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AVE MARIA EN ARAMÉEN-(Langue de Jésus et Marie) 31 décembre, 2022

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Protégé : Vous avez dit … fraternité ? – 1°- 30 décembre, 2022

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Maçonnerie et Bouddhisme 29 décembre, 2022

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Emission du 18 janvier 2004

Maçonnerie et Bouddhisme

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Serge Dekramer : Aujourd’hui, nous avons le plaisir de recevoir Jean-François Gantois, qui est maçon à la G.L.T.S.O. et qui est également bouddhiste.

Cette émission fait suite à celle du mois dernier où nous avons parlé de voie maçonnique et de voie soufi. Aujourd’hui, nous allons parler de voie bouddhiste et de voie maçonnique.

 

Jean-François Gantois, vous êtes un vieux maçon, je crois ?

Jean-François Gantois  : Depuis 35 ans.

 

S.D.  : Dites-nous quelle importance votre adhésion au bouddhisme a eu dans votre démarche maçonnique ou inversement ?

J.F.G.  : Je suis entré en maçonnerie parce que j’étais en recherche d’une voie spirituelle. J’étais en recherche d’une tradition pour une évolution intérieure, de part ma propre évolution, mais également physique, du fait des connexions qui se sont produites dans ma vie.

Mon entrée en maçonnerie m’a permis d’être prêt pour rencontrer le bouddhisme.

Je l’ai rencontré à Kagyu Ling, le Grand Monastère qui est en Saône-et-Loire, à la limite de la Nièvre.

Du fait de mon histoire personnelle j’avais des difficultés à accomplir des gestes religieux. Je devais dépasser ce barrage et je l’ai dépassé. Quand je l’ai eu dépassé, j’ai adhéré formellement au bouddhisme. C’est-à-dire que j’ai pris refuge.

 

S .D. : Nous avons le mois dernier parlé d’ésotérisme, et nous avons dit que toutes démarches ésotériques se rejoignent.

Entre la maçonnerie et le bouddhisme, il y a un point commun qui est l’absence de dogme.

Comment se passe la démarche bouddhiste, est-ce qu’elle s’appuie sur un rituel rigoureux comme en maçonnerie ?

J.F.G.  : Oui, il y a des rituels dans le bouddhisme, on dit plutôt le Dharma en tant que science de l’esprit.

Les rituels bouddhistes sont d’ailleurs extrêmement différents d’une école à une autre (comme en maçonnerie). Ils sont beaucoup plus importants et je dirais compliqués dans les écoles dites tibétaines, c’est-à-dire du Vajrayna (école à laquelle j’appartiens)   mais avant tout, c’est une science intérieure, comme   la maçonnerie.

Les enseignements du bouddha, les rituels et toutes les pratiques, y compris la gestuelle, les attitudes corporelles, ont pour but une évolution de l’esprit qui va nous permettre de réaliser notre propre nature ultime qui est notre nature de bouddha.

 

A.P.  : Est-ce que vous n’avez pas l’impression qu’en maçonnerie le contenu, la méthode, la tradition, est un peu estompée, alors que dans le bouddhisme elle est encore très vivante et c’est ce qui fait que beaucoup d’occidentaux se tournent vers l’Orient, alors que nous avons tout chez nous, si nous savions le décrypter !

J.F.G.   : La grande difficulté c’est celle de la transmission.

Est-ce qu’en Occident, notre richesse traditionnelle et spirituelle est bien transmise !

 

S.D . : C’est une grande question !

  Lorsque l’on parle de bouddhisme et que l’on réfléchit à l’origine même du bouddhisme, on s’aperçoit que ce qui est le plus important c’est cette notion de souffrance et de douleur dans laquelle l’homme se trouve et c’est cette souffrance et cette douleur qu’il faut éradiquer dit le bouddhisme.

Le Christianisme aussi parle de douleur et de souffrance.

 

J.F.G.   : Ce que le Bouddha enseignait c’est que dans notre vie tout est souffrance ou plus exactement on dit dans la tradition bouddhiste dukha qui implique la souffrance, le mal être, la non-plénitude de l’accomplissement de tous nos souhaits. Même nos joies comprennent en essence de la souffrance.

