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Protégé : DU CHEVALIER R+C ET DE L’OEUVRE DU TETRAMORPHE – 18°- 30 novembre, 2020

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Protégé : Les francs-maçons : une richesse ou une menace ? – 1°- 29 novembre, 2020

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El Mouhim le livre de Thot I Vidéo 1-1 28 novembre, 2020

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N’oubliez pas !

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N’oubliez pas !

 
N'oubliez pas ! dans Contribution file dans Contribution
 

Sœurs et frères pour Maât rassemblés,

Aujourd’hui, notre loge est en fête,

L’occasion pour nous tous d’évoquer

Ce défi qu’il faut garder en tête !

 

Il fallu la vouloir notre création,

Cette volonté noble et généreuse,

Sur le chantier d’accepter la vision

D’équipes renouvelées et toujours très sérieuses !

 

Sœurs et frères, dans l’action engagés

C’est un rêve, un espoir désiré,

Il nous faut bien agir pour changer,

Mais aussi inventer pour pouvoir innover.

 

Nos esprits embrumés, tant d’années englués !

Le chantier est immense, et pour nous réformer,

Dans ce monde machiste, une belle ambition,

Un effort nécessaire, mérite notre attention !

 

Rejetons le vulgaire, l’humour célibataire,

Sans cesse, élevons notre esprit,

Et toujours, relevons ce défi,

Faire de ce beau rêve la vie d’une nouvelle ère !

 

Il nous faut, confirmer l’intention,

Sans arrêt, contrôler nos pulsions,

Refuser, les anciennes tentations,

Affirmer dans les faits cette nouvelle mission.

 

Mes chères sœurs, de l’ombre il faut sortir,

Il est l’heure, affirmez vos désirs,

Réclamez, afficher tous vos dires

Car sans vous où serait notre avenir !

 

Mes chers frères, rejetons l’habitude,

De parler, plus fort que de coutume,

Il suffit de penser, et d’œuvrer avec celles,

Ces sœurs qui nous rejoignent et près de nous excellent !

 

Il nous faut inventer, une nouvelle manière,

De mettre dans la pratique, une vraie égalité,

Au-delà du respect, un élan pour être fier

Un complément dosé, une vraie félicité.

 

Il faut à l’atelier, cette dose d’insolence

Qui permette d’insuffler ce vent du renouveau

Ce désir espéré de rentrer dans la danse

De vivre la mixité comme quelque chose de beau !

 

Imprégnés des leçons de cette Egypte antique,

Où la femme avant tout était l’égale de l’Homme

Il nous est plus facile de prendre ce viatique

Ouvrir cette porte et vivre ce que l’on nomme !

SOURCE : https://www.idealmaconnique.com/post/n-oubliez-pas

PHI LE NOMBRE D’OR

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PHI LE NOMBRE D’OR
Le Secret des Mathématiques Egyptiennes

LES ETOILES  ROYALES
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1,618 033 989
______

PHI LE NOMBRE D'OR dans Recherches & Reflexions vesicapisces

 

LA PROPORTION DIVINE


Le NOMBRE D’OR n’a rien d’extraordinaire dans la nature. C’est un nombre égyptien basé sur les mathématiques. Le NOMBRE D’OR est utilisé pour la fabrication des Pyramides et la lecture du ZODIAQUE égyptien. Il est représenté de façon occulte par les symboles du YIN-YANG, des POISSONS et on le retrouve dans le VESICA PISCIS. Il est un élément fondamental du ZODIAQUE mais aussi de la TERRE dans son cycle.Les légendes sur cette SPIRALE sont purement des histoires à dromir debout, leNOMBRE D’OR n’a jamais été utilisé par les artistes et les architectes jusqu’à ce que Matila Ghyka (avec en effet la bénédiction de Paul Valéry) en fasse rétrospectivement un mythe début XXe.


Golden-Spirale dans Recherches & Reflexions

 

En Egypte, les créateurs du ZODIAQUE égyptien représentent l’écliptique sous forme de SPIRALE et le LION (le Sphinx) semble mener la ronde. Nous savons que les mesures de la Grande Pyramide de Gizeh que l’on attribue à Khéops sont basées sur le NOMBRE D’OR. Les créateurs du ZODIAQUE démontrent encore que leur génie est sans limites, puisqu’ils ont placé un code secret sur le cercle. Cette formule mathématique est utilisée pour les SAISONS !


precession

 

Le NOMBRE D’OR se trouve plusieurs fois indiqué, les créateurs de DENDERAH ont donc réalisé avant de commencer à sculpter le bas-relief, un plan géométrique se basant sur le NOMBRE D’OR, comme pour la construction des pyramides. Les Grecs ne sont pas les seuls à s’être servi de la trigonométrie (3D). Mais il y a une autre SPIRALE, celle que forme la TERRE dans le cycle de la précession des Equinoxes, et cette SPIRALE est certainement celle du NOMBRE D’OR avec ses proportions.Voir : Secret du Zodiaque

 

ETOILE D’OR ET RECTANGLE D’OR

 

L’étoile à 5 branches est mathématiquement un élément du NOMBRE D’OR, l’étoile contient le RECTANGLE D’OR répété plusieurs fois. Tous ces rectangles ont exactement les même proportions et ils peuvent se reproduire à li’infini. Si l’on met bout à bout les deux lignes les plus courtes, elles deviennet égale à la troisième, et cette ligne montre les proportions magiques du fameux NOMBRE D’OR. Pareillement avec les lignes 2 et 3, une fois encore nous obtenons le NOMBRE D’OR.


pentacle-golden

 

Ce resctangle d’Or est dans les monuments Egyptiens, Mayas et on le trouve en Asie. Chez les Grecs, il s’est imposé comme un élément de la beauté dans leurs monuments et les statues. Il est présent dans la construction des Cathédrales et les tableaux des peintres comme un élément magique. C’est purement un NOMBRE mathématique lié aux cycles de la Terre, il n’est aucunement dans la nature un nombre merveilleux, pas plus que le cercle ou le carré, mais il est un nombre mathématique fantastique. Voir : Le Nombre d’Or

 

NOMBRE D’OR ET MONOLITHE

 

Dans l’épopée de GILGAMESH, le TAUREAU (Aldebaran) de l’épisode peut être comme un marqueur des âges zodiacaux quand l’épopée a été composée. L’âge du TAUREAU (Apis / Ptah en Egypte) a duré de 4300 AV.JC circa 2150 AV.JC circa. Cependant, si nous acceptons que Enkidu est la période des Néandertaliens, l’histoire du TAUREAU conduit à la mort de Enkidu, est plus probablement un codage du moment de l’extinction de l’homme de Néandertal.Cela nécessite l’achèvement d’un cycle complet de la précession des équinoxes, une « Grande Année » ou « Grand Retour » de près de 26.000 années, plaçant l’extinction de l’homme de Néandertal à quelque 32 000 années, et c’est exactement en phase avec les estimations actuelles.Le mythe par rapport à l’ancienne connaissance astronomique, avec les ARBRES DE VIE (les étoiles) symbolisent souvent l’AXE polaire de la Terre et sont des marqueurs de la Grande Année de la précession des équinoxes et de l’axe de la terre à travers les douze maisons du ZODIAQUE. Il se trouve aussi que la hauteur en coudées de la porte des temples est le nombre numérique 72, la valeur en nombre entier le plus proche pour le nombre d’années (71,6) requis pour une changement de précession d’un degré le long de l’écliptique.


