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Protégé : La Truelle maçonnique, un symbole d’origine politique ? – 3°- 31 janvier, 2025

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Les Druides et le Christianisme (documentaire) 30 janvier, 2025

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Protégé : Les Gonfalons du 32e – 32°- 29 janvier, 2025

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Le principe initiatique du silence … 28 janvier, 2025

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Le principe initiatique du silence …

Platon, appelé à enseigner l’art de connaître les hommes, s’exprimait ainsi : « Les hommes et les vases en terre cuite se connaissent de la même manière : les vases, lorsqu’on les touche, ont des sons différents ; les hommes se distinguent facilement par leur façon de parler ».

La pensée du philosophe initié nous offre une excellente occasion de réflexion profonde, principalement pour ceux qui intègrent l’Ordre maçonnique. Nous ne réalisons pas toujours à quel point nous devenons prisonniers des mots que nous prononçons. Parce qu’ils sont l’expression de nos pensées, parce qu’ils traduisent des idées et des sentiments, les mots deviennent un centre qui émet des vibrations, tant positives que négatives.

 

La parole est l’élément qui identifie l’Homme et est la synthèse de toutes les forces vitales ; c’est l’élément qui relie tous les plans, du plus dense au plus subtil. Le mot est étroitement lié au silence, une autre expression sublime de la psyché humaine.

Le principe initiatique du silence ... dans Chaine d'union

Dans le monde profane, la parole – parlée ou écrite – est utilisée indifféremment. La société humaine est pleine de paroles qui offensent, humilient, blessent et dénigrent l’honneur d’autrui. Si les gens travaillaient plus et parlaient moins, l’humanité serait sûrement plus évoluée et plus civilisée. Malheureusement il y a trop de mots, non seulement dans le monde profane mais aussi dans les Temples Maçonniques. Une telle situation est inconcevable chez un franc-maçon, car dans l’étude des symboles, il apprend à réfléchir sur le contenu caché des mots qui, en dernière analyse, reflètent l’essence profonde de l’être humain.

Ce n’est pas un hasard si la doctrine maçonnique réserve le silence à ses membres, conformément d’ailleurs à la Tradition pythagoricienne. L’Ecole Initiatique de Pythagore avait un système à trois degrés : celui de Préparation, celui de Purification et celui de Perfectionnement.

Les néophytes du grade Préparation, équivalent au grade Apprenti maçonnique, étaient interdits de parole ; ils n’étaient que des auditeurs et effectuaient une période d’observation de trois ans, pendant laquelle la règle était de se taire et de réfléchir à ce qu’ils entendaient. Au degré de Purification, équivalent à celui d’un Maçon Compagnon, le silence s’étendit encore deux ans, acquérant à ces Frères le droit d’écouter les conférences de Maître Pitágoras. Ainsi, pour atteindre le degré de Perfection, équivalent à celui d’un Maître Maçon, lorsque les Frères pouvaient alors parler, il fallait pratiquer le silence pendant cinq ans.

Dans les réunions maçonniques, sans aucun doute, c’est une preuve de sagesse que de savoir écouter et se taire. Chílon, l’un des sept sages de la Grèce antique, lorsqu’on lui a demandé quelle vertu était la plus difficile à pratiquer, a répondu : « se taire ». Dans le Zend Avesta, qui contient toute la sagesse de l’ancienne Perse, on trouve des normes et des règles sur l’usage et le contrôle du mot, dont l’universalité défie les siècles. Dans le monde maçonnique, la dimension de la parole parlée et écrite n’est pas différente.

En entrant dans notre Sublime Institution, nous trouvons, dans les rituels, des références à la sacralité de la parole qui, comme moyen d’expression des pensées et des sentiments, doit toujours être dosée, modérée, et doit refléter l’équilibre intérieur de l’orateur. Dans notre Ordre, le mot doit être utilisé dans le même sens dans lequel Dante Alighieri exhortait son personnage Metellus, dans la Divine Comédie : « Utilise ta parole comme un ornement ».

