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Protégé : Génèse et Spiritualité – 1° - 9 mars, 2016

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Qu’est-ce que les mots ? 7 mars, 2016

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Qu’est-ce que les mots ?

1 février 2014, 17:01

Ils ont le pouvoir…..

Ils sont la force, le soutien, la sagesse, le courage, la volonté, le partage, l’échange…

Ils sont communion, déboires, tristesse, joies, souvenirs, remémoration….

Ils sont par l’être ressentis, inspirations, sensations, émotions…

Ils sont subtils, ils sont la transparence de nos âmes, ils sont nous….

Ils sont parfois déni, espérance, existence, souffrance, un appel, de cœur, de l’esprit, de la raison…

Ils sont transcendance, ils sont le langage, la communication, l’essence de vie, mélodie, ils sont résonance, ils sont parfois reflets et miroir….

Ils sont parfois aussi illusions, soumissions, trahison…

Ils sont aussi amour, tempérance, droiture, rectitude, une épaule, un soutien, une affirmation, une confrontation, une interrogation, une négation, un savoir, des acquis, une continuité, une stabilité…

Ils sont aussi franchise, sincérité, respect….

Les mots donnent un sens à la vie, donnent un sens à notre existence que l’on s’est choisie, tracée….

Ils ont le pouvoir de nourrir, de guérir ou de tuer…

Ils sont le reflet d’une société parfois de partage, de solidarité ou d’individualisme….

Ils sont issus du souffle Divin….

Ils propagent la vibration des êtres, de l’âme…..

Ils sont des mots qui mis côtes à côtes deviennent des phrases…..

Et comme toutes phrases qui se respectent commencent par une majuscule respectueuse et se terminent par un point pour finir, tels les êtres qui ont tous un début et une fin….

Ils sont couleurs en fonction des termes employés, ils sont luminescence ou obscurité…

Ils touchent à l’affect de près ou de loin….

Ils s’inventent, ils s’improvisent, ils sont réflexion et ils sont composante…

Ils ont un fond et une forme… mais ils peuvent être parfois informes…

Ils sont un langage commun ou pas

Ils sont dissonants ou discorde….

Ils sont deux poids de mesure mais parfois ils sont tolérance

Ils sont le fruit d’une quête, d’une découverte, d’une profonde réflexion…

Ils sont habiles par l’emploi, ils sont existentiels par leur présence….

Ils sont le savoir, l’enseignement, l’instruction, la culture et l’enrichissement

Ils sont fruits de l’esprit et de l’âme

Ils sont nourriture, satiété, ils répondent à un certain besoin

Ils sont la reconnaissance des autres

Ils sont le lien tangible de l’existence

Ils sont paroxysme de l’incompréhension

Ils sont la révélation de nos efforts et de notre évolution

Ils sont la communion du temps mais aussi de l’intemporel

Ils sont présents de tous temps, ils étaient présents à travers le temps et l’espace pas forcément par l’expression des lettres qui le composent ou par des mots mais aussi par des illustrations telles le Mithra ou les hiéroglyphes

Ils donnent le pouvoir aux hommes qui savent s’en servir

Ils sont langues de bois ou langue d’amour inconditionnel

Ils sont issus de nos cinq sens

Ils se répandent, se propagent, se transmettent

Ils sont parfois cantonnés à des régions dont le vocable sera le même utilisé

Ils seront esprit, vivant

Ils seront nuls et non avenus

Ils seront la base même d’une structure, d’une existence, d’un vécu

Ils seront fluides et parfois limpides ou crochus

Ils seront notre delta, notre repère, nos points cardinaux, dans le temps et dans l’espace

Ils évolueront en fonction du travail de son soi, ils seront le prolongement vers l’extérieur de notre travail intérieur

Ils seront soumis à l’existence d’un accompagnement à la mort afin de savoir que nous ne sommes pas seuls

Ils seront les mots, les premiers signes que nous auront entendu à notre naissance

Ils seront de fruits des œuvres transmises de générations en générations pour ne pas oublier notre passage sur terre….

Un capital tel un mémorial de nos pensées les plus profondes et sincères

Par contre, est-ce que tout peut-être dit, doit on toujours ménager la chèvre et le choux ?