nombre-or

 

Dans la mythologie égyptienne, Osiris est tué par les 72 laquais de Set. 12 est récurrent dans le texte (notamment le nombre de jours de la maladie d’Enkidu) avec son double 24 (la largeur de la porte du temple), est bien sûr le nombre de constellations dans le zodiaque, et la liaison de 72 à 24, pas 12, peut très bien avoir été employé pour indiquer la seconde, plus tôt l’âge du TAUREAU. Le nombre 30, figurant dans le texte de 300, est certainement le nombre de citoyens d’Uruk tués par le TAUREAU (100 puis 200), c’est le nombre de degrés d’arc que chaque constellation occupe le long de l’écliptique.Ainsi 72 années x 12 x 30 constellations degrés d’arc = 25 920 années, ou un grande année. GILGAMESH a apporté une histoire à partir d’un temps d’avant le déluge, c’est à dire, la fin de la dernière ère glaciaire, la préservation de notre histoire la plus ancienne dans la pierre. A l’intérieur de ce rectangle, leNOMBRE D’OR est inséré, il permet de lire numériquement les solstices. On retrouve ce rectangle un peu partout dans la publicité, les feuilles de papier, les édifices, etc..

 

golden
Monolithe et Golden Ratio : Des valeurs numériques du Zodiaque

 

ROS TAU

 

Le TAU vient du nom du plateau de GISEH en égypte qui s’appelait autrefois ROS TAU (Rose Croix), il est  » l’ emblème de tous les emblèmes « . Le symbole a été utilisé t en mathématiques pour représenter le NOMBRE D’OR jusqu’à ce que la lettre grecque PHI (F) acquise prominance (après la première lettre de Phidias, sculpteur célèbre du Parthénon). C’est un symbole mâsculin avec une forme de phallus. Le SERPENT d’AIRIN (25e degrès maçonique) du judaïsme est ainsi enroulé sur la croix de TAU. On retrouve ce symbole partout (Nations Unies, Medecine, etc.).


rostau

 

Le TRIPLE TAU (3T ou T3) est un symbole maçonnique important, le joyau du 33ème degré représente quatre TAUS formant une CROIX grecque, le QUADRUPLE TAU représente la grande croix dans les cieux. Il permet de lire correctement le ZODIAQUE égyptien dans le bon sens. CROIX ANK, la SVATISKA, le YIN-YANG, OHM, et tant d’autres symboles, sont des représentations de PHI.LeNOMBRE D’OR est la proportion, définie initialement en géométrie, comme l’unique rapport entre deux longueurs telles que le rapport de la somme des deux longueurs (a+b) sur la plus grande (a) soit égal à celui de la plus grande (a) sur la plus petite (b) c’est-à-dire lorsque (a+b)/a = a/b. Le découpage d’un segment en deux longueurs vérifiant cette propriété est appelé par Euclide découpage en extrême et moyenne raison. Le NOMBRE D’OR est maintenant souvent désigné par la lettre PHI.


spirale

 

Ce nombre irrationnel est l’unique solution positive de l’équation x2 = x + 1 soit approximativement 1,618 033 989. Il intervient dans la construction du pentagone régulier et du rectangle d’or. Ses propriétés algébriques le lient à la SUITE DE FIBONACCI et permettent de définir une « arithmétique du nombre d’or », cadre de nombreuses démonstrations. valeur

 

Le NOMBRE D’OR existe donc bien, mais il n’y a rien d’un NOMBRE extraordinaire créateur de l’univers ! Il s’agit de la proportion selon laquelle le rapport entre deux parties est égal au rapport entre la plus grande de ces parties et le tout. C’est un nombre irrationnel : (1 + v5) / 2. Soit 1,618 et un nombre infini de décimales.On le trouve notamment obligatoirement dans certaines figures géométriques comme rapport entre longueurs incommensurables. En particulier dans tout ce qui est pentagonal (au même titre que v2 intervient dans le carré, v3 dans le cube ou Pi dans le cercle). Il est lié à la suite de Fibonacci, qui est faite de nombres entiers correspondant à beaucoup de modèles de croissance, et qui tend vers leNOMBRE D’OR.Le nombre 154 est aussi beaucoup utilisé. Un cercle de diamètre 14 a le même périmètre qu’un carré de côté 11 et 14/11 est la racine carrée duNOMBRE D’OR, d’où l’importance du nombre 154 (11×14).LeNOMBRE D’OR est une fascination mathématiques utilisée par les sectes et la franc-maçonnerie. L’histoire de cette proportion commence à une période reculée de l’antiquité grecque. À la Renaissance, LUCA PACIOLI, un moine franciscain italien, la met à l’honneur dans un manuel de mathématiques et la surnomme DIVINE PROPORTION en l’associant à un idéal envoyé du ciel. Cette vision se développe et s’enrichit d’une dimension esthétique, principalement au cours des XIXe et XXe siècles où naissent les termes de section dorée et de NOMBRE D’OR.

 

LES ORIGINES

 

Le NOMBRE D’OR se trouve parfois dans la nature comme dans les capitules du tournesol ou dans certains monuments à l’exemple de ceux conçus par Le Corbusier. Il est aussi étudié comme une clé explicative du monde, particulièrement pour la beauté. Il est érigé en théorie esthétique et justifié par des arguments d’ordre scientifique ou mystique : omniprésence dans les sciences de la nature et de la vie, proportions du corps humain ou dans les arts comme la peinture, l’architecture ou la musique.Certains artistes, tels le compositeur Xenakis ou le poète Paul Valéry ont adhéré à une partie plus ou moins vaste de cette vision, soutenue par des livres populaires. À travers la médecine, l’archéologie ou les sciences de la nature et de la vie, la science infirme les théories de cette nature car elles sont fondées sur des généralisations abusives et des hypothèses inexactes.Les historiens considèrent que l’histoire du nombre d’or commence lorsque cette valeur est l’objet d’une étude spécifique. Pour d’autres, la détermination d’une figure géométrique contenant au moins une proportion se calculant à l’aide du NOMBRE D’ORsuffit. La pyramide de Khéops (vers 2520 av. J.-C.) devient, selon cette dernière convention, un bon candidat pour l’origine. D’autres encore se contentent des restes d’un monument dont des dimensions permettent d’approximer le NOMBRE D’OR. Selon ce critère, un amas de pierres sous la mer des Bahamas est une origine plus ancienne. Ces vestiges, dont l’origine humaine et la datation sont incertaines sont dénommés TEMPLE D’ANDROS. Voir : Ruines dans les Caraibes

Les historiens s’accordent tous sur l’existence d’une origine ancienne, mais l’absence de document d’époque définitif interdit une connaissance indiscutable de l’origine. Dans ce cadre, l’hypothèse est parfois émise que le nombre d’or a son origine chez les pythagoriciens : ils auraient connu et construit empiriquement le dodécaèdre régulier. Les pythagoriciens connaissaient déjà une construction du pentagone à l’aide de triangles isocèles. À cette époque, l’étude du nombre d’or est essentiellement géométrique, Hypsicles, un mathématicien grec du IIe siècle av. J.-C., en fait usage pour la mesure de polyèdres réguliers. Elle revient chaque fois qu’un pentagone est présent.

