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Protégé : LE SYMBOLISME – LANGAGE DU SACRÉ -1° - 19 février, 2009

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Voyage à travers la sybolique de CHARTRES 16 février, 2009

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VOYAGE A TRAVERS LA SYMBOLIQUE DE CHARTRES

 

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« Qu’est-ce que Dieu ?
Il est Longueur, Largeur, Hauteur, Profondeur… »
St. Paul. Epître aux Ephésiens.


Déjà, le Christianisme primitif préparait à la traduction en symboles des principes de la Foi.
Ainsi, CHARTRES, Cathédrale Temple de Dieu, a bien ces proportions : elle est longueur, largeur, hauteur et profondeur ; elle est basée sur des figures géométriques simples : cercles, triangles, carrés, carrés longs ; obtenus à partir d’instruments employés facilement sur le chantier : règle, compas, équerre.

Le but de cette planche est de chercher l’esprit dans lequel ont été construites ces Cathédrales et d’essayer de déterminer le rapport harmonique qui lie toutes les parties à l’ensemble de l’édifice.
3 parties principales constituent l’ossature de cette planche : l’aspect technique, la Lumière et la symbolique du labyrinthe. Il est bien évident que, dans un temps de parole aussi réduit, face à l’immensité de CHARTRES, je ne peux que malheureusement survoler cette merveille qui devrait faire l’objet de plusieurs travaux pour découvrir ce livre de pierres qui exalte la foi, l’harmonie et la beauté.

Notre positionnement dans l’Histoire : nous sommes à la fin du XIIème siècle, exactement en 1194.
Le XIIème siècle est le siècle Roman qui est né aux alentours de l’An Mil ; c’est un siècle riche en transformations économiques et sociales, les hérésies fomentent, les Croisades mettent en contact la chrétienté et l’Orient.
Ce siècle est voué à la philosophie, à la théologie, à la poésie, à la mystique ; mais aussi à la technique : développement de l’énergie hydraulique, la force du vent est accaparée et l’on voit tourner les premiers moulins à vent. Nous assistons à la naissance de la boussole, de l’horloge mécanique et du gouvernail.
La pensée de l’homme de ce siècle est intimement liée à la Bible, il y puise le goût des images et des symboles ; il aime Dieu, il admire la création dans laquelle l’homme est une réplique de l’Univers ; mais comment parler de Dieu ?
La fonction du symbole trouve sa place : relier le haut et le bas, permettre une communication entre le divin et l’humain.
Au concile de 1050, l’Eglise décrète que sa mission est d’instruire et de moraliser, au travers du motif symbolique.
Puis, le synode d’ARRAS en 1205, entérine cet objectif : ce que les gens simples ne sont pas aptes à saisir par le biais de l’écriture doit leur être enseigné par le biais des figurations.
L’art roman est un enseignement qui s’adresse à tout le monde ; pauvre, humble, savant, pèlerin…et le symbole, dans cette universalité, est un langage et une synthèse.

Ils entendent la voix de Dieu !

Mais, depuis 1130 est apparu l’art gothique ! dont la première manifestation est l’église abbatiale de St. DENIS (Cathédrale depuis 1966), dont l’abbé SUGER est le Maître d’œuvres.

A CHARTRES, la nuit du 10 juin 1194 est terrible !
Un terrible incendie se déclare.
Les trois quart de la ville sont détruits et la Cathédrale est très sévèrement endommagée ; ce qui est une véritable catastrophe pour tout le monde.
Car, en 876, Charles le Chauve, petit-fils de Charlemagne, fit don à CHARTRES d’une relique sacrée connue sous le nom de « SANCTA CAMISIA » – la Sainte Tunique – dont la légende affirmait que la Vierge l’avait portée au moment de donner naissance à Jésus-Christ. D’où l’importance de CHARTRES comme lieu de pèlerinages et, pour les citoyens, source considérable de revenus.
Cet incendie du 10 juin 1194 provoque un grand désespoir pour le peuple.
Mais, trois jours après le désastre, une procession apparut, avec la tunique miraculeusement préservée…
Ainsi, ce signe miraculeux est-il perçu comme un ordre divin de rebâtir une Cathédrale encore plus merveilleuse, encore plus grandiose et, immédiatement, un immense enthousiasme s’empare de la population.

