navigation

La France maçonnique – Complet 9 août, 2020

Posté par hiram3330 dans : Contribution,Recherches & Reflexions , ajouter un commentaire

 

 

Image de prévisualisation YouTube

Qui était Confucius ?

Posté par hiram3330 dans : Contribution,Recherches & Reflexions , ajouter un commentaire

Qui était Confucius ?

 

wp-1478371392611

 

Comment comprendre les peuples étrangers sans connaître les chefs religieux qui modelèrent leur esprit ? Si la Chine, sous influence, se transforme, on ne peut néanmoins la pénétrer un peu sans interroger ses maîtres spirituels.

Vie et œuvre de Confucius.

L’histoire de la Chine est le perpétuel renouvellement d’un cycle.

Des hommes frustes et énergiques s’emparent d’un domaine ou d’un royaume puis l’exploitent et le développent. Devenus riches, ils s’intéressent à leur tour aux arts, à la littérature, à la poésie, et s’amollissent dans la prospérité et les pauvres aiguisent leur appétit en regardant gaspiller la richesse. Bientôt, se produit une rupture d’équilibre et une nouvelle vague conquérante submerge les possédants qui abandonnent leurs biens aux vainqueurs.

Tel fut, au IXe siècle, le sort du royaume de Yin, en face des montagnards Tchéou à peu près au moment où l’Egypte s’endormait dans une décadence définitive, où la Grèce émergeait de la barbarie et où le roi Salomon achevait la construction du Temple de Jérusalem.

Les Tchéou n’échappèrent pas à la loi commune et leur domination sombra comme celle de leurs prédécesseurs.

La dynastie Tchéou fut supplantée par l’un de ses grands vassaux, mais celui-ci ne put asseoir son autorité et la guerre civile se trouva instituée à l’état endémique, se superposant à l’anarchie locale et au banditisme.  » Malheur à celui qui vit près de la demeure d’un maître ou au nord de la grande route !  » dit un proverbe chinois de cette époque.

On reconnaissait, à des signes nombreux, l’aube d’une civilisation nouvelle. La Chine aspirait à son unité et commençait à se critiquer elle-même. Des artistes apparaissaient et une littérature abondante venait distraire et instruire les puissants dans leurs châteaux et leurs villes fortifiées. Des voyageurs allaient et venaient étudiant, comparant, tirant des conclusions.

Le besoin de nourriture spirituelle devenait impératif et l’inutilité des violences guerrières s’imposait à tout esprit réfléchi. Les rois se laissèrent sermonner par les sages qui exerçaient parfois de hautes charges dans leur administration et qui se mirent à codifier certaines généralités afin de dégager les leçons du perpétuel renouvellement des catastrophes.

 

Lao-tseu fut un de ces sages. Son enseignement reflète une profonde réaction contre le milieu dans lequel il vivait et qu’il désirait réformer. D’après lui, les trois vertus principales étaient l’économie, la modestie et la pitié. Il blâmait le luxe dont les grands seigneurs éclaboussaient leur cour et qui, par les rivalités suscitées, conduisait graduellement aux disputes et à la guerre. Il voulait que l’on renonçât à l’orgueil et à la vanité, prônait la pitié à l’égard des humbles et des pauvres.

Lao-tseu allait d’ailleurs plus loin, car il préconisait l’obligation de faire du bien même à ceux qui vous font du mal. Il réprouvait la vengeance et toute solution violente des problèmes humains.

Le Tao, c’est l’ordre du monde, le principe divin. Le but de l’homme devait être de le rejoindre en renonçant à toute agitation, à toute individualité. Il faut vomir l’intelligence, disait Lao-tseu, se concentrer en une méditation solitaire, se retrancher de tout désir, de toute affection, de toute affirmation, ressembler à l’eau qui coule, qui prend toutes les formes, qui accueille tout, qui reflète tout. Il ne fallait pas répondre à l’insulte parce que l’insulteur ne méritait que du mépris.