À première vue, le silence peut sembler être un conditionnement et une punition. En réalité, le silence, la méditation et le raisonnement sont le seul chemin qui mène à la liberté des passions et des mauvaises pensées. En plus d’exercer l’autodiscipline, dans son silence le franc-maçon appréhende avec beaucoup plus d’intensité tout ce qu’il entend et tout ce qu’il voit.

Ainsi, la voix du Frère qui se tait est sa voix intérieure lorsqu’il dialogue avec lui-même et, dans ce dialogue, il analyse, critique, tire ses propres conclusions et améliore son caractère. Bref, par le silence, la Franc-Maçonnerie encourage les Frères à développer l’art de penser, le véritable et noble Art Royal. Ainsi, le silence en franc-maçonnerie n’est pas simplement symbolique, ni un moyen de neutraliser l’initiative des Frères. Le silence est indispensable et décisif dans le processus de lapidation de la Pedra Bruta et dans l’amélioration interne des Frères.

En franchissant les portes d’une Loge Maçonnique, apportant avec elle la totale liberté d’expression, droit naturel garanti par la Déclaration des Droits de l’Homme, sans les restrictions imposées par la morale et la raison, le nouveau Maçon apprend à contrôler ses pulsions, par la pratique spartiate du silence. De cette façon, il améliore son caractère et se prépare à être un leader dans une société où règnent la liberté responsable, l’égalité des chances et la fraternité solidaire.

S’il doit parler, que le franc-maçon suive les conseils de Dante et utilise sa parole comme un ornement. Tout se résume à la pratique de la Loi d’Amour et de Tolérance. Certes, le Grand Architecte de l’Univers illumine et bénit tous ceux qui pensent plus qu’ils ne parlent, car ceux-ci spiritualisent leur matière et sont Ses enfants les plus aimés.

À l’heure

Le Frère Apprenti non seulement peut mais doit et doit prendre la parole lorsqu’il présente ses travaux, lorsqu’il est interrogé par un autre Frère, lorsqu’il dispose d’informations pertinentes sur tout candidat à l’Initiation, ou lorsqu’il dispose d’informations fondamentales pour la Loge ou l’Ordre. . Demandez simplement à votre Colonne Vigilante de parler.

Source : António Rocha Fadista M∴ I∴

 

Protégé : SYMBOLES, MYTHES ET APPRENTI – 1°- 27 janvier, 2025

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Société secrète… Poings de la justice et de la concorde 26 janvier, 2025

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Société secrète… Poings de la justice et de la concorde

 
Guillaume Schumacher

Par Guillaume Schumacher
18 janvier 2023
Société secrète… Poings de la justice et de la concorde dans Recherches & Reflexions SoldatsBoxer

Les Poings de la justice et de la concorde, également traduit par Poings d’harmonie et de justice ou Lutteurs pour la justice et la concorde ou la Milice de la justice et de la concorde étaient une société secrète chinoise, connue pour avoir déclenché l’épisode dit de la révolte des Boxers en 1899-1901.

Devenue un mouvement de masse comptant entre cinquante et cent mille membres, la société mena des actions xénophobes, d’abord hostiles à la dynastie mandchoue des Qing, puis anti-occidentales, anti-japonaises et anti-chrétiennes. Le mouvement fut progressivement utilisé et canalisé par l’Empire de Chine pour lutter contre l’influence des puissances étrangères. La société secrète est surtout connue en Occident sous le nom de Boxers (en français, Boxeurs), car les membres de ses milices pratiquaient le kung fu, dit « boxe chinoise »

Origines

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Boxers représentés par Johannes Koekkoek, vers 1900.

La Chine a une longue tradition de sociétés secrètes. L’histoire politique de l’empire du milieu est parsemée de révoltes. Lorsqu’une crise agricole ne pouvait être gérée rapidement, des révoltes paysannes éclataient, souvent encadrées par des sectes et autres groupes clandestins.