L’essor des Cathédrales, à partir du XIIème siècle, est lié au renforcement du pouvoir des Evêques, à l’enrichissement des villes et des campagnes, à la démographie galopante du moment et aussi aux grands progrès scientifiques évoqués plus haut.
Nous sommes au seuil d’une époque riche d’inventions et durant les 400 ans de ce phénomène (à compter de l’an Mil), les bâtisseurs de Cathédrales ont remué des millions de tonnes de matériaux pour édifier : 80 Cathédrales, 500 grandes Eglises et quelques dizaines de milliers d’Eglise paroissiales.
La masse de pierres ainsi mise en œuvre est supérieure à celle de l’ensemble de TOUTES les Pyramides ( pour l’anecdote, la Grande Pyramide avait un volume de 2 500 000 m3…) ; mais, n’oublions pas que les travaux d’Egypte se sont étalés sur plus de mille ans…

Au moment de cette fameuse nuit du 10 juin 1194, l’heure est au Gothique.

La Cathédrale romane est devenue trop étroite et l’Evêque de CHARTRES saisit l’opportunité de l’incendie, du miracle de la préservation de la « SANCTA CAMISIA » et de l’émotion populaire pour se lancer dans la construction d’une nouvelle Cathédrale particulièrement représentative de sa fonction et de son pouvoir.

L’heure est au gothique !

L’Art de la Lumière est né dans le Bassin Parisien, avec l’abbé SUGER évoqué tout à l’heure.

Nous sommes à CHARTRES.

L’Evêque et son chapitre ont la volonté d’accueillir un peuple de fidèles nombreux et, se présente alors le problème du financement de cet ambitieux projet.
Sous la conduite d’un Maître d’œuvre, les équipes sont nombreuses : artisans spécialisés, carriers, charretiers, charpentiers, maçons, sculpteurs, verriers… et tous réclament salaire…
Chacun des chantiers qui s’ouvre dévore beaucoup d’argent ; et beaucoup plus, toutes proportions gardées, qu’en cette fin du XX ème siècle à PARIS, avec le grand Louvres, l’Arche de la Défense et la Bibliothèque François MITTERAND réunis…

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LA TECHNIQUE

Notre Maître d’œuvre recruté, les équipes formées, le projet présenté et accepté, les plans et les esquisses tracés et épures réalisées ; notre Maître d’œuvre, homme de savoir et de pouvoir commence son travail.

L’ancien tailleur de pierres qu’il est, arrivé au titre de Maître d’œuvre en raison de ses talents unanimement reconnus, n’hésite pas à mettre la main à l’ouvrage.
La question qui se pose est : quelle sorte d’homme est-il, lui qui a su imposer son image à travers tant de siècles ? Comment a-t-il conçu un tel chef-d’œuvre ?

Avec un cordeau, une règle, une équerre à angle droit et un compas !

Et cela lui permet de commencer à bâtir la Cathédrale, 1er Maître parmi les 6 anonymes dont les travaux s’étalent de 1194 à 1260.
(Pour l’anecdote, l’un d’entre eux, le 2ème, a laissé sa marque par sa façon de travailler. Nous le trouvons à LAON vers 1190, à LAGNY et à BRAISNE au sud de SOISSONS vers 1198, à CHARTRES vers 1200, à REIMS vers 1210…)

Avec un premier mystère : l’orientation de la Cathédrale. En effet, contrairement aux Eglises chrétiennes, cette cathédrale n’est pas orientée vers l’Est mais vers le Nord-Est.
En réalité, il n’y a pas de mystère particulier car, la Cathédrale actuelle a été bâtie sur de « l’existant », dont les fondations d’origine remontent au temps des Druides.
Il s’en rajoute un second : le chantier a été immédiatement ouvert et voilà notre Maître d’œuvre parti pour bâtir la plus large voûte gothique connue et l’une des plus hautes avec ce que cela comporte comme forces d’expansion latérales ; notion de poids, de résistances aux poussées ; mise en place des arcs-boutants et des contreforts…
Et tout ceci, bien sûr, pensé d’avance ; car, comment commencer à bâtir sans avoir pensé et planifié le futur de la Cathédrale ?
Avec un chœur de 37 mètres de long et 14,90 de large…
Avec une nef de 74 mètres de long et 14,90 de large…
Avec une voûte de 37 mètres de haut ?…
Et d’où vient tout ce savoir ?
Il existe beaucoup de fantasmes sur ce thème : tradition cachée, hermétisme des Cathédrales, héritiers des bâtisseurs de pyramides… Arrêtons là les histoires bâties sur un ésotérisme bien éloigné de la réalité.
Ce siècle est un siècle de voyages et notre Maître d’œuvre, pour acquérir tout son savoir a beaucoup voyagé pour découvrir, s’instruire et progresser en rencontrant sur d’autres chantiers des techniques, des méthodes et des hommes différents. D’ailleurs, de nos jours, les Compagnons du Tour de France font exactement la même chose…
Ces chantiers sont de véritables carrefours entre métiers et gens de pays différents ; car les Cathédrales se bâtissent partout en Europe.

