monastère est sous l’autorité d’un seul évêque qui est le supérieur. Tout monastère est indépendant de l’Église séculière de l’extérieur, personne ne peut « fourrer son nez » dans ses affaires, pas même un cardinal.
Un monastère est une Église indépendante. C’est cette particularité qui permit pendant longtemps de conserver l’Église de connaissance avec les moines alchimistes de Cimiez par exemple.
Une seule obligation est demandée au supérieur d’un monastère, c’est celle de se rendre tous les cinq ans à Rome pour serrer la main du pape, avec photo à l’appui, et lui dire que le monastère est toujours catholique.
Comprenez-vous pourquoi à Cimiez les ecclésiastiques actuels de l’Église de croyance cherchent à détruire les vestiges d’une Église qui les gênent et qu’ils ne comprennent plus ?
Sources :
hermetisme.over-blog.com
Hermophyle  — mardi 4 décembre 2012
Billet proposé par Aron O’Raney
http://oraney.blogspot.fr/

Commentaires»

pas encore de commentaires

Laisser un commentaire

Atelier Ecrire Ensemble c&#... |
Au fil des mots. |
Spiralée |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Attala Blog
| jepensedoncjesuis13
| Les chroniques d'Astéria