Lao-tseu trouva une réponse métaphysique à un matérialisme qui avait touché la frontière du désordre. Il atteignit les cimes de l’esprit humain et s’y retrouva en compagnie de Zoroastre, de Socrate et du Bouddha, ses presque contemporains, sa doctrine n’offrait cependant pas assez de points pratiques pour influencer profondément ses auditeurs. Seuls, quelques fervents parvinrent à le comprendre et à commenter ses idées.

 

Le père de Confucius était un noble de la province de Lou. Marié de bonne heure avec une femme de sa caste, il avait eu d’elle neuf filles. Une concubine-servante lui avait en outre donné deux garçons.

Sur la fin de sa vie, cette situation préoccupa le vieillard qui décida de répudier sa femme et de prendre une nouvelle épouse. Précisément, un de ses amis avait trois filles présentant les qualités requises. Il partit et fit sa demande.

L’ami fut embarrassé. Le prétendant venait d’atteindre soixante-dix ans, son aspect manquait d’attrait pour de jeunes personnes. La politesse exigeant de prendre en considération la requête honorable d’un ami, le père convoqua ses filles et leur exposa le cas.

L’aînée se jeta à ses pieds en pleurant, le suppliant de ne pas la donner à un homme tellement âgé. La seconde réagit de même. La troisième répondit :

- Je ne comprends pas pourquoi vous nous demandez notre avis. Parlez, et nous obéirons.

Soulagé par ce consentement tacite et satisfait de ne pas décevoir son ami, le père décida de conclure le marché et, quelques jours plus tard, après avoir échangé les compliments et les cadeaux usuels, le vieillard repartait avec sa jeune épouse âgée de dix-huit ans et l’installait dans sa maison. Un an après, en 551 av. J.-C., naissait Confucius.

Trois années s’écoulèrent ; puis le vieillard mourut, laissant sa fortune et ses biens à son fils légitime, sa mère étant instituée sa tutrice. Elle avait vingt-deux ans. Pendant une quinzaine d’années, elle éleva son enfant avec amour et fermeté.

Dès l’adolescence, Confucius témoignait d’une intelligence si remarquable qu’on ne parvint plus à trouver de maîtres pour l’instruire. Sa mère et lui ne se quittaient pour ainsi dire jamais.

Lorsque le jeune homme eut atteint sa vingt-deuxième année, elle décida de le marier et lui choisit une épouse dont il eut bientôt deux enfants. Tout semblait aller pour le mieux quand, brusquement, la mère de Confucius mourut.

Il en conçut un si violent chagrin qu’il s’enferma chez lui, ne voulant plus voir ni sa femme ni ses enfants ni personne. Il avait revêtu la robe chinoise des veufs inconsolables et ne retrouva un nouvel équilibre qu’au bout de deux ans de la plus sévère réclusion.

Après cette période, il se mit à enseigner la philosophie et à mener une vie d’anachorète, gardant une chasteté absolue et ne subsistant qu’avec le minimum de nourriture, sans laisser toutefois cet ascétisme affecter son apparence extérieure de grand bourgeois considéré.

Avant dépassé la trentaine, Confucius qui avait des idées précises et un don d’exposition remarquable, fut bientôt consulté par une jeunesse avide de comprendre les causes de l’anarchie dans laquelle baignait leur monde.

Non seulement il proposait une règle de vie pratique permettant de rester serein dans les malheurs mais, à l’encontre de maîtres comme Lao-tseu dont les remèdes prévoyaient une justice dans l’univers métaphysique de l’au-delà, il n’offrait que des solutions immédiates, applicables dès cette vie.

Confucius avait horreur de toute spéculation, de l’imagination et du merveilleux. Pour lui, ce que Dieu (si Dieu existait) avait voulu nous cacher, il ne convenait pas de chercher à le découvrir. Nous avions devant nous un champ d’activité assez vaste pour ne pas nous préoccuper de ce qui nous demeurait étranger. Un jour, comme on parlait devant lui du monde métaphysique de Lao-tseu, il dit à ses disciples :

Je sais comment les poissons nagent et comment les oiseaux volent. Je ne sais pas comment le dragon ailé qui s’élève dans les airs se cache derrière les nuages. Lao-tseu me fait penser au dragon.