Le premier texte mathématique indiscutable est celui des Éléments d’Euclide (vers 300 av. J.-C.). Dans la 3e définition du Livre vi, le nombre d’or est défini comme une proportion géométrique. Sa relation avec le pentagone, l’icosaèdre et le dodécaèdre régulier est mise en évidence. Il est donc lié aux problèmes géométriques déjà résolus par les les pythagoriciens, mais selon l’historien des sciences Thomas Heath (s’appuyant sur Proclus), c’est probablement PLATON qui en avait fait ensuite un sujet d’étude spécifique.

Les mathématiques arabes apportent un nouveau regard sur ce nombre, plus tard qualifié d’or. Ce n’est pas tant ses propriétés géométriques qui représentent pour eux son intérêt, mais le fait qu’il soit solution d’équations du second degré. Al-Khawarizmi, un mathématicien perse du VIIIe siècle, propose plusieurs problèmes consistant à diviser une longueur de dix unités en deux parties. L’un d’eux possède comme solution la taille initiale divisée par le NOMBRE D’OR.

ABU KAMIL propose d’autres questions de même nature dont deux sont associées au nombre d’or. En revanche, ni pour Al-Khawarizmi ni pour ABU KAMIL, la relation avec la proportion d’extrême et moyenne raison n’est mise en évidence Il est difficile de savoir si la relation avec le nombre d’or était claire pour eux.


naissancevenus

Les dimensions de La Naissance de Vénus de Sandro Botticelli respectent assez précisément la divine
proportion. Il est pourtant très peu probable que cela indique une quelconque volonté de l’auteur.

 

Au Moyen Âge, LEONARDO PISANO, plus connu sous le nom de FIBONACCI, introduit en Europe les équations d’ABU KAMIL. Dans son livre Liber Abaci, on trouve non seulement la longueur des deux segments d’une ligne de 10 unités mais aussi, clairement indiquée la relation entre ces nombres et la proportion d’EUCLIDE. Son livre introduit la suite qui porte maintenant son nom, connue « aux Indes » depuis le VIe siècle. En revanche la relation avec le nombre d’or n’est pas perçue par l’auteur. Un élément de cette suite est la somme des deux précédents. Trois siècles plus tard, LUCA PACIOLI rédige un livre dénommé La DIVINE PROPORTION, illustré par LEONARD DE VINCI. Si l’aspect mathématique n’est pas nouveau, le traitement de la question du NOMBRE D’OR est inédit.

 

NOMBRE D’OR ET PYRAMIDE

 

La pyramide de Kheops a des dimensions qui mettent en évidence l’importance que son architecte attachait au nombre d’or. Le rapport de la hauteur de la pyramide de Kheops, mesurée par Thalès de Milet (-624 ; -548) par sa demi base est égal au nombre d’or. Les proportions géométriques de la Grande Pyramide de GIZEH présentent certaines qualités également remarquables, souvent évoquées, telles les deux valeurs PI et PHI (le nombre d’or).On trouve en particulier la première dans le rapport de la hauteur h au demi-périmètre de base p , soit h/p = 22/7 = 3,1428, nombre très voisin de PI = 3,1416, et la seconde dans le rapport de l’apothème x à la demi-base b , soit x/b = 8,9023/5,5 = 1,618, qui est égal à (1 + racine carré de 5)/2, exactement leNOMBRE D’OR. On y trouve également le mètre, la vitesse de la lumière, la vitesse de rotation de la terre et une carte du ciel indiquant les EQUINOXES.


pyramide

 

LE NOMBRE D’OR DANS LA NATURE


Le Nombre d’Or n’est Aucunement un Nombre Merveilleux de la Création

 

Dans le monde végétal, les écailles des pommes de pins engendrent des spirales particulières, dites logarithmiques. Ces spirales se construisent à l’aide d’un nombre réel non nul quelconque. Si ce nombre est égal au NOMBRE D’OR, les proportions correspondent à la moyenne et extrême proportion d’EUCLIDE et la SUITE DE FIBONACCI apparaît. Ce phénomène se produit sur les étamines d’une fleur de tournesol. La présence du NOMBRE D’OR n’est pas controversée dans ce cas mais ce n’est pas exactement la divine proportion. Il n’y a pas le NOMBRE D’OR dans la nature ! En biologie, l’ordonnancement des écailles d’une pomme de pin ou de l’écorce d’un ananas induit des spirales ordonnées par des nombres entiers, souvent associés au NOMBRE D’OR. Sur la POMME DE PIN on observe 8 spirales, chacune formée de 13 écailles dans un sens et 13 spirales formées de 8 écailles dans l’autre sens. Les proportions de ces spirales ne sont pas très éloignées de celles d’une SPIRALE D’OR. C’est exactement pareil pour le NAUTILE, tout ce qui ressemble à une spirale est attaché à la divine proportion, mais elle ne figure pas vraiment ! Les nombres 8 et 13 sont deux nombres consécutifs de la SUITE DE FIBONACCI et leur rapport est proche du nombre d’or. Un phénomène analogue se produit avec les étamines des TOURNESOLS, cette fois avec les couples d’entiers (21,34), (34,55) et (55, 89). Chacun de ces couples correspond à deux entiers consécutifs de la SUITE DE FIBONACCI.


pin_or

 

En minéralogie, il existe des cristaux dont les atomes s’organisent selon un schéma pentagonal. Les proportions entre les côtés et les diagonales du pentagone font intervenir le NOMBRE D’OR. Il est aussi présent dans des structures dites quasi cristallines. Les atomes dessinent des TRIANGLE D’OR qui remplissent l’espace sans pour autant présenter de périodicité, on obtient un pavage de Penrose. Pour la même raison que précédemment, le NOMBRE D’OR est présent et l’on retrouve la SUITE DE FIBONACCI. Le pentagone n’est pas présent dans tous les cristaux. La structure cubique à faces centrées d’un diamant ne fait pas intervenir le NOMBRE D’OR. Il n’y a pas le NOMBRE D’OR ni PROPORTION D’OR ni SUITE DE FIBONACCI dans l’étude de la spirale logarithmique correspondante comme celles que forment la coquille du mollusque le NAUTILUS, les yeux sur les plumes d’un paon ou encore certaines galaxies, ce sont des légendes urbaines afin de mieux cacher les mystères du ZODIAQUE égyptien. Voir : Invention des Religions

 