La Loge est présente sur la totalité des chantiers. Adossée à la Cathédrale, elle joue un rôle matériel (rangement et dépôt des outils, lieu de travail où se donnent les consignes), elle joue un rôle social (elle devient un centre de formation à la mauvaise saison, où les Maîtres et les Compagnons transmettent leur savoir aux Apprentis), elle joue enfin un rôle symbolique, dans la mesure où la transmission du savoir ne peut se faire au vu et au su de tous, elle devient donc un lieu protégé et va accéder à un caractère sacré.

Avançons dans la construction de l’édifice. Notre Maître d’œuvre a réalisé l’exploit d’élever sur une base romane et sur celle de la Cathédrale incendiée qu’ils n’avaient pas conçues, les ogives de l’art gothique naissant et, grâce à cette technique toute nouvelle, de faire monter la construction plus haut vers le ciel qu’aucun édifice antérieur.
Autre caractéristique technique importante pour l’époque, notre Maître d’œuvre a fait passer les poussées colossales au travers des murs, en les conduisant dehors vers les arcs-boutants. Ces arcs-boutants sont formés de deux éléments concentriques réunis par une arcature dont les colonnettes, au lieu d’être verticales, sont obliques comme les rayons d’une roue, ce qui est frappant ! Et unique ; c’est une création de CHARTRES que l’on ne retrouve pas ailleurs. Les concepts d’épaisseur et de solidité maintenant dépassés, les Cathédrales sont bâties toutes en vitraux (1/2 hectare pour CHARTRES) où l’équilibre est obtenu par chaque partie qui en contrebalance une autre.

C’est la technique qui a permis de construire CHARTRES.

C’est la technique basée sur l’équilibre des masses.

Notre Maître d’œuvre a le sens de l’espace, du nombre et de la pesanteur et la pesanteur est vaincue !
Quelques réalisations techniques de l’époque :
- la surface de la Cathédrale d’AMIENS = 7 700 m2 permettait à toute la population, soit 10 000 habitants d’assister aux cérémonies ;
- Le chœur de la Cathédrale de BEAUVAIS peut contenir un immeuble de 14 étages (la voûte est à 48 mètres su sol) ;
- Pour atteindre la hauteur de la flèche de la Cathédrale de STRASBOURG, il faudrait bâtir un immeuble de 40 étages…
- Cathédrale de CHARTRES : 7 000 m2 – 8 000 personnes debout !

On bâtit pour Dieu ! ! !…

A CHARTRES, règnent équilibre, grandeur, force et beauté…

L’aspect symbolique qui m’a le plus frappé et qui a retenu mon attention après avoir demandé des explications, est le portail royal (la baie de droite) et, notamment, les sculptures des voussures du tympan, celles qui surmontent la représentation majestueuse de la Vierge.
Ces sculptures représentent les sept arts libéraux représentés par des femmes. Ce sont la grammaire, la rhétorique, la dialectique, l’arithmétique, la géométrie, l’astronomie et la musique. A l’époque, il ne faut pas l’oublier, cela représentait ce que l’intellectuel devait savoir, pour atteindre le chemin menant à la Sagesse.
Mais, la particularité de ce tympan ne s’arrête pas là. En effet, chacune des femmes mentionnées est accompagnée par l’homme qui a la réputation d’avoir le mieux représenté les disciplines des arts libéraux.

Sont représentés : DONAT (ou PRISCIEN) – grammairien latin du IV ème siècle – CICERON lié à la rhétorique ; ARISTOTE à la dialectique ; BOECE à l’arithmétique ; EUCLIDE à la géométrie ; PTOLEMEE à l’astronomie et PYTHAGORE à la musique ; soit cinq grands phares le l’Antiquité classique et deux chrétiens…
Cela est frappant, car nulle part je n’ai retrouvé dans mes travaux de recherche la représentation des 7 arts libéraux représentés sur une façade de Cathédrale.

LA LUMIERE

De tous temps, toutes les religions, tous les mystères, toutes les initiations recherchent la Lumière ; car la Lumière symbolise la nature même de la divinité.
Cette Lumière, nous la retrouvons partout depuis l’autel de l’Eglise ou de la Cathédrale où elle symbolise la présence de Dieu, avec Bouddha qui est dénommé le « Roi des Cent Lumières » et les francs-maçons qui sont les « Fils de la Lumière ».
CHARTRES représente un changement profond, après ST. DENIS, dans ce renouveau architectural évoqué plus haut.
Avant, les constructions étaient massives et épaisses.
Avec CHARTRES, apparaissent des lignes immatérielles, dénuées de poids et d’épaisseur ce qui permet une Cathédrales couverte de vitraux. C’est un véritable élan vers la Lumière, vers Dieu.