 

La base de la philosophie de Confucius était l’étude du comportement des hommes entre eux. Il fut avant tout un économiste et un sociologue et, comme Platon, voulut être un homme de gouvernement. Les circonstances et les passions de ses contemporains ne lui permirent pas de vérifier ses idées et ses observations par l’expérience des faits.

Confucius recommandait une étude impartiale du caractère et de la situation avant de jeter un blâme sur l’environnement et sur les circonstances.

Le sage, dit-il, attend tout de lui-même, l’homme vulgaire attend tout des autres.

Et il ajoutait

- Ne pas se corriger après une faute involontaire, c’est commettre une faute véritable.

Il s’agissait donc pour l’individu d’étudier sa propre nature et sa propre vie pour les modeler dans le sens de l’amélioration. Cette amélioration devait être sociale. Avant de commencer une réunion d’études, Confucius débutait toujours par ces mots

Ne faites jamais aux autres ce que vous n’aimez pas pour vous.

Certains disciples lui demandèrent de résumer sa doctrine par un mot qu’ils pourraient conserver comme un talisman, il leur donna celui-ci : réciprocité. L’idéal humain devait être de rendre des services à ceux dont on dépendait par le jeu des contacts sociaux.

Aristocrate, bienveillant sans doute et prêt à reconnaître le talent d’où qu’il vienne, Confucius classait cependant les hommes en catégories dont les limites ne se franchissaient pas facilement. L’homme supérieur était le sage qui se contrôlait en tout, et qui appliquait les règles du bien-vivre.

Par leurs qualités innées, les hommes étaient relativement égaux. C’était par leurs qualités acquises qu’ils se distinguaient les uns des autres. En ce point, la doctrine du sage chinois était consolante car, dès cette vie, selon lui, il n’y avait pas de désastre dont on ne pût se relever ni de défauts dont on ne pût se guérir.

 » Il n’y a que les grands savants et les pires idiots qui ne changent jamais « , disait-il.

La poursuite de la sagesse ne devait pas avoir un but matériel mais se concentrer sur l’acquit d’une mentalité supérieure et altruiste. L’homme supérieur ne devait pas avoir honte d’être mal vêtu ou mal nourri. Il devait gagner de l’argent pour vivre, mais ne pas vivre pour gagner de l’argent.

L’amour de Confucius pour l’humanité s’exprimait par la politesse et la considération d’autrui. L’homme supérieur devait aimer ses proches et ceux qui lui inspiraient de la sympathie, mais être poli avec tout le monde. Cette conception a profondément influencé le monde chinois.

La forme pratique du génie de Confucius ne lui faisait pas perdre de vue la grandeur des buts spirituels. Si son horizon ne s’étendait pas au-delà de la durée de la vie, les aspirations auxquelles il conviait ses disciples étaient tellement élevées qu’une existence ultérieure paraissait en être la contrepartie gratuite et non exprimée. Quelle meilleure formule peut-on donner de la vie intérieure que cette définition :

 » L’homme supérieur est satisfait et tranquille, l’homme vulgaire est toujours angoissé. « 

Nous retrouvons d’ailleurs dans cette phrase la tournure de l’esprit socratique. Le sage doit renoncer à comprendre ce qui n’est pas fait pour lui et s’en remettre à l’ordre universel de la conduite de l’univers.

Son univers à lui c’est le champ clos de sa personnalité, le contrôle de ses passions et la bonne gestion de son existence. Cette tâche remplie, il fait confiance à Dieu et trouve ainsi la paix.

Le vulgaire ne remplit pas sa tâche créatrice ; il ne comprend pas que l’ordre universel est mécontent de cette dissonance, éprouve dans son subconscient une angoisse qui lui fait commettre des erreurs et l’amène à sombrer dans l’agitation. L’angoisse est synonyme de mauvaise économie de l’âme et doit détecter une inharmonie intérieure.