LE CORPS HUMAIN


Une théorie minoritaire et controversée

Le corps humain est un enjeu souvent corrélé à celui du NOMBRE D’OR. Il comporte différentes facettes. Tout d’abord scientifique, la question mainte fois posée est de savoir si le corps, à l’image de la fleur de tournesol, possède une relation plus ou moins directe avec le NOMBRE D’OR. En terme artistique, la divine proportion est-elle utilisable pour représenter le corps ? Il existe enfin un enjeu esthétique. Si le nombre d’or, comme le pense le compositeur Xenakis, est relié à notre corps, son usage peut être une technique pour obtenir de l’harmonie. Albrecht Dürer développe un module dans le même esprit que l’homme de Vitruve de Léonard de Vinci. Le sien utilise un système de division par dix. La première corrélation recherchée est dans les dimensions du corps humain. Elle débouche sur la tentative d’un système de mesure construit à l’aide du seul nombre d’or. Zeising fonde toute une anatomie sur cette arithmétique. Après un vif effet de mode, cette approche est finalement abandonnée. Ses proportions sont à la fois trop imprécises et ne correspondent que trop mal à l’anatomie du corps humain. Les proportions du crâne, par exemple, ne sont pas réalistes. D’autres raisons, plus profondes encore, sont la cause de l’abandon d’une démarche de cette nature. L’anatomie médicale n’est pas à la recherche d’une proportion particulière, mais des limites qui, si elles sont dépassées deviennent pathologiques. Elle utilise des fractions simples ainsi que des plages de longueur, mais jamais le NOMBRE D’OR. Là où certains voient une divine proportion, comme dans le rapport de la longueur de l’avant-bras sur celui de la main, l’anatomiste scientifique calcule le rapport entre la longueur de la main et celle de l’avant bras, il voit 2/3. La différence entre les deux approches, inférieure à 8 %, ne lui paraît pas justifier une telle complexité, au vu des variations observées entre les individus. Stephen Jay Gould, un paléontologue, a montré à quel point les mesures anthropométriques visant à étayer les doctrines de cette époque étaient biaisées par leurs auteurs. Une autre raison est que les dimensions d’un être humain sont en constante évolution. En un siècle, la stature du Français moyen a augmenté de 9 centimètres, et cette croissance n’est pas uniforme. Le jeu des proportions d’un corps humain est essentiellement dynamique, cet aspect rend difficile d’imaginer une proportion unique, clé universelle de l’anatomie humaine. Une approche de cette nature, trop normative et intemporelle, n’a pas beaucoup de sens scientifique en anatomie. Si cet axe de recherche n’est plus d’actualité, cela ne signifie pas l’abandon de la quête du NOMBRE D’OR dans le corps humain. Le cerveau est maintenant source d’attention. Cette théorie reste minoritaire et controversée.

Les contraintes artistiques sont de natures différentes. Les artistes, attentifs au travail des médecins, ont imaginé des modules ou systèmes de proportions, propres au corps humain. Le désir de le représenter impose une démarche de cette nature. Un très ancien module est celui des Égyptiens, la classique proportion qu’est le rapport de la taille complète à la hauteur du nombril est estimée à 19/11, relativement loin du NOMBRE D’OR.

Les modules sont, en général, purement fractionnaires. Tel est le cas de celui inventé par les Égyptiens, par Polyclète, qui nous est rapporté par Vitruve, de celui de Cousin, de Vinci ou de Dürer . Il est néanmoins difficile d’en déduire que Dürer croyait en un canon universel. Il initie une conception fondée sur la pluralité des types de beauté, ayant chacune ses proportions propres.

 

SYMBOLES DU NOMBRE D’OR


Une Clef Occulte pour ouvrir le Stargate

Les symboles du NOMBRE D’OR sont nombreux. Pour lire le ZODIAQUE la CLEF est symétrique ou en forme de SPIRALE. Il y a le fabuleux YIN-YANG asiatique utilisé par les sectes et sociétés secrètes , comme avant eux les rois avec la FLEUR DE LYS, mais aussi la POMME (pomme rouge puis Or quand elle est coupée), la POMME DE PIN, le VESICA PISCIS, le CADUCE, une CLEF ou une SERRURE, une DOUBLE ECLIPSE, la fleur de TOURNESOL, etc..

 

APPLE


L’héritage de Steve Job

 

Le CODE est érigé en théorie esthétique et justifié par des arguments d’ordre scientifique ou mystique : omniprésence dans les sciences de la nature et de la vie, proportions du corps humain ou dans les arts comme la peinture, l’architecture ou la musique. Nous pouvions sentir une l’élégance délibérée, réfléchie, créative, simple, modeste, parfaite et intemporelle chez Steve Job. Le génie nous donne le code mathématique du NOMBRE D’OR dans son logo et invite à croquer la POMME.Chaque courbe du logo respecte scrupuleusement les contours de cercles aux proportions de la divine proportion. Apple ne s’est pas contenté d’appliquer cette règle à son logo principal, il l’applique également à ses autres services. Twitter s’est servi de la spirale de Phi pour construire la structure de sa page.Voir :Le Secret de l’Etoile Rouge


apple

 

 


Il ya une différence entre le fruit de la connaissance et le fruit de l’arbre de vie.
Il y a une différence entre connaître le chemin et arpenter le chemin

SOURCE : http://secretebase.free.fr/religions/golden/golden.htm

La tête magique des Templiers

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La tête magique des Templiers

Article publié par EzoOccult le Webzine d’Hermès et mis à jour le : 5 janvier 2016

Par Salomon Reinach [1]

On trouve encore, dans quelques catalogues de musées, la description de sculptures, reliefs sur pierre ou petit bronzes, qui sont qualifiés de baphomets ou de baphométiques [2]. Ces termes singuliers remontent au procès des Templiers, soupçonnés d’avoir une mystérieuse idole dite Baphomet. Il n’est plus douteux que Baphomet soit une simple altération de Mahomet [3] : l’accusation cherchait, en effet, à établir que les Templiers étaient convertis à l’islamisme et qu’après avoir renié le dieu des chrétiens, dans leurs cérémonies secrètes, ils rendaient hommage au prophète des musulmans. Personne ne consentirait plus à discuter l’étrange hypothèse de M. de Hammer, qui voulait reconnaître dans Baphomet les deux mots grecs Baphé et Mêtis et interprétait le prétendu composé par « le baptême de l’intelligence ». La véritable explication, qui saute aux yeux, avait déjà été donnée par Sylvestre de Sacy (1810) et par Raynouard (1813).

Ce dernier historien refusait, malgré tous les aveux arrachés aux membres de l’ordre soit par la torture, soit par la menace de la torture, d’admettre l’existence de l’idole des Templiers et de ses copies ou congénères. Pourtant, en 1872 encore, le savant bibliothécaire d’Orléans, Loiseleur, croyait fermement non seulement à un Baphomet, mais à plusieurs idoles de ce nom [4]. Dans l’intervalle entre le travail de Raynouard et celui de Loiseleur, les monuments qualifiés de baphométiques s’étaient multipliés dans les collections. La critique moderne n’en a rien laissé subsister. Alors que Montaiglon, en 1881, parlait encore de figures baphométiques [5], j’ai montré, en 1886, qu’un objet ainsi désigné au Cabinet des médailles était, en réalité, un moule asiatique en serpentine [6], probablement hittite ; M. de Villefosse, en 1900, a dénoncé comme des faux récents, probablement du début du XIXe siècle, toute une série de petits bronzes dits baphométiques, dont l’un, conservé au musée du Louvre, semble porter la date 1156, correspondant à l’époque la plus florissante de l’ordre [7] ; enfin, il y a peu d’années, j’ai repris, dans la Revue africaine, l’examen des reliefs en pierre du musée de Vienne et de l’ancienne collection du duc de Blacas, aujourd’hui au Musée britannique, pour montrer sur quels indices fragiles reposait l’attribution aux Templiers de ces objets dépourvus de style, dont l’authenticité éveille d’ailleurs de graves soupçons [8].

Privée du soutien qu’elle croyait dériver de certains monuments figurés, la croyance au Baphomet paraît généralement abandonnée aujourd’hui ; du moins le dernier historien du procès des Templiers, M. Finke, a-t-il pu écrire (p. 327) : « Il y a longtemps qu’on ne cherche plus la mystérieuse idole du Baphomet. [9] » C’est sans doute pour cette raison que M. Finke ne s’est pas arrêté aux témoignages qui concernent cet objet et les objets similaires. Toutefois, il ne suffit pas de dire qu’une chose n’a pas existé ; il semble nécessaire aussi de chercher comment elle a été conçue et quelles idées préexistantes ont contribué à la formation d’un fantôme qui, après avoir été exploité contre l’orthodoxie des Templiers, a tourné la tête de Plus d’un archéologue.