La méthode bouddhiste, c’est une méthode pour éradiquer définitivement toute possibilité de souffrance. Je dirais accessoirement en soi-même, ce qui n’est pas négligeable, mais d’une façon beaucoup plus large, beaucoup plus définitive pour tous les êtres.

Le plus grand cadeau que nous pouvons faire à tous les êtres c’est de réaliser notre propre nature de bouddha pour leur permettre de se libérer à leur tour, d’éradiquer à leur tour en eux-mêmes toute possibilité de souffrance.

 

A.P.  : Oui, tout à l’heure vous nous interrogiez pour savoir si en Occident, nous savions transmettre la Tradition. Il me semble qu’en maçonnerie elle est parfaitement transmise avec la différence peut-être qu’en Orient, il y a des Maîtres vivants qui parlent et qui s’adressent à leurs disciples, alors qu’en maçonnerie le Maître c’est le Rite. C’est le rite qui en différentes étapes sait ce que doit accomplir le Frère maçon et les paroles du Rite se retrouvent dans les rituels. On retrouve très exactement la méthode et l’ascèse que devraient suivre les Maçons. Peut-être sommes-nous moins disciplinés que l’Orient nous amène à l’être !

J.F.G.   : Il faut bien considérer que toute voix spirituelle, toute science de l’esprit et je considère que la Dharma, comme la Franc-maçonnerie sont tous les deux des sciences de l’esprit. Ce sont des outils, ce sont des méthodes. Il faut bien les appliquer.

Avec un maillet et un ciseau, on peut sculpter un chef d’œuvre ; on peut aussi défoncer la tête de son voisin.

Alors nos rituels sont-ils toujours bien appliqués, conformes à la Tradition. Nous tournent-ils vraiment vers la spiritualité et vers notre propre transcendance, c’est toute la question !

 

A.P.  : Ils le devraient.

J.F.G.   : Ils le devraient et incontestablement ils l’ont en eux.

 

S.D. : Je voudrais revenir sur cette notion de douleur, de douleur du désir finalement, de souffrance du désir. Devant son questionnement existentiel l’homme ne reçoit pas de réponse. Cette non-réponse crée en lui un manque. C’est ce manque qui crée le désir, le désir de vivre, le désir de Dieu.

Comment les choses se passent si dans la voie bouddhiste, on tue cette notion de désir ?

J.F.G.   : C’est que pour nous mettre en route, ici et maintenant, dans l’état où nous sommes, et nous sommes des ignorants pour les dharmas, nous avons ce que nous appelons la saisie dualiste qui nous fait saisir un moi stable, permanent, et autonome, radicalement différent des autres.

Tant qu’il y a cette saisie, nos désirs sont égoïstes. Ils visent à la satisfaction de notre ego ou à le protéger de ce qui peut l’attaquer, de ce qui peut le contrarier d’une façon ou d’une autre.

Ce sont des désirs qui ne mènent qu’à la souffrance et perpétuellement au renouvellement de cette souffrance.

Il y a aussi pour nous en sortir le désir de nous mettre sur la voie, de nous dépasser nous-mêmes, d’abandonner cette saisie dualiste, d’abandonner toutes espèces de référence égotique et de là à devenir ce que nous sommes déjà mais que nous ne reconnaissons pas, c’est-à-dire Bouddha.

 

A.P.  : Pour les apprentis, revenir à nous-mêmes c’est déjà savoir ce que nous sommes au départ ;   reconnaître que nous sommes duels, reconnaître que nous sommes des mécaniques et des automates et que nous agissons en fonction de notre ego. Petit à petit, à partir de cette connaissance de soi, se lève à l’intérieur, le Maître Architecte qui va prendre en main notre destinée et qui est plus nous-même que nous le sommes.

Les voies sont très identiques, peut-être avons-nous escamoté un peu la notion de souffrance, parce qu’elle était tellement reprise par l’église catholique qu’au XVIIIe siècle, quand on a voulu recréer la maçonnerie, on a atténué cette souffrance mais c’est bien la souffrance d’être un homme en vie vers son destin qui est plus important que nos misères.