Le Gothique exalte la Lumière !

L’art du vitrail a eu son apogée au XIIème siècle à ST. DENIS, puis au XIIIème siècle à CHARTRES.
Le vitrail enseigne aux fidèles ! Il montre au croyant ce qu’il doit croire.

Ci-dessus, nous avons évoqué le portail royal.
Trois superbes lancettes le surmontent. Elles sont considérées comme les plus anciennes et les plus lumineuses de l’époque médiévale. Elles sont datées de 1150 ! Celle de droite représente « l’arbre de JESSE » le plus beau vitrail aux dires de certains. On retrouve ce même type de vitrail à St. Denis et à York.
Notre vitrail de CHARTRES est unique en sa perfection et dans sa conservation.
Il rappelle la vision d’Isaïe (XI, 1) : « Un rameau sortira de la souche de Jessé ; un rejeton issu de ses racines fructifiera. »
Le tronc de l’arbre de vie symbolique qui sort de JESSE (le père de David) endormi, a des branches qui supportent quatre rois de Juda vêtus de rouge et de vert, de jaune et de mauve, se détachant sur un fond de bleu intense. Il s’agit sans doute de : David, Salomon, Roboam et Abiah, les premiers de la longue lignée des 28 rois de Juda nommés par Matthieu, ancêtres royaux du Christ. Au dessus se trouve la Vierge et, au sommet, le Christ, fleur et fruit de l’arbre. Sur les côtés du vitrail, les ancêtres spirituels du Christ sont représentés par 14 prophètes de l’annonce messianique faisant face aux rois.
L’arbre est le symbole de la vie.
C’est avec le bois de « l’arbre de la connaissance » du paradis qu’aurait été construite la croix du Christ ; et, la croix elle-même, devint l’arbre de la vie. Elle est souvent représentée avec des branches et des feuilles et considérée comme l’arbre de Jessé, décrit par St. Matthieu.
Une autre interprétation peut être donnée à ce vitrail ; ne s’agit-il pas là d’une glorification de Philippe Auguste à travers la royauté du Christ ? Car, l’arbre revêt la forme d’une immense fleur de lis, dont les capétiens ont fait l’emblème royal. D’où, une certaine ambiguïté de cette composition qui lie la mystique d’une exégèse séculaire à l’exaltation du pouvoir royal…
Un autre vitrail « marquant » est celui dénommé « Notre-Dame de la Belle Verrière » ou encore dénommé : « la Vierge bleue ». Ce vitrail, situé dans le déambulatoire Sud, nous montre la Mère de Dieu représentée en majesté, comme sur le portail royal évoqué plus haut.
Les bleus lumineux, couleur myosotis, sont mystiques, accompagnés des ors et des rouges.
MALRAUX a évoqué ce vitrail en disant qu’il était le sommet de la peinture occidentale.

Et les roses, dont les diamètres varient entre 8 et 14 mètres et des surfaces allant jusqu’à 400 m2, accompagnées de leurs lancettes rayonnantes.
Il faut admirer la rose de la façade ouest, représentant le Jugement dernier. Les couleurs y sont plus soutenues, surtout le bleu.
Il faut arrêter là, car comment en si peu de temps, évoquer plus de 5 000 m2 de vitraux qui donnent toute la vie à la Cathédrale ?

LE LABYRINTHE

Le plus ancien labyrinthe connu dans un édifice chrétien fut découvert à EL ASNAM (ex ORLEANSVILLE en Algérie) ; il est daté de 324.
Il faut attendre le VI ème siècle pour en trouver un à RAVENNE ; puis, cinq siècles plus tard, on en trouve deux dans le nord de l’Italie, dont l’un à St. Michel de Pavie présente deux caractéristiques uniques : il est mural et le combat de Thésée et du Minotaure y figure.
Puis, c’est l’explosion ! Dès le XII ème et le XIII ème, on en trouve partout et notamment, dans les Cathédrales gothiques : Poitiers, Amiens, Arras, Auxerre, Reims, Bayeux, Chartres, Mirepoix, St. Omer, St. Quentin, Toulouse ; où on trouve des labyrinthes de différentes formes : carrés, circulaires, octogonaux ; positionnés dans la nef, sur le mur (Poitiers), ou immenses comme à Chartres.

Tout dessin a un sens !