Baphomet

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Cérémonie maçonnique avec le Baphomet

I

Avant même le commencement de la procédure, c’est-à-dire l’arrestation des Templiers français par ordre de Philippe le Bel (octobre 1307), le dénonciateur et calomniateur de l’ordre, le Biterrois Esquin de Floyrans [10], avait accusé les Templiers auprès du roi Jayme II d’Aragon, puis auprès du roi de France, d’adorer une idole. Ce crime est un de ceux qui furent spécifiés dés le début et sur lequel les commissaires royaux durent interroger les chevaliers [11]. Mais dans le procès-verbal de leur enquête, que nous possédons, ce grief passe tout à fait au second plan : les Templiers, Jacques de Molay en tête, confessèrent avoir renoncé au Christ et craché sur la croix [12] ; mais ne dirent rien de leur prétendue idole. C’est seulement plus tard [13] que les témoignages se multiplient à ce sujet, témoignages d’ailleurs contradictoires et même inconciliables, comme le remarque déjà Raynouard, puisque l’idole est, suivant les uns, une statue, suivant d’autres une tête, suivant d’autres encore, un ensemble de plusieurs têtes ou même une peinture sur bois [14].

Loiseleur, qui a étudié ces dépositions et en a publié de nouvelles – celles que recueillirent les inquisiteurs de Florence – a essayé d’en faire la moyenne pour arriver à se former une opinion. « L’objet du culte des Templiers, écrit-il [15], était tantôt une idole ayant une seule tête, laquelle était barbue, tantôt une autre idole ayant deux et même trois têtes [16]. » Du corps de l’idole il ne dit rien, car la plupart des témoignages mentionnent seulement la tête. Le troisième témoin (entendu à Florence) déclare que « le précepteur de la maison de Sainte-Sophie de Pise avait une tête semblable à l’idole de Bologne, tête qui était sa propriété particulière et qu’il adorait [17]. » Ainsi il y avait des têtes-idoles qu’on montrait dans les chapitres et d’autres qui servaient seulement à des rites privés. « L’idole adorée par les Templiers, écrit encore M. Loiseleur, paraît, comme celle des Druses et des Nosaïris, être l’emblème du mauvais principe ; mais elle en diffère profondément quant à la forme, puisque c’est une tête humaine ayant un ou deux visages, tandis que chez les Druses au moins l’idole offre la figure d’un veau, symbole des cultes ennemis de la religion unitaire [18]. » Loiseleur alléguait encore, entre autres témoignages, celui d’un témoin de Florence, suivant lequel la tête était placée dans la salle du chapitre et recevait les hommages de deux cents frères prosternés [19] ; en montrant l’idole pour la première fois à l’un des initiés, le précepteur lui avait dit : Ecce deus vester et vester Magumet [20]. Mais c’était peu d’adorer cette tête ; il fallait tirer parti de ses vertus magiques. Je cite encore Loiseleur : « Pierre de Bonnefond apprit des témoins de sa réception que la cordelette dont il était ceint avait touché, dans les pays d’outre-mer, une certaine tête (c’est la tête par excellence, conservée en Orient, dont les autres seraient des copies [21]). Les quatre premiers témoins de Florence déclarèrent avoir assisté à la cérémonie de la consécration de la cordelette et de sa distribution tant à eux-mêmes qu’à plusieurs frères présents. Une fois consacrées par leur contact avec l’idole, les cordelettes étaient conservées dans des coffrets pour en être extraites au fur et à mesure des réceptions. Ces coffrets voyageaient avec les Templiers et servaient ainsi à serrer les idoles (voilà l’origine des prétendus coffrets baphométiques du duc de Blacas). Gaucerand de Montpesat dépose qu’il lui fut baillé une ceinture que son initiateur tira de la caisse où était la figure de Baphomet et qu’il lui commanda de garder cette ceinture et de la porter perpétuellement [22]. »

Disons, en passant, que la mention de cette cordelette, rappelant le fil de lin que portaient les cathares albigeois, est une des causes de la profonde erreur où Loiseleur est tombé. Il voyait là une analogie frappante entre les Templiers et les hérétiques du midi de la France et se confirmait dans cette illusion par un autre témoignage, portant que l’idole avait le pouvoir de faire fleurir les arbres et de faire germer la terre. « Ces termes, remarque-t-il, ne sont pas seulement ceux de l’accusation ; ce sont les expressions mêmes dont se sert le frère Bernard de Parme, le second des témoins entendus à Florence. Or, ces termes sont exactement ceux employés par l’inquisition de Toulouse pour désigner le dieu mauvais des Cathares albigeois ; nouveau trait de lumière au milieu de ces ténèbres. » Trait de lumière, en effet, mais pas dans le sens de la thèse de Loiseleur. On conçoit assez que les accusateurs du Temple, en possession des manuels qui avaient servi contre les albigeois, aient attribué aux chevaliers certaines erreurs albigeoises et aient cherché à en obtenir l’aveu [23].

Il fallait bien suggérer aux chevaliers des réponses, puisqu’on les faisait parler, de gré ou de force, de choses inexistantes. Ceux qui osaient dire, malgré les termes précis de l’acte d’accusation, qu’ils ne savaient rien de l’idole, risquaient d’être traités sans ménagements : témoin ce Gérard de Pasage, du diocèse de Metz, qui, pour avoir fait une pareille réponse, fut cruellement torturé sur l’ordre du bailli de Mâcon, par la suspension de poids à ses testicules [24].

L’historien danois Münter a autrefois émis l’hypothèse que les prétendues têtes adorées par les Templiers étaient de simples chefs reliquaires, comme on en trouve encore dans beaucoup de musées et de trésors d’églises. À l’appui de cette opinion, on allégua qu’une perquisition, faite au Temple de Paris en 1310, fit découvrir, en effet, une tête en métal contenant des reliques, qui fut présentée à la commission pontificale. Cette tête portait le numéro LVIII en chiffres romains ; on a supposé qu’il y en avait, par suite, beaucoup d’autres, que les Templiers eurent le temps de mettre à l’abri [25]. À quoi l’on peut objecter – et l’objection paraît sans réplique – que si la fameuse tête des Templiers avait été un chef reliquaire, il eût été trop facile aux accusés de le déclarer sans ambages et de faire tomber ainsi l’accusation d’idolâtrie. Or, à une seule exception près, aucun des témoins interrogés n’a dit que la tête fût un reliquaire ; ils ont dit des choses extravagantes, parce qu’ils ne savaient pas sur quoi on les interrogeait et qu’ils devaient bien, sous peine d’être torturés, inventer ou répéter quelque chose.

L’idée que les Templiers avaient une idole devait se présenter naturellement à leurs ennemis. Du fait même qu’on les soupçonnait véhémentement d’hérésie, ils devaient être idolâtres ; on sait que le mot idolâtre figura sur l’écriteau de Jeanne d’Arc, bien qu’on ne l’ait jamais accusée ouvertement d’offrir un culte à une image. Cette idole des Templiers idolâtres devait être un Mahomet ou un Baphomet, puisqu’on voulait que ces soldats du Christ eussent passé au camp ennemi de l’islamisme. Mais pourquoi une tête ? Pourquoi une tête douée de pouvoirs magiques ? On peut, je crois, tenter de répondre à ces questions, que Loiseleur, dans sa foi naïve à la véracité des aveux, n’avait pas la même raison que nous de se poser.