Le mouvement des Boxers, qui s’inscrit aussi dans la tradition des sociétés secrètes en Chine, apparaît dans le Shandong au début des années 1890 et semble sortir tout droit du passé de la Chine: il descend sans doute de la rébellion des Huit Trigrammes (pinyin : Bāguà) de 1813, menée par la secte du même nom, causée par le mécontentement de la masse paysanne touchée par la crise économique survenue après l’augmentation de la population.

Ce mouvement, composite, se divise en plusieurs groupes. Chaque groupe a une unité de base, le tan (aire sacrée), qui représente à la fois l’autel, le quartier général et le territoire sur lequel est exercée l’autorité. Ce groupe est mené par un chef, qui commande entre vingt-cinq et cent hommes. En ordre de bataille, les Boxers sont, la plupart du temps, répartis en sous-groupes, de dix hommes environ, au sein desquels règne une discipline très stricte, « obéissance totale au chef, interdiction d’accepter des cadeaux, de piller, de voler ou molester les simples gens, d’avoir des relations avec les femmes, de manger de la viande et de boire du thé ». Animés de superstitions, les Boxers étaient persuadés de leur force surhumaine et de leur invulnérabilité, liées à une pratique rituelle d’arts martiaux chinois.

La composition de ce mouvement est populaire, au départ composé essentiellement d’ouvriers agricoles, auxquels s’ajoutent, au fil du temps, des bateliers, des porteurs, des artisans ruinés… Leur position dans leurs actions est donc plus radicale, par leur statut dans la société. De plus ce mouvement fait partie de ces sectes à caractère fortement xénophobe.

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Dessin représentant Cao Futian, l’un des chefs des Boxers.

Dans un contexte d’invasion militaire étrangère, de la défaite chinoise dans les deux guerres de l’opium, de la mise en place des traités inégaux, et devant l’impuissance du gouvernement impérial de la Dynastie Qing à endiguer ce fléau, les boxeurs décidèrent de faire justice par eux-mêmes.

Ces milices furent initialement opposées à la dynastie impériale Qing, mais leur développement dut beaucoup aux excès des missionnaires. Les membres pratiquent des rituels les rendant selon la tradition invincibles aux balles. La société des Boxers recrutait parmi les errants des campagnes, la plèbe urbaine, et les notables touchés par la pauvreté. Une grande partie des Boxers, initialement hostiles à la dynastie Qing, la dynastie des Mandchous, s’y rallient ensuite, et soutiennent l’impératrice douairière Cixi, elle-même hostile aux étrangers.

Conflit

En mars 1898, les Boxers commencèrent à prêcher ouvertement dans les rues sous le slogan « Renversons les Qing, détruisons les étrangers ».

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L’une des bannières militaires utilisées par les Yihetuan (Poings de la Justice et de la concorde, ou « Boxers »). Image basée sur une photo publiée dans le livre « Histoire et civilisation de Chine » (Éditions Zhong Yang Wen, Pékin, 2006).

Après un accrochage avec les troupes impériales en octobre 1899, l’activité des Boxers se concentra contre les missionnaires et leurs convertis, considérés comme des agents à la solde des « diables étrangers ». Les autorités chinoises se divisèrent au sujet du mouvement, mais les éléments les plus conservateurs de la cour leur apportèrent leur soutien et le Prince Duan organisa une rencontre entre l’impératrice douairière Cixi et Cao Futian, l’un des chefs Boxers de Tianjin.

Début juin, près de 450 hommes, appartenant aux contingents occidentaux, pénétrèrent dans la capitale chinoise pour protéger les délégations étrangères. La révolte atteignit son paroxysme : les insurgés, désormais soutenus par des éléments de l’armée, changèrent leur slogan en « Soutenons les Qing, détruisons les étrangers ».

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Un Boxer photographié en 1900 durant la révolte.

