Odin – Le Dieu Suprême de la Mythologie Nordique – Histoire et Mythologie en BD 11 juillet, 2023
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Protégé : LA QUÊTE DU MAÎTRE FRANC-MAÇON – 3°- 10 juillet, 2023
Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Contribution , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.Un point dans un Cercle 9 juillet, 2023
Posté par hiram3330 dans : Chaine d'union,Contribution,Recherches & Reflexions , ajouter un commentaireUn point dans un Cercle
18 Juin 2010 ,
Rédigé par Lurker
Publié dans #Miscellanées
A. That point within a circle from which every part of the
circumference is equally distant
Q. Why in the centre?
A. Because that is a point from which a M.M. cannot err. »
Hérité de pratiques animistes, plus particulièrement des religions anciennes et des cultes du phallus, ce symbole que l’on trouve sur les tableaux de Loge du premier degré du Rite Emulation nous vient probablement de la plus haute antiquité. Le point dans un Cercle est un symbole de grande importance pour le franc-maçon dans la mesure où, nous précise le rituel, « il est un lieu dans toutes les Loges Régulières depuis lequel nul maçon ne saurait se perdre…« . Il représente le lien entre nos rituels actuels et l’ancien symbolisme de l’Univers et de l’Orbe solaire. Tout les Apprentis d’ « Emulation » qui ont étudié leur rituel sont assez familiarisés avec le sens qui est habituellement attribué à cette représentation. On nous dit que le point représente l’individu humain et que le cercle désigne les limites de ses devoirs envers Dieu et les autres Hommes. Les deux lignes parallèles perpendiculaires qui représentent Moïse et Salamon, c’est à dire le dispensateur de la Loi et le bâtisseur de son Temple. Une tradition plus « modern » adoptée par certaines Loges (particulièrement les Loges US) et préférée des praticiens du REAA ou du RER, plus néo testamentaires, laisse à penser qu’il s’agit des deux Saint Jean pour ce qu’ils configurent, pour les uns, les solstices et pour les autres les deux piliers de la chrétienté…
Il est bien évident que ce symbole particulier est à placer auprès de celui du compas dont on a déjà parlé ici. Image du Monde, de la Création dans son ensemble tout aussi bien que celle du Dieu qui Crée… l’Unité qui fait complétude par le fait même qu’elle contient le Créateur et sa Création. Mais, de l’outil qui permet d’en délimiter les formes, à la représentation elle-même qui peut exister à main levée, combien d’images peuvent surprendre et dire le Monde.
Comme beaucoup de symboles maçonniques, celui-ci se présente comme une résurgence de pratiques et de traditions des plus primitives en relation avec la vénération du Soleil et de la Lune. Rappelant les signes les plus anciens relatifs aux cultes de la Déesse Mère transmis à l’occident chrétien à la suite des pratique moyen-orientales du Sabaïsme qui consistait en l’adoration des étoiles, ou, comme il est dit dans les écritures… « seba schamaïm, omnes militias coeli ». On sait, que c’est par ces termes que les hébreux désignaient les astres et les étoiles et que c’est de là que provient le nom de sabéen. L’union du Phallus et de la Cteis, ou le Lingam et le Yoni dans une même combinaison se présente comme un objet d’adoration particulière dont le point à l’intérieur d’un cercle se présentait depuis longtemps comme la plus habituelle représentation. Aussi bien, les étoiles et leur énergie projetée sur Terre étaient l’image la plus courante de la Création du Monde par la dévotion qu’elle suscitait quant à la divinisation des pouvoirs prolifiques de la Nature. On sait que les plus anciennes divinités sont celles qui représentent la Grande Déesse dont les hommes sont les enfants générés par un Dieu disparu.
Ce point au centre d’un cercle est donc bien une référence phallique. Cela n’est pas surprenant dans la mesure où les sources de ces cultes sont restés d’une grande influence dans le symbolisme maçonnique où l’on retrouve indifféremment le « lingam » ( sous la forme des colonnes ou du Maître, selon les traditions ), le « Soleil » et la «Lune».
D’autres avis portent sur une origine qui se voudrait plus pragmatique. A savoir que le point serait le point de rotation d’un graphisme circulaire qui représenterait l’Univers, contenant et contenu. L’Homme des premiers âges aurait alors utilisé un pivot planté dans la terre pour en dessiner la forme conceptuelle à l’aide d’une autre tige ou d’une liane. Une cheville dans le sol, un pivot, un arbre comme « axis mundi »… Aujourd’hui on n’a pas encore trouvé mieux que cette méthode aussi simple qu’efficace et il n’y a pas de doute sur le fait que la pointe du compas reliant son axe de rotation à l’autre pointe soit son héritière. Cependant, même dans ce cas, il est bien évident qu’il s’agit encore d’une représentation phallique implicitement présente car le cercle « contenant » figurant la Création ne saurait exister sans lui… Il s’agit toujours, à l’instar du symbolisme des colonnes J et B, d’énergies, « contenante » et « contenue », «enveloppante» et «enveloppée», dont les significations se sont transformées avec le temps et les cultures en « masculine » et « féminine ». De nombreuses déités de l’antiquité païenne peuvent de la sorte être associées à ces concepts générateurs, « actif » ou « mâle », « passif » ou « femelle ». Ainsi les Dieux anciens étaient représentés en couples… Jupiter et Junon, Vulcain et Vénus, Osiris et Isis. Mais les anciens sont allés encore plus loin. Ils affirmaient que l’énergie de la procréation était la même que celle qui avait présidée à la fondation du Monde et de la Nature. C’est ainsi, en soulignant que cette force pouvait exister en un seul individu, qu’ils désignaient les premiers habitants du monde comme hermaphrodites, voir des créatures doubles ( Cf. Le Banquet de Platon ).