Confucius dit encore :  » L’homme supérieur ne doit pas être pour ou contre quelque chose, il doit être harmonieux. « 

Cette phrase résume l’unité de pensée du philosophe chinois. Aucun but, aucune réussite ne doivent être considérés pour eux-mêmes, mais seulement comme une forme passagère de l’action nécessaire pour obtenir un épanouissement spirituel.

Sans cette contrepartie, l’action est dangereuse et se transforme vite en agitation stérile. Le principe de la sagesse est de renoncer à toute forme extérieure du succès pour ne s’attacher qu’à la réussite propre et à l’harmonie intérieure.

 » L’homme supérieur, dit encore Confucius, pense à la vertu, l’homme petit pense au confort. « 

Nous devons donc renoncer aux plaisirs matérialistes pour nous dévouer à une éthique, grâce à laquelle la vie sociale devient facile et l’Etat fort. C’est, en effet, à la bonne marche de la vie de la communauté que tendent les efforts de Confucius. C’est lorsque les rouages d’une administration juste fonctionnent bien que l’individu se trouve le plus heureux.

Loin de se réfugier dans l’accomplissement d’une vertu parfaite dans la solitude d’un désert, Confucius ne la voit que dans une harmonieuse relation avec ses voisins et ses frères.

Il résultait de cette définition que la plus grande ambition du philosophe, la consécration de sa valeur devait être l’exercice du pouvoir et la transposition en faits réels de ce qu’il avait appris dans l’auditoire des sages.

 

Confucius voulut exercer un pouvoir politique et le voulut passionnément.

La principauté de Lou dont il dépendait- était régie par un prince faible, mais dont l’esprit était ouvert à toutes les curiosités. Il ne fut pas sans savoir qu’un de ses sujets exerçait en Chine une influence grandissante et que des disciples voyageant des journées entières se présentaient de plus en plus nombreux pour bénéficier de son enseignement. Il voulut le connaître.

Le philosophe, qui venait d’avoir cinquante et un ans, était dans le plein exercice de son talent et fit sur le prince une profonde impression. Au cours de leur conversation il lui offrit une place de juge que Confucius accepta.

Très vite, son manque d’expérience en matière politique et administrative, son intransigeance et son honnêteté valurent au nouveau magistrat des inimitiés violentes auprès de fonctionnaires qui ne vivaient que de rapines et de corruptions. Le prince le soutint et, pour imposer les idées de son nouvel ami, le nomma ministre du Travail, puis garde des sceaux. En cette capacité, il exerçait presque le pouvoir, car il voyait son maître chaque matin et prenait sur son esprit un ascendant grandissant.

La rude main du philosophe écarta du gouvernement les hommes qui remplaçaient le travail par l’intrigue.

Au lieu de se soumettre et d’accepter la décision du prince à leur endroit, ces derniers se groupèrent pour chasser Confucius, effrayés qu’ils étaient de l’influence exercée sur l’esprit d’un souverain devenu le disciple de son ministre et qui, au lieu de se livrer aux plaisirs de la chasse et des banquets, plongeait maintenant la tête dans les livres en cherchant à définir la vertu.

La crainte de ces hommes mauvais était partagée par le roi de Ts’i. Ce monarque, constatant les améliorations qui se produisaient chez son voisin en conçut du dépit. Maintes et maintes fois, il avait été le compagnon de plaisir du prince de Lou et connaissait ses points faibles.

Le roi de Ts’i rassembla soigneusement une troupe de quatre-vingts musiciennes et danseuses, plus jolies et délicates les unes que les autres, et les entraîna à danser et à chanter sous les ordres d’une maîtresse experte. Il fit venir de longs métrages de soie coûteuse et employa des ouvrières renommées pour parer les danseuses.

Enfin, il réunit sa troupe pour lui donner ses dernières instructions et, profitant d’une absence de Confucius en tournée d’inspection dans la principauté, l’envoya au palais de son ami avec un mot d’introduction.