Les Boxers multiplièrent meurtres et exactions contre les étrangers et les Chinois chrétiens. À Pékin, les groupes de Boxers furent placés officiellement sous le commandement de membres de la cour, le Prince Duan notamment. L’assassinat du ministre japonais Sugiyama le 10 juin 1900, puis de l’ambassadeur allemand Clemens von Ketteler le 20 juin, mirent le feu aux poudres, l’épisode culminant par le siège des légations étrangères (épisode dit des 55 jours de Pékin) et le conflit ouvert entre l’Alliance des huit nations d’une part, les Boxers et l’armée impériale chinoise de l’autre. Les Boxers, qui affrontaient souvent à l’arme blanche des troupes régulières munies d’armes à feu, furent anéantis lors du conflit. Sur ordre de l’impératrice Cixi qui souhaitait apaiser les puissances étrangères, les troupes impériales chinoises participèrent à la répression du mouvement.

Dans la culture populaire

La révolte des Boxers est évoquée au cinéma dans les films Les 55 Jours de Pékin, de Nicholas Ray (États-Unis, 1963) et La Colère des Boxers (ou La Révolte des Boxers), de Chang Cheh (Hong Kong / Taïwan, 1976). Ce dernier film, raconté d’un point de vue chinois, dépeint avec sympathie les motivations nationalistes des Boxers, mais représente leurs chefs comme des charlatans, prêts à envoyer leurs troupes à la mort.

SOURCE  :  https://450.fm/2023/01/18/societe-secrete-poings-de-la-justice-et-de-la-concorde/

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Il y a quelques 40 ans, un franc-maçon marchait sur la lune : Buzz Aldrin

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Il y a quelques 40 ans,
un franc-maçon marchait sur la lune :
Buzz Aldrin 

« Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité » : ainsi s’exprime en direct Neil Armstrong le 20 juillet 1969 alors qu’il vient de poser le pied sur la lune.
  
L’équipage d’Apollo 11 est composé de Neil Armstrong (commandant), Buzz Aldrin (pilote du module lunaire) et de Michael Collins (pilote du module de commande). Apollo 11 a été lancé le 16 juillet 1969 et reviendra sur terre le 24 juillet.
 
 Pour la première fois dans l’histoire de l’Humanité des hommes vont marcher sur la Lune. Les premiers pas d’un homme sur la Lune par Neil Armstrong ont lieu le 20 juillet (109h24 après le décollage soit le 21 juillet 1969 à 3h56 heure française), devant des millions de téléspectateurs.

Buzz Aldrin le rejoint sur la Lune 15 minutes plus tard. Sur toutes les photos prises à ce moment là (voir par exemple la photo ci-dessous), c’est Buzz Aldrin que l’on voit, Armstrong tenant l’appareil.

Grand pas pour l’Humanité mais grand pas aussi pour la Franc-Maçonnerie. Buzz Aldrin est en effet un franc-maçon actif. Une carte postale sera d’ailleurs éditée dès le mois de septembre 1969 pour fêter cet événement extraordinaire (voir ci-dessous):
 
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Edwin E. « Buzz » Aldrin est né le 20 janvier 1930. Le pilote du module lunaire d’Apollo 11 est comme je l’ai dit un franc-maçon actif et passionné. Il appartient à la « Montclair Lodge » No. 144 de la Grande Loge du New Jersey.

Il a été initié le 15 février 1965, est devenu Compagnon le 12 avril 1965 et Maître le 21 février 1968 au sein de la « Montclair Lodge« . Il a également appartenu à la « Clear Lake Lodge » N° 1417 à Seabrook, Texas, Grande Loge du Texas.
 

Il est 33ème degré du REAA, membre du Suprême Conseil du Rite Ecossais Ancien & Accepté des Etats-Unis, Juridiction Sud. Il est également Shriner et Knight Templar (deux associations para-maçonniques américaines).
  
                                                           7374-1-2
On a vu sur la première photographie Buzz Aldrin devant le drapeau américain. Ce que l’opinion publique sait moins c’est que ce ne fut pas le seul drapeau emmené lors de ce voyage lunaire mémorable. Buzz Aldrin avait aussi emporté avec lui le drapeau du Rite Ecossais Ancien et Accepté. On le voit sur la photo ci-dessus le 16 septembre 1969, avec son père Edwin E. Aldrin Senior (également 33ème du REAA) au Grand Temple de Washington présenter au Grand Commandeur Smith et à quelques dignitaires le drapeau du Suprême Conseil du Rite Ecossais du Rite Ecossais Ancien et Accepté, juridiction Sud des Etats-Unis qui est allé sur la Lune.
 