Y a-t-il, à CHARTRES, un lien entre le labyrinthe de la Cathédrale et celui du mythe grec ? Sans doute ! Mais, le mythe grec symbolisait une prison dont on ne pouvait s’échapper, ce n’est sûrement pas le cas de celui de CHARTRES.
C’est plutôt là, la représentation du chemin de Jérusalem ; car sa dénomination, à l’époque, est « la lieu de Jérusalem ».
Une légende évoque, à un moment donné, la difficulté de se rendre à Jérusalem.
Le pèlerinage aurait été remplacé symboliquement par le cheminement à genoux de ce tracé complexe.
On peut tout interpréter mais, ne s’agit-il pas plutôt du chemin du paradis, de la Jérusalem céleste citée par l’Ecriture.
Le labyrinthe de CHARTRES est un chemin unique, mais compliqué. Il traduit bien l’idée d’un but à atteindre, après un parcours laborieux.
On peut dire (ou imaginer) que ce chemin est celui de la vie, de la naissance à la mort, d’où – peut-être – la christianisation du labyrinthe, signifiant que le labyrinthe est l’entrée dans la Jérusalem céleste et que l’Eglise en détient le fil d’Ariane permettant d’y accéder…
Le labyrinthe symbolise la trajectoire de la vie ; il est le voyage initiatique qui conduit de l’éphémère à l’éternel, du profane au sacré.
Il peut aussi symboliser un vrai pèlerinage, le vrai voyage au centre, qui est un voyage intérieur, à la recherche du Soi… Vous avez dit VITRIOL ? ? ?…
Vous remarquerez, au cours de votre visite à CHARTRES, la très nette apparition de la croix dans le labyrinthe… Y a-t-il une connotation de chemin de croix ?
En tout cas, une charmante guide m’a informé qu’il était composé de 272 pierres (sans les dents) et, que son développement mesure environ 261 mètres.

Et tout cela, construit avec une règle, une équerre et un compas !
Méditons, mes FF:., méditons !…
Avant de te repasser la parole, V:. M:., je voudrai dire tout l’immense plaisir que j’ai eu à travailler cette planche et les connaissances importantes acquises à tous les niveaux, pour effectuer ce travail.
J’ai passé plus de 5 mois intenses de visites, de recherches, de lectures et de réflexions que je regrette beaucoup de voir terminés pour l’instant.

J’ai dit, V:. M:.…

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Protégé : La légende d’Hiram et la mixité – 3° - 15 février, 2009

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Protégé : Sacré rituel – 1° - 8 février, 2009

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Protégé : L’acacia m’est connu – 3° - 7 février, 2009

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Protégé : MB – 3° - 27 janvier, 2009

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Protégé : Encens et Egrégore – 1° - 23 janvier, 2009

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Protégé : Les Gants Blancs – 1° - 17 janvier, 2009

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Fraternité Libertaire 3 janvier, 2009

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Fraternité Libertaire

 

Maçon et Libertaire ?

Vaste sujet car traité maintes fois. Alors que pourrai-je apporter de plus? Bien sûr je pourrai remonter aux sources, relire les bons auteurs (comme on dit). Mais ils sont si nombreux. Lequel prendre et auquel adhérer sans me mettre en danger, risquer que ma pensée adopte une ligne de conduite toute faite ?

Pourquoi tel ou tel théoricien de la pensée libertaire serait-il le meilleur et digne de devenir un guide pour celui qui pense être de cette sensibilité ? Suivre un guide sans le soumettre à son esprit critique n’est-ce pas déjà accepter de ne plus être SOI?

Il me semble qu’être libertaire est le résultat d’une ascèse intellectuelle tournée vers le SOI tout en étant disponible pour l’AUTRE ; non pas l’ÉTRANGER, mais le SEMBLABLE. C’est se construire, faire de soi un HOMME, LIBRE dans ses pensées et ses actes.

C’est aussi être TOLÉRANT. Attitude positive vers tout ce qui aide et installe une reconnaissance de l’HOMME RESPONSABLE de ses actes.

Mon parcours professionnel m’avait déjà amené à pratiquer des formes d’actions peu courantes qui m’avaient mis parfois en porte-à-faux par rapport à mon Institution. La base des désaccords portait le plus souvent sur un non respect de règles. Règles ne me permettant pas d’œuvrer au mieux de ceux qui attendaient une réponse du système en place.

C’est ainsi que j’ai installé dans mes lieux d’affectation, la transparence des décisions, des orientations et des « comptes » et pratiqué la co-gestion, voir l’auto-gestion. Ne pouvant changer à moi seul un système, j’ai préféré agir en montrant que certaines formes d’actions pouvaient tout à fait venir battre en brèche l’existant et soi-disant impensable à changer. J’ai parfois été raillé mais aussi suivi et les réalisations de nouvelles formes pédagogiques centrées sur l’individu ont bel et bien vu le jour. De même dans la gestion des équipes administratives qui très vite ont été responsabilisées et libres de décisions dès lors que celles-ci allaient dans l’intérêt de l’INDIVIDU.