J.F.G.   : Il y a beaucoup de convergences, de différents ordres entre le bouddhisme et la franc-maçonnerie. Je n’en voudrais citer que quelques-uns très rapidement et en particulier l’absence de dogme, ce sont deux voies spirituelles expérimentales qui sont complémentaires l’une de l’autre ; dans le Dharma, on n’a pas à adhérer à une doctrine.

On a à l’expérimenter pour déterminer si elle est juste ou non.

Le symbolisme en maçonnerie bien qu’issu entièrement de la Tradition judéo-chrétienne fait appel à une forme d’esprit qui n’est pas du tout aristotélicienne, qui ne repose pas sur le dilemme.

  A et B, sont semblables ou sont différents, il n’y a pas de 3 e terme.

On fonctionne d’une façon explicite dans le Dharma et   d’une façon implicite en Franc-maçonnerie sous le tétra lemme, c’est-à-dire qu’il y a 4 possibilités A et B sont :

semblables

ou différents

ou à la fois semblables et différents

ou à la fois ni semblables ni différents.

 

Cela crée une très grande ouverture d’esprit, une très grande possibilité, et je dirais qui est naturellement tolérante et non dogmatique.

 

S.D. : Il est clair que ce que nous enseigne la maçonnerie c’est que chaque chose contient son contraire en elle-même. C’est finalement, la confrontation de ces deux choses différentes opposées qui créent un troisième élément qui est l’unité. Est-ce qu’on retrouve la même chose dans la voie bouddhiste ?

J.F.G.   : Oui, en particulier Bouddha a enseigné la voie du milieu qui transcende en les réfutant, les deux extrêmes de l’éternalisme et du nihilisme.

Il y a toujours dans le bouddhisme un système ternaire, une troisième voie.

Il y a les trois Kayas, que l’on appelle les trois corps de Bouddha. Il y a les trois joyaux dans lesquels prennent refuge tous les bouddhistes de toutes les écoles, c’est-à-dire le bouddha, le dharma, son enseignement et la sangha, la communauté bouddhiste et les trois sont une seule et même chose indissociables. Le Bouddha est indifférencié de son enseignement et son enseignement est indifférencié du Bouddha lui-même et il en est de même pour la sangha.

 

A.P.  : Oui, nous sommes un homme lorsque nous sommes tout à fait indifférenciés de notre être intérieur et   de notre être extérieur .Les deux s’unissent et s’expriment au quotidien.

J.F.G.   : Tant que nous sommes dans la dualité, nous ne sommes pas dans cette indifférenciation mais le but, c’est précisément de dépasser cette dualité, de réaliser notre propre nature et à ce moment-là nous sommes dans une réalisation qui est au-delà de toute définition, qui est ineffable et qui n’est pas dépendante ni de cause extérieure à elle-même, ni de ses composantes.

 

A.P.  : En cela je retrouve la difficulté de nous comprendre même sur le chemin parce que les mots ont un sens différent pour chacun, en fonction de notre conscience. Si nous avons une conscience très élargie, nous avons une compréhension, et si nous avons une conscience restreinte, nous avons une compréhension restreinte sans le savoir. C’est pour cela que l’enseignement est un enseignement oral car il s’adresse à l’état exact de la personne dans lequel elle se trouve à ce moment-là.

 

S.D.  : Et cette démarche du bouddhiste, qui va vers une espèce d’illumination personnelle, qu’en est-il, si j’ose dire de l’illumination du monde. Est-ce que le processus du bouddhiste se réduit à sa propre démarche sur lui-même, à sa propre réalisation, quel est le rapport avec le reste du monde ?

J.F.G.   : Mon Cher Serge j’ai dit le contraire tout à l’heure, à savoir que le bouddhiste médite, approfondit sa voie, pour l’illumination du monde, bien avant sa propre illumination. On ne peut pas envisager de se libérer soi-même de l’illusion d’un ego stable, permanent, autonome, et oublier le monde.

Le Bouddha, la 1ière vertu transcendante Bodhi-Sattva, c’est-à-dire des êtres courageux, qui ont une réalisation spirituelle, c’est le don, la générosité, et ces êtres courageux font passer l’éveil de tous les êtres avant le leur propre et le bouddha nous a très souvent, dans différents sûtras, dans de nombreux enseignements, invité à considérer chaque être avec lequel nous sommes en contact, ne serait-ce que le plus petit insecte qui passera une seule fois dans notre champ visuel comme ayant été plusieurs fois notre mère dans une vie antérieure.