Les mots sont à l’origine de haine, de guerres, de déboires

Par conséquent, lorsque nous avons une âme qui ne veut pas atteindre l’autre par des vérités qui lui paraitront vils alors nous tentons d’osciller entre la chèvre et le choux, pour ne pas faire souffrir, pour minimiser les choses afin qu’elles paraissent moins brutales mais lorsque nous entrons dans notre vitriol et que nous avons compris que seule la vérité qui est la notre compte alors il faut parfois être brutal afin que le message passe et nous nous rendons compte à ce moment là qu’à force d’efforts, de vouloir toujours être dans la mesure nous avons causé plus de tort qu’autre chose, nous sommes perçus comme manipulateur, comme hypocrite, comme faux fuyant, comme faux semblant alors qu’il n’en est rien….

La leçon à retenir est de toujours être soi même, tant pis si elle paraît brute de pomme ou de décoffrage, l’important et de faire passer malheureusement le message tout de suite sans jamais attendre car le temps se joue de nous et fait plus de tort que de bien

Il faut savoir rester impartial et intègre

Tant pis si le message ne satisfait pas les attentes de l’autre

Car malheureusement les mots doivent être parfois égoïstes lorsqu’il s’agit d’affirmer sa droiture et sa capacité à être en adéquation avec son soi et tout finit par devenir cohérent.

Car à force de vouloir ménager tout le monde, on court à sa perte et on devient vite l’objet de discussions intempestives, d’analyse en profondeur pour conforter votre soi disant mauvaise personne aux vues des autres.

Vous subissez le jugement sans même pouvoir vous défendre car vous ne voulez blesser personne

Alors les mots parfois peuvent faire mal et tuer mais ils peuvent aussi pardonner et se contenter du silence !

J’ai dit

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Protégé : « La spiritualité de la cérémonie de la Cène au 18ème degré » – 18° - 6 mars, 2016

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Protégé : Deus meumque jus – 14° - 4 mars, 2016

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Digression … Le temple de Salomon 2 mars, 2016

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Le Calendrier Antique De l’Égypte

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Le Calendrier Antique De l’Égypte

 
Le Calendrier Antique De l’Égypte dans Recherches & Reflexions Le+calendrier1enmout
 
 
L’observation des phénomènes astronomique et climatique du milieu où ils vivaient – comme le déplacement régulier de l’ombre, le cycle lunaire ou le retour des saisons – a servi de points de repère pour structurer la vie agricole, sociale et religieuse des différentes civilisations de notre planète.
 
 
Nous devons notre actuelle considération des jours au calendrier égyptien. L’Égypte antique a incontestablement marqué nos jours et notre temps. 
 
Inventant l’année civile et employant le calendrier lunaire et lunisolaire, les Égyptiens ont été les premiers à faire naître le jour au lever du soleil. 
 
À la grande différence des autres civilisations qui le faisait apparaître au coucher…
 
 dans Recherches & Reflexions
 
 
La carte de l’Égypte antique ci-dessus, caractérisée par ses pyramides, sa mythologie et ses pharaons, laisse ici distinguer le cours inférieur du Nil.
 
Le pays a également marqué l’histoire avec le calendrier égyptien.
 
Le calendrier égyptien à l’origine du calendrier civil
 
Les Égyptiens antiques ont, à l’origine, utilisé un calendrier basé sur la Lune, et, comme beaucoup de peuples dans le monde entier, ils ont réglé leur calendrier lunaire au moyen d’une année sidérale.
 
Ils ont employé l’aspect saisonnier de l’étoile Sirius (Sothis) ; ceci correspondait à la véritable année solaire, étant seulement de 12 minutes plus courtes. 
 
Certaines difficultés ont surgi, cependant, en raison de l’incompatibilité inhérente des années lunaires et solaires.
 
C’est pour résoudre ce problème que les Égyptiens ont inventé l’année civile de 365 jours divisée en trois saisons, dont chacune s’est composée de 4 mois de 30 jours chacun.
 
Pour finir l’année, 5 jours intercalaires ont été ajoutés, de façon à ce que les 12 mois soient égaux à 360 jours plus les 5 jours supplémentaires.
 