J’ai rejoins la Franc-maçonnerie par idéal HUMANISTE, parce que le besoin se faisait sentir d’approfondir une réflexion sur ce que j’étais. Je voulais confronter mes « utopies », acquérir une méthode progressive permettant de dégager l’HOMME de sa gangue.

Aujourd’hui j’entrevois quelques réponses mais elles demandent encore à être soumises à critique. Je ne suis pas gêné dans mes pensées car comme le disait Léo Campion « la vocation libertaire de la Maçonnerie est indéniable (…) elle est la seule association à laquelle puisse adhérer celui qui n’adhère à rien ». Je prends bien sur « adhère à rien » dans le sens où une adhésion serait un renoncement à des idées personnelles par rapport à des dogmes, quels qu’ils soient.
Je trouve dans ma Loge une vraie Fraternité. Mes voyages me font connaître des Frères d’autres obédiences … et certains par leur comportement et leurs idées m’ont amené à une réflexion plus pointue sur les miennes. Ainsi être de sensibilité libertaire et être Franc-maçon ne serait pas incompatible ?

J’ai entrepris d’observer ma Loge pour voir si ses modes de fonctionnement cadraient avec ce que je mettais dans un comportement libertaire.

«Un maçon libre dans une loge libre». Je reconnais que cela se pratique dans ma Loge. Tout est fait pour que la liberté de chacun soit respectée et que le foisonnement des différences n’entraîne pas – comme on pourrait s’y attendre – le chaos. Chacun s’exprime très naturellement quel que soit le sujet. La parole est forte et entendue car chaque Frère est considéré comme responsable.

Étudions comment se passent la plupart des réunions-débats, des prises de paroles, des discussions de groupe. Souvent ce ne sont qu’attitudes convenues, interruptions, monopole de la parole, … autant d’outils qui entretiennent les dominations. En Loge, pas de cela. Nous nous sommes donné des règles pour débattre, pour favoriser l’écoute, la prise en compte des diverses opinions… Les dialogues sont exclus, la parole demandée est adressée à tous les membres présents. La parole s’autorégule. Elle n’en a donc que plus de valeur et de poids. On ne la conteste pas, on l’enrichit par des nouveaux apports, la critique est toujours positive. A chacun de suivre une démarche personnelle pour prendre en compte les multiples facettes d’un problème et se forger une ligne d’action. Cette ligne, résultat d’un apport collectif, ne peut qu’être un liant et en aucun cas une « Vérité révélée » à accepter comme telle.

De là découle cette nouvelle vision : ce n’est pas parce que les hommes sont égaux qu’ils ont les mêmes droits, c’est parce qu’ils ont les mêmes droits qu’ils sont égaux. Chacun devient responsable et contribue à la base de sa dignité. C’est pour cela que les Maçons cultivent l’amour fraternel, valeur universelle qui interdit la négation de l’autre, son exploitation et fait indiscutablement partie de la construction du Temple. Chacun de nous est donc à la fois responsable et tributaire de cette équité, base de notre dignité. L’équité entre Frères vise le «juste». Elle impose un travail intérieur, une recherche de l’absolu et une soif de justice.

Les règles de notre rituel apportent à notre formule «Liberté, Égalité, Fraternité» une force encore plus grande car ces mots deviennent des facteurs nécessaires et favorables au progrès humain et j’adhère aux paroles de René Valfort: « Un milieu comme la Franc-maçonnerie, dont les principes fondamentaux sont : la tolérance, la fraternité, la liberté de pensée, le respect de la personne humaine, dont l’objet principal est l’éducation des individus et la formation d’une élite, ne peut pas être inutile au progrès de l’Humanité. Et de cela les anarchistes, moins que quiconque, ne doivent douter, vu l’importance qu’ils attachent à l’éducation ».

C’est pourquoi je ne vois pas d’incompatibilité entre Franc-maçonnerie et attitude libertaire. Les deux sensibilités concourent au même but. Certes leurs formes d’actions sont différentes mais les idées sont les mêmes et la phrase « un maçon libre dans une loge libre » prend tout son sens : aucun dogme, aucun système d’autorité ne peut asservir l’Homme. Comment l’un et l’autre, le Maçon et le Libertaire, frères en Humanité ne pourraient-ils pas s’asseoir et œuvrer ensemble au sein d’une Loge. Pour eux le dénominateur commun est l’Homme.

Prenons encore les fonctions occupées au sein d’une Loge. Tous les ans il y a élection des Officiers. L’un d’entre eux est Le Vénérable Maître, qui en fait n’est que l’administrateur de la Loge. Ils ne sont donc « élus », « reconnus » par les Frères que pour un an.