                                                                  7374-1-3
C’est un drapeau en soie de 22 x 30 centimètres. Il a des côtés dorés et l’on peut lire « Supreme Council, 33°, Southern Jurisdiction, USA » et la devise du Rite Ecossais Ancien & Accepté « Deus Meumque Jus » sous l’aigle à deux têtes. Pour Buzz Aldrin ce drapeau qu’il avait emporté avec lui symbolisait l’universalité de la Franc-Maçonnerie.
 
Ces photographies et ces informations sont, à ma connaissance, publiées pour la première fois sur un site français.
 
Contrairement à ce qui est dit parfois dans certains articles ou sur certains sites qui répercutent des informations sans beaucoup les vérifier, l’astronaute Neil Armstrong (Junior) n’est pas franc-maçon. La confusion vient du fait que son père Neil Armstrong (Senior) était bien, lui, un franc-maçon actif au sein de la Grande Loge de l’Ohio.

D’autres francs-maçons astronautes suivront Buzz Aldrin dans la grande aventure de la conquête spatiale. Citons notamment :

- John H. Glenn, né le 4 juillet 1921, expédition Mercury 6, membre de la « Concord Lodge » No. 688 à New Concord dans l’Ohio. 33ème degré du REAA. Après sa carrière d’astronaute John Glenn se lance dans la politique.  Il est sénateur démocrate de l’Ohio de 1974 à 1999. Son deuxième et dernier vol dans l’espace eut lieu le 29 octobre 1998 à bord de la navette spatiale Discovery pour étudier les conséquences d’un séjour spatial sur un corps âgé, plus exactement pour étudier les similitudes des effets du vieillissement et de la microgravité sur l’organisme. Cette mission dura 8 jours, 21 heures, 44 minutes et 56 secondes. À 77 ans, il devient ainsi l’astronaute le plus âgé jusqu’à présent. C’est le 2ème « astronaute franc-maçon » le plus connu, avec Buzz Aldrin.
– Leroy Gordon Cooper, Jr. né le 6 mars 1927 expédition Mercury 9. Membre de la « Carbondale Lodge » No. 82 à Carbondale, Colorado.
– Donn F. Eisele, né le 23 juin 1930, expédition Apollo 7, membre de la  » Luthor B. Turner Lodge » No. 732 à Columbus, Ohio
– Virgil I. « Gus » Grissom, né le 3 avril 1926 et décédé le 27 janvier 1967, expédition Mercury 4, membre de la « Mitchell Lodge » No. 228 à Mitchell dans l’Indiana.
– James Irwin, né en 1930 et décédé en 1991, expédition Apollo 15
– Edgar D. Mitchell, né le 17 septembre 1930, expédition Apollo 14, membre de la « Artesia Lodge » No. 28 à Artesia, Nouveau-Mexique.
– Walter M. Schirra, né le 12 mars 1923, expédition Apollo 7, membre de la « Canaveral Lodge » No. 339 à Cocoa Beach en Floride. 
– Thomas P. Stafford, né le 17 septembre 1930, expédition Apollo 10, Apollo 18, membre de la « Western Star Lodge » No. 138 à Weatherford dans l’Oklahoma 
– Paul J. Weitz, né le 25 juillet 1932, expédition Skylab 2, Challenger (STS-6), membre de la « Lawrence Lodge » No. 708 à Erie en Pennsylvanie.

J.P.A:.