Aussi devons-nous rendre à tous les êtres la bonté que nous devons rendre aujourd’hui à notre mère de cette existence.

 

S.D . Comment prendre conscience que nous procédons du monde, de l’univers, si nous devons dissoudre notre moi !

J.F.G.   : Ce n’est pas dissoudre notre moi. Le Bouddhisme n’a jamais dit qu’il fallait éliminer l’ego sans cela la pratique du dharma mènerait à l’autisme et non pas à l’éveil. Ce qu’il dit c’est que nous devons essayer d’éliminer l’illusion d’un moi stable, permanent et autonome ou éternel. Ce n’est pas l’ego en tant que tel, l’ego qui fait que nous disons je, que nous signons des chèques, que nous avons une place dans la vie civile parmi nos concitoyens, c’est l’illusion de ce moi. Cette illusion qui fait que nous, nous sommes pas ceux que nous croyons être quand nous sommes dans la saisie dualiste.

 

A .P. : Nous sommes hypnotisés par l’extérieur et par le rôle que nous prétendons être. Nous faisons semblant d’être autre chose. Nous voulons paraître autre chose que ce que nous sommes. Ce que nous sommes est tout à fait à l’intérieur de nous-même. Tellement profond que nous ne savons même pas, c’est peut-être cela qu’il faut petit à petit éveiller, nourrir et faire grandir.

 

S.D . :   Est-ce qu’il n’y a pas une contradiction, une manière d’appréhender les choses entre bouddhisme et maçonnerie, à savoir que le bouddhisme considère le monde comme virtuel, comme une illusion, alors que la maçonnerie, me semble-t-il considère le monde comme une réalité. Comme une réalité tangible, qu’il faut améliorer en quelque sorte.

J.F.G.   :   Alors je crois que quand nous ouvrons les travaux en Loge nous avons des heures différentes, nous créons un monde, c’est-à-dire que nous sommes clairement dans un mandala. Nous fabriquons un mandala. Le monde, il est le résultat du regard que nous portons sur lui.

De même, avec les heures maçonniques, avec notre façon de travailler, nous créons un espace intermédiaire, c’est-à-dire un bardeau, ce que nous appelons un bardeau dans la tradition tibétaine.

Nous sommes tellement liés au temps, dans notre situation présente d’être illusionné, qu’un Grand Maître qui s’appelle Doguen, qui est un patriarche de la Fondation Zen, a écrit un ouvrage majeur le Shôbo-gen-gô dont un chapitre entier s’appelle l’être temps

La maçonnerie nous fait au contraire travailler sur ces notions et d’une façon convergente avec le bouddhisme mais la franc-maçonnerie a un certain nombre de principes, a une méthode, mais n’a pas de doctrine.

En revanche on trouve dans les deux, les quatre éléments, cinq dans le Dharma, puisqu’il y a l’élément espace, on trouve les directions de l’espace, on trouve la circumambulation, on circule dans le sens d’extro centrique autour des stupas et également l’ange ; on parle aussi beaucoup de la sagesse et la sagesse dans le bouddhisme c’est la réalisation de l’absence d’existence propre de soi et des phénomènes.

Il y a de multiples convergences qui font que bien que la maçonnerie, son symbolisme soit issu complètement du judéo-christianisme, elle est souvent plus proche dans son contenu initiatique de la tradition orientale.

 

S.D.  : Ce qui ressort de ce que vous dîtes c’est qu’il ne peut y avoir de démarche mystique, de démarche vers la transcendance si j’ose dire, si l’on ne crée pas un espace sacré ; un espace différent de l’espace du temps quotidien, c’est un peu ce que vous disiez à propos du mandala !

 

A.P.  : L’espace sacré, que nous représentons, en maçonnerie, dans nos Temples, est le centre comme dans les mandalas. Dans le bouddhisme et dans la maçonnerie l’espace sacré c’est nous. L’espace n’est pas sacré à l’extérieur, le Temple est un espace sacré que si nous sommes sacrés et si nous pouvons le rendre sacré. Par lui-même le Temple est un bâtiment, comme tous les autres bâtiments même s’il en est un lieu privilégié.