Ces officiers ne sont pas des « gouvernants », des « mandataires », des « représentants » mais des pairs qui, conformément au mandat impératif, révocable et « tournant » qui les a désignés doivent rendre compte, ont la charge de tenir certains offices, et exécuter certaines « missions » dans l’intérêt de la Loge.

Leurs charges ne sont attribuées que pour favoriser un harmonieux travail de l’Atelier et leur actes « d’autorité » ne sont en fait que le respect des règles fixées en commun. A l’issue d’une charge chacun retourne sur les colonnes.

Si on lit le Règlement de l’Obédience on y voit tout un « système » pourvu de tous les attributs habituellement image de pouvoir ou au sens large d’autorité. Mais il y a une très grande différence : tout Maçon peut s’il le veut, quitter, librement, sa Loge. Même dans ce cas extrême il y a respect de son acte.

On est bien là dans une affirmation qui s’inscrit dans l’Humanisme, lequel est né avec la premier humain ayant pris conscience de ce qu’on pouvait naître à son humanité si on en faisait librement le choix. Choix de s’engager mais aussi de se désengager. L’engagement maçonnique est scellé par la Liberté : la liberté du choix de l’individu d’abord, puis Liberté ensuite, avec un grand « L », constitutive d’une condition humaine.

De plus, regardons nos rituels. Ils ont évolué au cours des siècles. Mais une Loge peut aussi se donner un rituel. Toutes les règles élaborées pour servir les besoins humains doivent être par nature adaptées aux circonstances et ne doivent jamais pouvoir « s’institutionnaliser ».

C’est pour cela que je me sens bien en Maçonnerie. Si mes aspirations libertaires sont, comme je le crois, installées et vécues elles ne gênent en rien mon engagement et à la pensée de Léo Campion j’ajouterai encore celle-ci: « Tu dis que tu as choisi une idée parce qu’elle est bonne, sache qu’en réalité tu dis qu’elle est bonne parce que tu l’as choisie. » afin d’être toujours en veille

Enfin, pour terminer une définition que j’adopte volontiers : « L’Anarchisme est la passion de la Liberté mise en théories. Et aussi en pratique lorsque faire se peut ». (Dictionnaire Universel de la Franc-maçonnerie).

Jean Rich:.

 http://www.motiflibertaire.net

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Bêtisier Maçonnique … 6008 31 décembre, 2008

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BETISIER MACONNIQUE

 

Un  V:. M:., qui avait été dans le profane un dirigeant d¹entreprise, à un jour fermé une Tenue d¹Apprentis en disant Je ferme cette Loge d¹Appointés.

De Pierre Dac alors 1er Surv.:. « V:. M:. le sac a provisions et le trou de la veuve sont a votre disposition »

En vrac : « F:. et S:. qui déconnez sur les colonnes » ou après une demande de parole un Surv: « Tu as la colonne mon F.°. »

Une S:. 1er Surv.:. (au DH le nom des office reste invariablement au masculin) « V.°.M.°. en tant que  première surveillante , euh pardon V:. M:., c’est mon sexe qui ressort » fou-rire, et pour se reprendre : »bon il faut que je me taise car plus je parle et plus je m’enfonce »

En droite ligne du « le tronc de la vieille entre les colonnes », entendu cette semaine en tenue.

Dans une loge féminine et tropicale : Lors d’un rituel spécial réserve a trois soeurs pour une augmentation de salaire alors que la V.°.M.°. s’inquiétait de l’organisation: « les soeurs ont-elles leurs outils ? » il lui fut répondu : « V:. M:. toutes les soeurs ont leurs règles »

Une soeur :  a paris, alors  qu’elle promenait son chien, vers la rue cadet, vers minuit, elle croise un monsieur elle lui dit « bonsoir mon frère » il rétorque « comment sait tu ma soeur que je suis un frère » elle répond « parce que tu n’as pas enlevé ton tablier , mon frère ».

Pour rester dans les mêmes idées, que penser de l’ Orateur qui demandait « qu’en toute humidité vous n’oubliez jamais votre serpent » confondant le taux d’humidité de l’humilité du serment.