Jonathan Livingston Seagull – Be et Jonathan Livingston Seagull Mini Movie ( Hisautumnrain )

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La Démarche Spirituelle : Au-Delà du Mental 25 janvier, 2025

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Au-Delà du Mental

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La Démarche Spirituelle : Au-Delà du Mental

Il est courant de considérer le mental comme le principal véhicule de notre conscience, notre guide dans la compréhension de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. Cependant, de nombreuses traditions spirituelles à travers le monde et à travers les âges nous rappellent que le mental, aussi puissant soit-il, a ses limites. Il peut ne pas toujours être notre allié sur le chemin de la découverte spirituelle, car il a tendance à nous enchaîner à des schémas de pensée et des perspectives limitées. Heureusement, il existe une autre voie, la voie mystique, qui invite à une immersion dans quelque chose d’infiniment plus grand que notre simple existence individuelle.

Conscience et Mental : Une Alliance Nuancée

La conscience, cette étincelle intrinsèque en chaque être, est souvent visualisée comme une lumière intérieure. Elle n’est pas simplement un témoin passif, mais une force dynamique qui nous permet de percevoir, de ressentir et de naviguer dans la complexité du monde. C’est le miroir à travers lequel nous nous voyons, ainsi que l’environnement dans lequel nous évoluons. En ce sens, la conscience est le pont entre notre monde intérieur et le monde extérieur.

Le mental, dans cette dynamique, agit comme un intermédiaire, un interprète, qui traduit et décrypte les informations pour la conscience. Il joue le rôle d’un processeur, recevant des données, les analysant et produisant des réponses sous forme de pensées, de jugements, de souvenirs ou de projections. Dans une analogie informatique, si la conscience est le système d’exploitation, le mental serait le logiciel qui exécute les tâches spécifiques.

Mais comme tout logiciel, le mental peut avoir des « bugs » ou des « virus ». Ces erreurs proviennent de diverses sources, notamment :

Expériences passées : Nos traumatismes, échecs, victoires, et moments marquants peuvent teinter notre perception présente. Par exemple, une personne ayant été trahie dans le passé pourrait avoir du mal à faire confiance, même dans des situations où la confiance est justifiée.

Croyances culturelles : Les cultures, sociétés, et traditions instillent en nous des valeurs, des idéaux, et des croyances. Certaines de ces croyances peuvent être restrictives ou fausses. Par exemple, dans certaines cultures, montrer de la vulnérabilité est considéré comme un signe de faiblesse, alors qu’en réalité, cela peut être une manifestation de force et d’authenticité.

Conditionnements sociaux : Dès notre naissance, la société nous conditionne à penser et agir d’une certaine manière. Ce conditionnement peut nous pousser à conformer notre comportement, nos aspirations et même notre identité à des normes préétablies.

L’effet cumulé de ces distorsions mentales est que nous risquons de perdre la clarté. Nous pouvons commencer à voir le monde non pas comme il est, mais comme nous pensons qu’il est ou comme nous craignons qu’il soit. Cet obscurcissement de notre vision peut nous éloigner de notre véritable essence, nous empêchant de vivre une vie authentique.

La prise de conscience de ces distorsions est la première étape vers la liberté mentale. En reconnaissant et en interrogeant nos préjugés, en remettant en question nos croyances limitantes et en confrontant nos peurs, nous pouvons commencer à nettoyer le miroir de la conscience, permettant ainsi une vision plus claire et plus vraie de nous-mêmes et du monde qui nous entoure.

La Voie Mystique : Immersion dans l’Abyssal Inconnu

La voie mystique se distingue des chemins conventionnels de la compréhension. Là où la logique et la rationalité dominent la pensée humaine dans bien des domaines de la vie, la mystique embrasse l’inexplicable, le transcendant. Elle ne cherche pas à mettre des étiquettes, à diviser ou à catégoriser, mais à unifier, à connecter et à englober.

L’immersion dans l’infini est une métaphore puissante pour ce voyage. Imaginez-vous plonger dans un océan sans fin, où la sensation d’individualité, cette bouée à laquelle nous nous accrochons si désespérément dans notre vie quotidienne, est emportée par les vagues de l’inconnu. Dans cet océan, il n’y a ni « moi » ni « autre », mais une continuité fluide d’existence. Les mystiques, qu’ils soient soufis, chrétiens, hindous ou bouddhistes, parlent tous d’un tel état d’union avec le Divin, avec l’Univers, avec le Tout.