II

Rappelons d’abord les termes précis d’un article de la première enquête (articulo super quibus inquiretur contra ordinem Templi) :

Que les chevaliers, dans les diverses provinces, avaient des idoles, à savoir des têtes, dont quelques-unes à trois faces et d’autres à une seule ; d’autres possédaient un crâne humain. Ces idoles ou celte idole étaient adorées… Les chevaliers disaient que cette tête pouvait les sauver, les rendre riches, qu’elle fait fleurir les arbres, qu’elle fait germer les moissons ; les chevaliers ceignaient ou touchaient avec des cordelettes une certaine tête de ces idoles et ensuite ils se ceignaient avec celle cordelette, soit au-dessus de la chemise, soit sur la peau [26].

Voici maintenant la déposition faite en présence de deux évêques par le notaire public, apostolica et imperiali auctoritate, Antonio Sicci (Antonius Sycus) de Verceil [27]. Notaire des Templiers en Syrie pendant quarante ans, il avait déjà été interrogé, au cours de l’instruction, par les inquisiteurs parisiens.

Au sujet de l’article faisant mention de la tête, j’ai plusieurs fois entendu raconter ce qui suit dans la ville de Sidon. Un certain noble de cette ville aurait aimé une certaine femme noble d’Arménie ; il ne la connut jamais de son vivant, mais, quand elle fut morte, il la viola secrètement dans sa tombe, la nuit même du jour où elle avait été enterrée. L’acte accompli, il entendit une voix qui lui disait : « Reviens quand le temps de l’enfantement sera venu, car tu trouveras alors une tête, fille de tes œuvres. » Le temps accompli, le chevalier susdit (praedictus miles) revint au tombeau et trouva une tête humaine entre les jambes de la femme ensevelie. La voix se fit entendre de nouveau et lui dit : « Garde bien cette tète, parce que tous les biens te viendront d’elle. » À l’époque où j’ai entendu cela, le précepteur de ce lieu (Sidon), était frère Mathieu dit le Sarmage, natif de Picardie. Il était devenu le frère du Soudan à Babylone qui régnait alors, parce que l’un avait bu du sang de l’autre, ce qui faisait qu’on les regardait comme des frères. Le précepteur des chevaliers était un certain frère Philippe ; le gonfalonier était un maître des servants qui s’appelait frère Simon Picard [28].

Avec ce curieux témoignage, nous sommes en plein folklore : le viol d’une morte aimée, ou nécrophilie ; la fécondité de cette monstrueuse union ; la puissance magique de la tête séparée du tronc. Cette déposition émut vivement les inquisiteurs ; ils la firent écrire par Antonio lui-même et interrogèrent ensuite à ce sujet plusieurs des témoins qui avaient résidé en Syrie. L’un deux, frère Jean Senandi, un servant, dit avoir vécu cinq ans à Sidon ; il n’avait rien appris au sujet de la tête, mais il savait que la ville de Sidon avait été achetée par les Templiers et que Julien, un des seigneurs de cette ville, était entré dans l’ordre [29]. Plus tard, ayant apostasié, il tomba dans la misère ; Senandi avait entendu dire, mais ne se souvenait pas par qui, qu’un des ancêtres de Julien avait aimé une fille de ce pays et avait cohabité avec elle après qu’elle fut morte.

Un témoignage beaucoup plus complet et plus fantastique que celui de Sicci lui-même fut apporté aux inquisiteurs par Hugues de Faure, chevalier, réconcilié par l’évêque de Limoges [30]. Il déclara qu’après la chute d’Acre il se trouvait à Chypre ; là il entendit conter par un chevalier, bailli de la ville de Limassol, qu’un noble avait aimé une jeune fille de Maraclée en Tripoli. Ne Pouvant la posséder vivante, il la fit exhumer après sa mort, eut commerce avec elle et lui coupa ensuite la tête. Une voix l’avertit de conserver avec soin cette tête, qui avait le pouvoir d’anéantir et de dissiper tout ce qu’elle regardait. Il la couvrit et la déposa dans un coffret. Peu après, en lutte avec les Grecs qui résidaient à Chypre et dans les lieux voisins, il se servit de cette tête contre les villes et les camps des Grecs ; il lui suffisait de la montrer pour anéantir ses ennemis. Un jour qu’il naviguait vers Constantinople, avec le projet de détruire cette ville, sa vieille nourrice vola la clef du coffret pour voir ce qu’il contenait et en retira la tête : aussitôt une tempête terrible éclata et le navire fut submergé ; seuls quelques matelots purent se sauver et raconter ce qui s’était passé. Depuis cet événement, disait-on, il n’y avait plus de poissons dans cette partie de la mer. Mais Hugues de Faure n’avait pas entendu dire que cette tête eût appartenu ensuite aux Templiers et ne connaissait pas celle au sujet de laquelle maître Antoine de Verceil avait déposé. Enfin, suivant un autre témoin, une tête mystérieuse paraissait parfois dans le tourbillon voisin de Satalia et alors tous les navires qui voguaient dans ces parages couraient les plus grands périls [31].

L’histoire d’Hugues de Faure offre plusieurs éléments nouveaux. La tête n’est pas le produit d’un viol, mais c’est la tête même de la morte séparée du tronc ; cette version est sans doute plus authentique que l’autre, car l’efficacité magique des têtes coupées est un trait fort connu dans le folklore [32]. En second lieu, la tête n’est pas un talisman qui assure, d’une manière mal définie, la fortune de son possesseur, mais une arme qui le rend invincible, qui lu permet d’anéantir ses ennemis. Enfin, l’histoire de la vieille nourrice, qu’un sentiment de curiosité pousse à violer le secret du coffret, est un des motifs les plus fréquents des contes populaires ; la mention du coffret, où la tête est soigneusement enfermée, peut être à l’origine de la croyance obstinée qui attribuait aux Templiers des coffrets où ils dissimulaient avec soin leurs talismans.

III

Ni Antonio Sicci ni Hugues de Faure, déposant en 1310, n’ont rien inventé. Ils n’ont pas cherché non plus à noircir les Templiers ; aucun d’eux n’a dit qu’un chevalier du Temple fût en possession de la tête magique. Ils se sont simplement faits l’écho d’une légende plus ancienne qui paraît vers 1190 dans Gautier Map, vers 1201 dans Roger de Hoveden, vers 1210 dans Gervais de Tilbury. Il suffit de rapporter la première en date de ces versions, celle de Map, dans son livre si curieux De nugis curialium, écrit à la cour d’Angleterre entre 1182 et 1190. Notons que Map parle des Hospitaliers et des Templiers et qu’il raconte l’origine de ces ordres, en déplorant leur corruption croissante [33]. Ce n’est pas à dire que son texte ait influé sur les témoignages cités plus haut : bien au contraire, cela est inadmissible mais son récit est le prototype de ceux qui furent recueillis par les inquisiteurs et soumis, comme des documents sérieux, aux Pères du concile de Vienne en 1311.