 

S.D.  : Nous arrivons au terme de cette émission, Jean-François Gantois, nous vous remercions très vivement.

J.F.G.  : Nous nous sommes rendus compte que nous étions nombreux à la fois maçons et bouddhistes et nous procédons à des études que nous éditons sous forme d’une petite lettre intérieure qui s’appelle la Lettre de l’Acacia et le Lotus.

https://www.acacia-et-lotus.org/

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Protégé : Temple sacré Histoire des cathédrales – 2°- 28 décembre, 2022

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Digression … Les Traditions initiatiques de la préhistoire à nos jours – Ludovic RICHER – Extrait 27 décembre, 2022

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Protégé : L’équerre sous un autre angle – 1°- 26 décembre, 2022

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Universalité … 25 décembre, 2022

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Ma Très Chère Sœur,
Mon Très Cher Frère,
 
 
Que nos pensées et nos vœux rejoignent les vôtres pour que nous puissions,
ensemble,
participer à l’avènement d’une nouvelle année civile,
mais surtout, et de façon active,
à cette nouvelle Ère dont les soubresauts profanes nous indiquent l’avancé …
 
Avec toute notre fraternelle affection
copia de regle-esc i comps
Christian

 

Le 21 décembre et à 22h00 48mn et 18 s le solstice d’hiver a été acté

Posté par hiram3330 dans : Chaine d'union,Contribution , ajouter un commentaire

Mes très chers frères et très chères sœurs de tous ordres et de toutes obédiences 

Le 21 décembre et à 22h00 48mn et 18 s le solstice d’hiver a été acté … nous voici dans un nouveau cycle cosmique lié à notre système solaire cette fois-ci puis nous serons très rapidement dans un deuxième cycle temporel lié au choix de notre calendrier dit « laïque » … 

Pourtant le solstice d’hiver concentre les attentions de nombreuses cultures … Le soleil sera stationnaire pendant trois jours durant lequel il fera son « tré-pas », du 21 au 24 décembre, puis le Cosmos accouchera d’un nouveau soleil vivant et régénéré …  

Il sera le « Sol Invictus ».

Le 25 décembre représentera le 1 … l’enfant alchimique chargé de toutes ses potentialités créatives permettant à la nature de reprendre son cycle … 

Il est Heru, Horus, Jésus fils d’Isis, Marie, Ereshkigal et d’Wsjr, Yussef, Enki … Un nouveau cycle évolutif et un nouveau siège de métamorphose vont générer un futur dont le plan est celui de l’œuvre qu’impose le plan de déroulement de la création.

Avant de devenir des acteurs efficaces dès le début de notre cycle profane les bipèdes que nous sommes (Maçons de surcroît) devons nous rappeler :

Puissent nos Maçonneries dialoguer, échanger, se prêter « main forte » face aux bouleversements auxquelles nous assistons tous. Le temps est très certainement à l’union de nos forces au bénéfice du plus important pour tout être, ici et maintenant, et en devenir. Nos valeurs et nos cultures transcendent toutes les forces d’entropie. Nos voies maçonniques sont utiles quand elles constituent un diamant qui brille de ses mille feux, maîtrisant les contraires, renforçant nos valeurs communes.

Ainsi, au nom de mes Frères et Sœurs de l’Ordre Initiatique Ancien et Primitif de Memphis Misraïm, (OIAPMM) ainsi, qu’au nom de toutes les voies maçonniques qui le composent, je vous présente nos meilleures pensées et nos vœux de prospérité.

Qu’en cela, le Grand Architecte de tous les mondes nous soutienne et nous protège. Qu’il nous octroie Sagesse, Force et Beauté.

 

Gérard Baudou Platon

https://rapmm-vo.oiapmm.org/Voeux/2023/Voeux-2023-OIAPMM.html …

Président du Souverain Sanctuaire Khorshed

et GMG de l’OIAPMM

le TSF Charles Borm 97 Substitut de l’OIAPMM

Noël 2022

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BAM, BÂTISSEURS DE L’ANCIEN MONDE 24 décembre, 2022

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