Ces moments d’extase mystique, souvent appelés « samadhi », « satori » ou « illumination » selon les traditions, sont des états où l’individu se sent un avec tout ce qui existe. C’est un sentiment d’amour incommensurable, de paix profonde et d’appartenance universelle. Le ‘je’ individuel s’efface, non par une perte, mais par une expansion, fusionnant avec une réalité bien plus vaste.

Tenter de capturer l’essence de ces expériences avec le langage est un exercice futile, car les mots sont inadéquats pour décrire ce qui est au-delà de la dualité, de la conceptualisation. C’est pourquoi les mystiques se tournent vers d’autres formes d’expression : la poésie mystique du poète persan Rumi, la peinture zen, la danse soufie ou la musique sacrée de diverses traditions sont des tentatives de traduire l’intraduisible, d’exprimer l’ineffable.

Ce qui est essentiel à comprendre est que la voie mystique n’est pas une évasion de la réalité, mais plutôt une immersion plus profonde en elle. C’est un rappel que l’univers est bien plus vaste, plus interconnecté et plus mystérieux que ce que notre mental peut concevoir. Et c’est dans cet inconnu que de nombreux chercheurs trouvent la vérité la plus profonde et la plus réconfortante sur eux-mêmes et sur l’existence.

Trouver l’Équilibre : L’Harmonie entre Mental et Mystique

Naviguer dans les eaux de la spiritualité peut parfois ressembler à une danse délicate entre la tête et le cœur. Dans un monde qui valorise la logique, la rationalité et l’analyse objective, il peut être tentant de laisser le mental prendre les commandes de notre quête spirituelle. Cependant, un excès d’analyse peut nous éloigner de l’essence même de la spiritualité : une expérience directe et profonde du divin, du transcendant.

D’un autre côté, se plonger exclusivement dans le mystique sans l’ancrage du mental peut parfois conduire à la confusion ou à une perte de discernement. Comme tout outil, le mental a sa place. Il nous aide à comprendre les textes sacrés, à discerner les enseignements authentiques des faux et à intégrer nos expériences spirituelles dans notre vie quotidienne.

L’art de la démarche spirituelle réside dans la capacité à trouver un équilibre, un juste milieu. C’est comme jouer d’un instrument de musique où l’harmonie est atteinte lorsque les notes de la raison et de l’intuition sont jouées en synchronie. Lorsque la tête et le cœur, la raison et l’intuition, l’analyse et l’expérience se rencontrent, une mélodie unique et personnelle émerge.

Chaque individu est un univers en soi, doté de sa propre histoire, de ses propres croyances et de ses propres expériences. La voie qu’il choisit d’emprunter sur le chemin spirituel sera donc intrinsèquement unique. Certains pourraient trouver du réconfort et de la clarté dans la contemplation philosophique, d’autres dans la méditation silencieuse au cœur de la nature, et d’autres encore dans la danse extatique ou la prière dévotionnelle.

Mais au cœur de cette quête, deux qualités demeurent cruciales : l’ouverture d’esprit et la curiosité. L’ouverture d’esprit permet d’accueillir de nouvelles perspectives, de remettre en question les croyances établies et de s’ouvrir à l’inconnu. La curiosité, quant à elle, est cette flamme intérieure qui pousse constamment à explorer, à chercher, à découvrir.

En embrassant ces qualités, on se rappelle que la spiritualité n’est pas une destination, mais un voyage. C’est une exploration continue de l’immensité de l’univers et de la profondeur de notre propre être. Quelle que soit la voie choisie, qu’elle soit analytique, mystique ou un mélange des deux, ce qui compte le plus est de s’avancer avec un cœur ouvert, reconnaissant l’infini potentiel de découverte et d’émerveillement.

 

Yann LERAY@2023

SOURCE  :  http://www.lesamisdhermes.com/2023/09/au-dela-du-mental.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

L’arbre séphirotique maçonnique I et II 24 janvier, 2025

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