 » un F.: planchait sur la solidarité. La planche durait, durait… Survient le moment ou l’orateur évoque l’une des meilleures illustrations de la solidarité maçonnique : la chaîne d’Union. Il dit alors : « C’est un moment si intense, nous sommes alors si proches, nous nous serrons à ce point qu’on peut se sentir le bout… euh, le pouls ». Difficile alors de garder son sérieux

Mes FF:. nous avons laisse nos motos a la porte du Temple…

Initiation: le M:. d C:. , lorsque le nouvel initie a été réintroduit après avoir remis de l’ordre dans ses vêtements, a prononce distinctement la phrase suivant: « V:.M:., on frappe a la porte en abruti »…

Dans la série mieux vaut l’entendre que le dire, je cite cette belle parole d’un F:. premier surveillant après une planche sur Jonathan Livingston le Goeland :  » V:. M:. les colonnes sont mouettes « 

V:. M:. le soir de son installation  » Les clients sont satisfaits …. »

Dans une loge féminine: « Sœur couveuse faites votre office.. ».

A une instance à l’Or.: « Vénérable Grand-mère… »


Lapsus du 2ème Surv
:. V:.M :., le F:. Hosp :. et la S:.  Tres.:. ont rempli leurs orifices »

Tel ce frère africain qui lors d’un vote « à boule » dit au V:. M:. « vénérable maître… j’ai deux boules noires! »… puis qui se rends compte du double sens… et qui se met a rire avec l’ensemble des frères!

Ce jeune compagnon qui remplace le couvreur alors que l’on doit recevoir un grand officier provincial. Emu il annonce le > visiteur ainsi: « vénérable maître, le GADLU demande l’entrée du temple ». et le véné sans se démonter : « mes frères, tous à genoux pour le GADLU ».

A la clôture des travaux le V:.M:. dit  » en « puisqu’il est l’heure de nous cuiter. » au lieu de «  puisqu’il est l’heure de nous quitter ».

Le temple est dûment huilé.

Lors d’une initiation dans une autre loge, le profane avait eu largement le temps de la réflexion et s’en était ouvert lors de ses impressions d’initiation. Il avouait avoir compris , le sel, la terre, le soufre, Vitriol, etc. Toutefois il se perdait encore en conjectures sur la symbolique cachée derrière le rat qui était venu puis reparti avec le pain….

Mésaventures survenues lors de cérémonies d’initiation  Lors d’une initiation l’impétrant est amené dans le cabinet de réflexion où il est laissé tandis que les travaux continuent avec force et vigueur.  La loge, située dans l’ancienne demeure de la nourrice de François 1er possède des souterrains propices à l’installation des cabinets de réflexion.

La discussion se prolongeant, l’ atelier est alerté par une fumée assez dense qui monte du sous-sol. Le Maître des Cérémonies est requis d’aller voir ce qui se passe. Il trouve les souterrains enfumés par la combustion du support de la bougie qui s’est renversée.  Le profane, pensant que cela faisait partie du rituel, restait imperturbable sur la chaise qui lui avait été assignée…

Le Secrétaire, lisant le tracé des derniers travaux, a mentionné le « tronc des hormones »?

Comme lorsque  1a surveillante a annoncé au V\M\son époux: V:. M:. le sac aux propositions et le tronc de TA veuve sont à ta disposition…

D’enfermer notre Soeur en un lieu sûr et sucré (une diabétique en manque !)

Le F.·. Orat:., communiquant l’ordre du jour de la prochaine Ten:. (Init.·. Solenn.·. au 1er Degr.·., le samedi 7 octobre à 16h): « …smoking et gland blanc… ». Les SS.·. ne sont pas admises.

Le V:. M:. officiant (non titulaire de la charge) était une célèbre présentatrice de la TV (souvenez-vous, les Belges, de l’expo 58…).
Dans les préliminaires, elle a dit: « Dans l’EMISSION que vous allez suivre… ».

Atelier, au GO, le F.°. Secrétaire avait préparé non des testaments philosophiques mais des testaments tout courts… qui existent au GO quand un F.°. souhaite léguer des trucs à l’Atelier ou à l’Obédience.
la lecture des testaments des 3 profanes initiés ce soir-là a été du genre « je lègue tous mes biens à ma belle-soeur bien-aimée, ma montre en or à mes enfants… » !!!

Loge féminine

Lors d’une cérémonie la V:. M:. avant de mettre l’atelier en récréation dit:
« Nous allons nous occuper
  des préservatifs »
à la place « en raison des préparatifs »

Lors du tuilage pour son élévation à la MM.: un F.:
psychiatre de profession, a dit : « Le point G m’est connu »

Cérémonie d’initiation. Le second S:. lis les statuts généreux !

Passage sous le Bandeau :

V:.M:. demande au profane d’arrêter de Testiculer (Gesticuler !).

La tranche placée  au lieu de planche tracée !

Loge Féminine :  Les matrones sur les colonnes !

Installation du collèges des Of :. :

Le collège des Off:. est entre les commodes

 

Merci à mon F:. JANLOU

de ce bêtisier … si vrai

pour ce 31 décembre 6008 

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