Au temps de Gerbert, dit Map, il y avait à Constantinople un jeune cordonnier très habile et très expéditif. Il lui suffisait de voir un pied nu, bien conforme ou difforme, pour trouver aussitôt la chaussure qui lui convenait. Il n’excellait pas moins dans les jeux et les exercices physiques. Un jour, une belle jeune fille, entourée d’une nombreuse escorte, vint à sa fenêtre et lui montra son pied nu, désirant être chaussée par lui. Le cordonnier devint amoureux à la folie de sa cliente. Désespérant de se faire agréer d’elle, il quitta son métier, vendit son patrimoine et se fit soldat, rêvant d’acquérir une illustration qui fit de lui l’égal des nobles et lui donnât quelque chance d’être accueilli. Bientôt, la fortune aidant, il s’éleva à une haute distinction. Alors il demanda la jeune fille à son père mais sa requête fut repoussée. Fou de colère, il se joignit à une bande de pirates et se fit redouter sur terre et sur mer. Tout à coup il apprit que la jeune fille était morte ; il court assister à ses funérailles, note le lieu de sa sépulture et, la nuit venue, ouvre le tombeau. On devine le reste. Son crime accompli, il entend une voix qui l’avertit de revenir au moment où la morte aurait enfanté. Il obéit à cet avis et, le temps révolu, retira de la tombe une tête humaine, avec défense de la faire voir à d’autres qu’à des ennemis. Il la déposa dans un coffret clos avec grand soin, puis se mit à courir la terre ferme ; muni de ce masque de Gorgone (Gorgoneum ostentum), il pétrifiait ceux qui l’approchaient comme avec la tête de Méduse. Tous s’inclinaient devant lui, tous le reconnaissaient pour maître… À la mort de l’empereur de Constantinople, sa fille lui est offerte ; il l’accepte et lui apprend son terrible secret. Elle ouvre le coffret et, au réveil de son mari, lui montre le masque. Puis elle ordonne qu’on jette la tête de Méduse (Medusaeum prodigium) et le corps du pirate dans la mer des Grecs. Les envoyés de la princesse exécutèrent ces ordres ; mais aussitôt la mer se souleva avec fureur, comme si elle voulait vomir ce monstre, et il se forma en ce lieu un tourbillon, pareil à celui de Charybde près de Messine, qui engloutit tout ce qui l’approche. Comme la jeune fille s’appelait Satalia, le tourbillon, évité de tous les navigateurs, s’appelle le gouffre de Satalia.

Sous cette forme, la légende est tout à fait transparente, Map lui-même parle de la Gorgone et de Méduse ; c’est une survivance, dans le folklore de la Méditerranée orientale, du mythe de Persée. Suivant Gervais de Tilbury, c’est Persée lui-même qui a jeté à la mer la tête de la Gorgone ; celle-ci, dit-il, était une belle courtisane qui paralysait les âmes des hommes. Mais les « indigènes », ajoute-t-il, racontent une autre histoire. « Un chevalier aima une reine, mais ne put la posséder ; quand elle fut morte, il la viola dans son sépulcre et il en résulta cette tête monstrueuse. Au moment du crime, le chevalier entendit une voix dans les airs : “Ce que cette femme enfantera détruira et consumera toutes choses par son aspect.” Neuf mois après, il ouvrit le tombeau et y trouva la tête ; il eut grand soin de ne pas la regarder ; mais lorsqu’il la faisait voir à des ennemis, il les détruisait aussitôt avec leurs villes. Un jour, naviguant sur mer, il s’endormit dans le sein de sa maîtresse ; celle-ci vola la clef du coffret qui contenait la tête et l’ouvrit ; mais, dès qu’elle la regarda, elle mourut. Le chevalier, à son réveil, vit sa maîtresse morte et, dans sa douleur, leva les yeux ; ses regards rencontrèrent la tête merveilleuse et il périt avec son navire. On raconte que tous les sept ans la tête remonte sur l’eau, la face tournée vers le ciel, et qu’il en résulte des dangers pour les navigateurs. »

Dans le récit de Roger de Hoveden (mort en 1201), la vierge violée par le chevalier s’appelle Yse ; elle a donné son nom à un groupe d’îles que Philippe-Auguste traversa lorsqu’il revint de Saint-Jean d’Acre en France [34]. Les autres variantes ne méritent pas d’être relevées.

IV

Ainsi, plus de cent ans avant le procès des Templiers, nous trouvons en Orient, sur la côte syrienne, une légende dérivée de celle de Persée et de Méduse, mais où Persée est devenu un chevalier, miles. Alors que Persée décapite la Gorgone endormie, le chevalier décapite une morte ou retire de sa tombe une tête magique, fruit d’un viol perpétré dans le tombeau même. Le chevalier cache avec soin cette tête redoutable ; il la tient enfermée dans un coffret. Le mystère qui enveloppe ce talisman et le coffret où on le transporte sont des traits qui se retrouvent dans les dispositions que l’enquête a recueillies. Dans un pays où le Templier était le chevalier par excellence, il n’est pas étonnant que l’on ait raconté d’un ou plusieurs Templiers la légende du héros grec devenu un chevalier de leur temps. Une fois cette histoire d’une tête magique mise en circulation, on imagina naturellement qu’elle servait à la fois de talisman et d’idole ; comme personne ne l’avait vue, on en fit les descriptions les plus différentes ; mais il est à remarquer que l’acte d’accusation parle d’une tête sculptée ou d’un crâne humain, par une évidente allusion à quelque commérage fondé sur la légende syrienne de la tête coupée.

Au début du Philopatris, qui date, comme je l’ai prouvé [35], de la fin du Xe siècle, un des interlocuteurs vient à parler de la Gorgone. Critias affirme qu’elle était vierge et que la puissance de sa tête coupée s’explique ainsi. « Quoi, répond Triéphon, en coupant la tête à unie vierge, on se procure un épouvantail ? Moi qui sais qu’on a coupé dix mille vierges par morceaux “dans l’île aux bords fameux qu’on appelle la Crête”, si j’avais su cela, mon bon Critias, que de Gorgones je t’aurais rapportées de Crète ! J’aurais fait de toi un général invincible ; les poètes et les rhéteurs m’auraient mis au-dessus de Persée, parce que j’aurais trouvé un bien plus grand nombre de Gorgones. » Il me semble que ce passage peut contenir une allusion non seulement à la tradition antique, mais à la forme moderne que l’informateur de Gautier Map en a recueillie.

Les survivances de la légende de Persée ont été étudiées en grand détail par M. Sydney Hartland. Le voyageur anglais Bent les a encore rencontrées, vers 1880, dans l’île de Sériphos, un des centres du culte de Persée dans l’Antiquité. Les paysans, découvrant des monnaies de l’île à l’effigie de la tête de la Gorgone, racontaient qu’elles avaient été frappées par la première reine du pays, qui résidait dans un château fort, perché sur un roc au-dessus du port de Livadhi [36].

L’épisode de Persée et d’Androméde était localisé par les Anciens dans les environs de Joppé (Jaffa), où l’on montrait le rocher auquel avait été enchaînée la belle princesse ; non loin de là était un étang aux eaux rouges, ou Persée, disait-on, avait lavé la tête du monstre [37]. Aujourd’hui encore, les ciceroni de Jaffa connaissent l’endroit ou fut délivrée Androméde. Il n’est donc pas surprenant qu’un autre épisode mémorable de la légende de Persée se soit transmis, avec une vitalité particulière, dans les mêmes lieux. Avant de devenir un chevalier, Persée y fut représenté comme un magicien : c’est en cette qualité qu’il paraît dans la chronique de Jean Malala [38], écrite au VIIe siècle, où les récits de la mythologie classique, traditions populaires fixées par la littérature, tendent à se résoudre de nouveau en traditions populaires, colorées par les superstitions du temps. Un curieux monument, conservé à Saint-Pétersbourg, nous montre d’ailleurs que Persée jouait un rôle dans la médecine magique de basse époque. Le héros est représenté, sur un sardonyx, tenant en mains la tête de Méduse et la harpe ; au revers on lit : Fuis, podagre, Persée te poursuit (… [39]) [40]. Persée tient ici la place qu’on assigne, sur d’autres monuments analogues, au roi Salomon ou à l’archange Michel.