Mais revenons aux sources de la signification religieuse du symbole. Albert G. MacKey dans son ouvrage « The Symbolism of Freemasonry » insiste sur son grand intérêt et son importance et nous convie à le rapprocher de l’orbe du Monde et de son axe et c’est en cela que les tangentes des lignes parallèles perpendiculaires offrent les points solsticiaux du cycle. Néanmoins, il revient, à juste raison sur sa signification phallique première et ses liens avec les Grands Mystères. Pour les Egyptiens dont on dit souvent qu’ils sont à l’origine de nos symboles maçonniques, le Phallus était le symbole de la fécondité exprimée par le principe mâle générateur. Les mystères secrets liés à cette énergie et à ses conséquences profondes étaient transmis lors des initiations. Ce sont ces secrets intrinsèquement liés au culte d’Osiris dont héritèrent les mystères d’Eleusis. Le point était la source profonde de toutes choses caché au cœur de la Création et le placer dans un cercle revenait à en indiquer la source sacrée. Dans ce contexte, le cercle sans le point n’a aucune signification et sans le cercle, le point n’en a pas plus. C’est la raison pour laquelle les cultes monothéistes qui conservèrent ce signe en conservèrent aussi le sens depuis Akhenaton qui en fit le symbole de son Dieu.
SOURCE : http://truthlurker.over-blog.com/article-7015951.html
Protégé : La Création – 2°- 7 juillet, 2023
Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Contribution , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.Protégé : L’heure du Parfait Maçon – 18°- 5 juillet, 2023
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Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Contribution , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.Protégé : Spiritualité et Mysticisme – 1°- 30 juin, 2023
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Posté par hiram3330 dans : Chaine d'union,Contribution,Perfection.... , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.L’E G C en bref – Gnose 27 juin, 2023
Posté par hiram3330 dans : Contribution,Recherches & Reflexions , ajouter un commentaireL’E G C en bref
« Crée en moi un cœur pur Ô Dieu, Et mets au-dedans de moi un esprit nouveau, un esprit ferme. Ne me rejette pas de devant Ta Face et ton esprit saint, ô ne me l’enlève plus » (PS, 51 : 10-11).
L’E.G.C. reconnaît et se joint en communion aux Eglises des Trois Premiers Conciles (Nicée, Constantinople et Ephèse) en ce sens elle accepte le Credo de Nicée-Constantinople. Elle est – même irrégulièrement – une partie intégrante du corps de l’Eglise chrétienne une, sainte, universelle et apostolique.
L’E.G.C. célèbre les sept sacrements : baptême, confirmation, eucharistie, réconciliation, sacrement des malades, ordination, mariage.
L’encyclique Satis cognitum (28 juin 1896) du Pape Léon XIII précise que « les évêques possèdent une autorité qui leur est propre et qu’ils portent en toute vérité le nom de prélats des peuples qu’ils gouvernent ». Le Concile Vatican II rappelle que « par l’imposition des mains et par les paroles de la consécration, la grâce de l’Esprit Saint est conférée, et le caractère sacré imprimé de telle sorte que les évêques tiennent, de façon éminente et visible, la place du Christ lui-même, Maître, Pasteur et Pontife, et agissent à sa place ». De par les pouvoirs sacerdotaux dont l’évêque est le dépositaire, il peut donc valablement transmettre les Ordres et la consécration épiscopale en dehors de toute autorité. Ce qui le place alors, du point de vue juridique, en illégalité, mais non en invalidité.
Ainsi tous les évêques à la suite de Vilatte – qui n’était pas primat – sont illicites. Nous sommes, évêques vagabonds, illégalement consacrés et cela nous convient.
Ainsi, « chacun s’assemble où il le veut et où il le peut » selon les mots mêmes du Martyr Justin.
L’évêque préside le service – mais en serviteur et non en maître. Il célèbre l’eucharistie qui est célébrée selon les mots du Christ : « Faites ceci en mémoire de moi ». Ainsi, nous pratiquons lors d’un repas fraternel la cérémonie de la fraction du pain et de la bénédiction du vin comme Jésus avait rompu le pain et béni la coupe pour les distribuer à ses disciples.
« L’agape est une nourriture céleste, un festin raisonnable ; la charité supporte tout, elle espère tout, elle souffre tout, elle ne finira jamais » (Clément d’Alexandrie, Stromates).
Cependant l’E.G.C. n’est pas sectaire dans le sens légal et usuel du terme. Elle ne cherche pas l’enrichissement personnel, elle ne désire pas la soumission des volontés individuelles ; elle place l’humain, et sa liberté inhérente, au centre de son travail et rejette donc toute prison de l’esprit, de l’âme ou du corps. L’E.G.C. ne cherche pas non plus des adeptes béats ou des moutons sans volonté, mais des êtres libres et indépendants se reconnaissants dans les principes de la Gnose.
+Tau Héliogabale bien qu’ayant publié les actes de sa fondation – en accord avec les évêques issus de sa filiation – n’est pas et ne sera jamais son chef.
– Nous permettons le mariage des prêtres et des épiscopes ;
– Nous ouvrons nos ordres aux femmes qui y disposent des mêmes pouvoirs et prérogatives que les hommes ;
– Nous reconnaissons le droit absolu aux personnes de même sexe de contracter une union spirituelle et de vivre comme ils l’entendent.
+Tau Héliogabale, février 2012 en l’Oratoire d’Ara Lunæ.
SOURCE : https://www.heliogabale.org/a-propos/le-g-c-en-bref/