Le prince de Lou reçut les chanteuses et demeura enfermé avec elles, refusant audience à quiconque. Confucius, rentré le soir même, et mis au courant des événements, ne put se faire recevoir. Il attendit à la porte de son maître, renouvelant d’heure en heure sa demande d’audience.

Le matin du quatrième jour, il rédigea sa démission et quitta la principauté.

Pendant treize années, le philosophe parcourut les routes, suivi de disciples auxquels il faisait part de ses réflexions sur l’organisation des Etats. Il annonçait qu’il était à la recherche d’un prince lui permettant de mettre ses idées en pratique.

Malheureusement, l’histoire de la principauté de Lou avait fait le tour des cours chinoises. Partout, Confucius était reçu avec considération, mais personne ne lui offrait un nouveau poste administratif. Les chefs d’Etat étaient mal impressionnés par la manière dont le philosophe avait voulu entraîner son prince dans la pratique d’une austérité trop dévouée à ses administrés.

Confucius comprit que personne ne lui laisserait désormais exercer ses talents et se résigna à n’être plus qu’un penseur. Revenu dans sa maison et guéri de ses illusions, il se consacra à l’étude et à la rédaction de son œuvre littéraire.

Il groupa les classiques chinois de l’époque Tchéou et même des maîtres antérieurs, sortes de trouvères dont il ne subsistait aucune tradition écrite puis, entouré de scribes et de disciples, donna à la Chine un code moral et une somme littéraire sur lesquels elle subsiste encore aujourd’hui.

L’œuvre de Confucius comprenait ainsi une synthèse de toutes les connaissances de l’époque et donnait sur l’avenir des vues si justes que la lecture en est encore profitable.

Peu d’hommes ont aussi bien compris l’âme humaine, ses limites et ses espoirs. Peu d’hommes ont décrit avec autant de justesse l’effort que l’on peut raisonnablement demander à l’individu.

Fut-il toujours suivi ? Ses dernières paroles furent

Pourquoi vivrai-je davantage ? Aucun prince n’a l’esprit à m’écouter, personne n’est capable de me comprendre ; autant vaut mourir. Il s’alita, ne parla plus et s’éteignit à l’âge de soixante-treize ans. Il fut enterré au nord de Kiou-fou. Sa tombe existe toujours.

p480_d20110418150108

Protégé : L’ÉTOILE FLAMBOYANTE – 2°- 8 août, 2020

Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Contribution , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.

Cet article est protégé par un mot de passe. Pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous :

Protégé : QUE C’EST DUR D’ÊTRE MAÇON – 1°- 7 août, 2020

Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Contribution , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.

Cet article est protégé par un mot de passe. Pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous :

Protégé : RITE DE MEMPHlS-MlSRAIM – Charles-Henry DUPONT – 3°- 6 août, 2020

Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Contribution , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.

Cet article est protégé par un mot de passe. Pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous :

L’histoire oubliée des Swahilis | Enquêtes archéologiques | ARTE 5 août, 2020

Posté par hiram3330 dans : Recherches & Reflexions , ajouter un commentaire

 

 

Image de prévisualisation YouTube

Digression … La France maçonnique – Complet

Posté par hiram3330 dans : Digression , ajouter un commentaire

 

 

Image de prévisualisation YouTube

Samadhi, Le Film, 2017 – Partie 1 – « Maya, l’illusion du Soi » et Samadhi, Le Film, 2018 – Partie 2 – (Ce n’est pas ce que vous pensez)

Posté par hiram3330 dans : Contribution,Recherches & Reflexions , ajouter un commentaire

 

 

Image de prévisualisation YouTube

Image de prévisualisation YouTube

Protégé : LE MAILLET – 1°- 4 août, 2020

Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Contribution , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.

Cet article est protégé par un mot de passe. Pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous :

Protégé : Voyages – 2°- 3 août, 2020

Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Contribution , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.

Cet article est protégé par un mot de passe. Pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous :

1234

Atelier Ecrire Ensemble c&#... |
Au fil des mots. |
Spiralée |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Attala Blog
| jepensedoncjesuis13
| Les chroniques d'Astéria