Ces observations-là ont déjà été faites ; ce qui est nouveau, je crois, dans mon petit travail est le lien établi entre les traditions syriennes relatives à Persée, transformé de héros en magicien et en chevalier, et les histoires extravagantes qu’enregistrèrent les inquisiteurs du XIVe siècle, chargés d’enquérir sur une tête ou un crâne magique dont on peut affirmer, malgré tant de témoignages, qu’ils n’ont jamais existé.

V

Pour me résumer, au risque de me répéter, voici comment je conçois le développement de la légende qui, originaire des temps héroïques de la Grèce, laquelle n’y crut jamais, finit par faire des dupes au concile de Vienne :

1. Des gens venus d’Orient parlent d’un ou plusieurs chevaliers lesquels, en possession d’une tête magique, qu’ils cachent avec soin, acquièrent richesse et puissance ;

2. On soupçonne que cette tête magique appartient aux Templiers ;

3. Comme le bruit court que les Templiers sont secrètement convertis à l’islamisme, on soupçonne que cette tête n’est pas seulement un talisman, mais une idole qu’on révèle aux initiés et qu’ils adorent ;

4. Comme le symbole que les Templiers sont censés rejeter et même souiller est le crucifix, le Christ, on qualifie du nom de Mahomet le symbole qu’ils préfèrent et opposent à celui-là, sans songer que les musulmans eux-mêmes n’avaient pas d’images ;

5. Par analogie avec ce qu’on croit savoir des hérétiques du midi de la France, les albigeois, on attribue aux Templiers la croyance que leur « dieu » fait fleurir les arbres, etc., et l’on estime qu’ils consacrent leurs cordelettes au contact de leur idole ou de leurs idoles.

Pourquoi l’acte d’accusation, confirmé par de nombreux témoignages, attribue-t-il plusieurs têtes à une ou plusieurs des idoles ? Petit-être faudrait-il reconnaître là aussi l’influence lointaine de certains monuments antiques polycéphales, sculptures ou intailles, qui sont bien connus des archéologues ; mais c’est là une question accessoire que je préfère laisser en suspens.

Salomon Reinach

Notes

[1] Revue de l’histoire des religions, 1911, p.25-29.

[2] Voir, par exemple, Chabouillet, Catalogue des Camées, n° 2255.

[3] On trouve aussi, dans les interrogatoires du procès, la forme Magometus (Finke, Papstum und Untergang des Templerordens, t. II, p. 343).

[4] Loiseleur, La doctrine secrète des Templiers, Paris, 1872.

[5] Voir Revue archéologique, 1881, I, p. 368 et Bulletin de la Société des antiquaires, 1881, p. 207-208.

[6] Revue archéologique, 1885, I, p. 54 et suiv.

[7] Bulletin de la Société des antiquaires, 1900, p. 309.

[8] Revue africaine, 1908, p. 1-23.

[9] M. Finke renvoie sur ce point à Wenk, Götting. gelehrte Anzeigen, 1890, p. 256 et suiv. (compte-rendu critique de l’ouvrage de Prutz) ; mais Wenk n’a guère fait que résumer Lea, dont le chapitre sur les Templiers est un chef-d’œuvre parmi tant d’autres.

[10] Finke, op. laud., p. 111.

[11] Ibid., p. 134.

[12] Ibid., p. 166.

[13] Loiseleur, La Doctrine secrète des Templiers, op. cit., p. 108. Voir les dépositions de Carcassonne (novembre 1307), dans Finke, t. II, p. 321-324.

[14] Voir une page amusante de l’abbé Corblet, « Le pour et le contre sur les Templiers » dans la Revue de l’art chrétien, 1865, IX, p. 393 sq.

[15] Loiseleur, ibid., p. 147.

[16] Un témoignage parle même de quatre têtes.

[17] Loiseleur, ibid., p. 23.

[18] Ibid., p. 94.

[19] Ibid., p. 40.

[20] Ibid., p. 100.

[21] Cf. le témoignage d’un frère servant (Finke, t. II, p.355) : « (debebat habere spem salvationis) in quoddam ydolum quod erat, ut sibi distum extitit, ultra mare, et in quoddam aliud ydolum quod erat ibi praesens in quadam banca opertum de sindato rubeo. »

[22] Loiseleur, La Doctrine secrète des Templiers, op. cit., p. 111.

[23] De même, dans les aveux relatifs aux cérémonies secrètes, on voit intervenir un chat noir, brun ou blanc, qui est emprunté aux histoires courantes de sorcellerie (par ex. Finke, t. Il, p. 350).

[24] Michelet, Procès, I. p. 218 ; Finke, p. 159 : Respondit… quod propter dictos articulos quia non confitebatur eos coram baylico regio Matiscouensi, fuit quaestionatus ponderibus apensis in genitalibus suis et in aliis membris quasi isque as exanimacionem.

[25] Loiseleur, La Doctrine secrète des Templiers, op. cit., p. 102.

[26] Michelet, Procès, t. I. p. 92.

[27] Ibid., t. I, p. 645.

[28] « Tempore vero quo hoc, erat praeceptor illius loci frater Matheus dictus le Sarmage Picardus (Michelet, Procès, t. I, p. 645). – Sur les relations cordiales entre ce personnage et les Sarrasins, voir Rey, L’Ordre du Temple en Syrie, p. 8. À cet endroit, Rey écrit Sermage ; mais il écrit Sarmage à la page 26. L’index du tome II de Michelet porte Sauvage (Matheus), avec renvoi à la p. 209 où on lit lo Sauvacge. C’est sans doute le même personnage.

[29] Sur Julien ou Julian, seigneur de Sagette, mort en 1275, voir Clermont-Ganneau, Recueil d’archéologie orientale, t. IV, p. 5 et suiv. « Julien, seigneur de Sagette, ne pouvant plus défendre sa seigneurie contre les entreprises des musulmans, la céda aux Templiers moyennant finances en 1260 » (p. 7).

[30] Michelet, Procès, t. II, p. 225.

[31] Michelet, Procès, t. II, p. 238.

[32] Voir Longperier, Œuvres, t. II, p. 311, et surtout le grand mémoire de Pinza, La Conservazione delle teste uname (analysé par moi dans la Revue critique, 1898, II, p. 121).

[33] Gautier Map, De nugis curialium, Édition Th. Wright, I, 18, p. 29.

[34] Liebrecht, Gervasius Tilbur, p. 93.

[35] Cultes, t. I, p. 383-394.

[36] Bent, dans Hartland, The legend of Perseus, t. I, p. 4.

[37] Cf. Frazer, Pausanias, t. III. p. 454.

[38] Malalas, éd. Dindirf, p. 41.

[39] En grec dans le texte original (N.d.E. : Psychanalyse-paris.com).

[40] Kuhnert, ap. Roscher, Lexikon, P, p. 2027.

Baphomet, par Nosve (Simon Bossert), 2007.

Baphomet, par Nosve (Simon Bossert), 2007. Visiter sa galerie sur Deviant Art.

SOURCE :https://www.esoblogs.net/

La tête magique des Templiers dans Recherches & Reflexions EzoOccultlogo105

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