Ce calendrier civil est dérivé du calendrier lunaire (utilisant les mois) alors que les agriculteurs utilisaient les fluctuations du Nil. 
 
Cependant, aucun des calendriers n’a été directement relié à l’un ou à l’autre. 
 
Le calendrier civil était utilisé par le gouvernement et l’administration, alors que le calendrier lunaire continuait à régler les affaires religieuses et la vie quotidienne.
 
Conflit entre les calendriers civil et lunisolaire
 
Avec le temps, l’anomalie entre les calendriers civil et lunaire est devenue évidente. 
 
Puisque le calendrier lunaire était fixé par le lever de Sirius, ses mois correspondaient tous les ans à la même saison, alors que le calendrier civil se déplaçait par rapport aux saisons parce qu’il était d’environ un quart de jour plus court que l’année solaire.
 
Par conséquent, tous les 4 ans, il prenait 1 jour de retard, et après 1.460 ans il revenait, par coïncidence, avec le calendrier lunisolaire. 
 
Cette période s’appelle un cycle sothiaque.
 
Création d’un deuxième calendrier lunaire
 
En raison de l’anomalie entre ces deux calendriers, les Égyptiens ont essayé d’établir un deuxième calendrier lunaire basé sur l’année civile.
 
Il était schématique et artificiel, son but était de déterminer des célébrations et des fonctions religieuses. 
 
Afin de garder l’accord général avec l’année civile, un mois a été intercalé chaque fois que le premier jour de l’année lunaire est venu avant le premier jour de l’année civile ; plus tard, un cycle 25 ans d’intercalation a été présenté.
 
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Le calendrier lunaire original, cependant, n’a pas été abandonné, mais a été maintenu principalement pour l’agriculture en raison de son accord avec les saisons. 
 
Ainsi, les Égyptiens antiques ont fonctionné avec trois calendriers, chacun pour un but diffèrent.
 
La seule unité du temps qui était plus grande qu’une année était le règne d’un roi. La coutume habituelle de dater par règne était : « l’année 1, 2, 3. etc., du Roi x y » et, avec chaque nouveau roi, le décompte recommençait avec les règles enregistrées par les listes de toutes les années de leurs règnes respectifs.
 
Trois saisons en Égypte
 
L’année civile a été divisée en trois saisons, généralement traduite par : « Inondation », quand le Nil débordait ; les « semailles », la période pour planter quand le Nil était revenu à son lit ; et la « sécheresse », la période de la basse eau et des moissons.
 
Les mois du calendrier civil ont été numérotés selon leurs saisons respectives et n’ont pas été énumérés par n’importe quel nom en particulier, seulement dans des buts religieux. 
 
Le début du jour au lever du soleil
 
Les jours dans le calendrier civil ont été également indiqués par des nombres et énumérés selon leurs mois respectifs. 
 
Ainsi, une date civile serait : « année x du quatrième mois de l’Inondation, Ve jour du Règne du Roi X ». 
 
Dans le calendrier lunaire, cependant, chaque jour eut un nom spécifique, et de certains de ces noms, on peut voir que les quartiers ou phases de la Lune ont été identifiés, bien que les Égyptiens n’eussent pas l’habitude de diviser le mois en plus petits segments pour obtenir l’équivalent des semaines.
 
À la différence de la plupart des civilisations qui ont employé un calendrier lunaire, les Égyptiens ont commencé leur jour par le lever de soleil, au lieu du coucher. Ils ont aussi commencé leur mois, et par conséquent leur jour, après la disparition de la vieille Lune juste avant l’aube.
 
Dans les civilisations anciennes, les heures étaient inégales, le jour étant parfois divisé en 12 parts, dont la durée exacte changeait avec les saisons.
 
Des horloges à eau, et des gnomons, ont été construits avec des notations pour indiquer les heures pour les différents mois de l’année.
 
L’heure, telle que nous la connaissons avec une longueur constante, n’a jamais été utilisée dans le monde antique.
 
 
Source : Futura-Sciences 
Source : http://oraney.blogspot.fr/
 
Billet proposé par Aron O’Raney
 

Protégé : Au travail ou le travail – 1° - 1 mars, 2016

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