LE GÂTEAU D’APPRENTI À L’ÉTERNEL 28 mars, 2020
Posté par hiram3330 dans : Humour , ajouter un commentaireHUMOUR MAÇONNIQUE : LE GÂTEAU D’APPRENTI À L’ÉTERNEL
Gâteau d’apprenti à « l’Éternel ».
Un Temple de bonne et juste contenance
Une bonne et solide poignée d’Apprentis
Une règle
Un maillet
Une petite mesure de V.I.T.R.I.O.L
Un bon pavé Mosaïque ( dans le Filet, si possible )
Trois ans d’impatience ( on en trouve en pot en cette saison )
Un peu de Soufre, un soupçon de Sel
Du Mercure en poudre ( c’est plus digeste )
Une Voûte Étoilée
Une Canne
Un Caniche ( ça c’est pour J. Prévert que j’aime bien et cela remplace la fève traditionnelle )
Enfin, mais c’est facultatif :
Une Colonne J, une Colonne B si vous désirez flamber votre gâteau ( recette Écossaise )
Réalisation de la recette
Après avoir ouvert votre Temple avec les précautions d’usage ( n’oubliez pas de mettre un Tablier ) vous y disposerez délicatement votre poignée d’Apprentis. A ce propos, il est très important de bien contrôler la qualité d’origine. Attention aux O.G.M ( les tristement célèbres Orients Gâteusement Modifiés ) qui font tant de victimes!
Arrosez de V.I.T.R.I.O.L
Faites revenir régulièrement à petits feux pendant 3 ans.
Sauce à « l’Éternel »
Durant la cuisson vous préparerez un fond avec la Règle, le Maillet etc. … ( pas trop d’etc. ça crée de la routine au goût amer )
Rectifiez l’assaisonnement avec de la fleur de sel de Guirlande
Saupoudrez de poussière d’Étoiles
Et surtout . . .
Surtout, ne touchez plus à rien !
Écoutez les Odeurs
Reniflez le Silence
C’est si bon le Silence !
La prochaine fois, je vous donnerai la recette du » Cœur à l’écorché vif »
Mais c’est une autre histoire !
Bonne dégustation .
Source : Claude
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Humour … Samuel Bambi est maintenant un franc-maçon – Clique – CANAL+ 4 février, 2020
Posté par hiram3330 dans : Humour , ajouter un commentaireLEXIQUE MAÇONNIQUE HUMOURISTIQUE 20 octobre, 2019
Posté par hiram3330 dans : Humour , ajouter un commentaireLEXIQUE MAÇONNIQUE HUMORISTIQUE
LEXIQUE MAÇONNIQUE HUMORISTIQUE
ACCOLADE : Acte maçonnique par excellence, expression de la fraternité la plus authentique en même temps que véhicule des parfums les plus nauséabonds. Tellement signifiante en soi que nombreux sont ceux qui la donnent, sans même savoir à qui ils la donnent. Pour moi, survivance de la pensée magique selon laquelle on peut installer une réalité en la nommant.
ADOPTION (Fête d’) : Grand raout qui se reproduit tous les 4/5 ans, le temps que Cupidon ait fait son œuvre et que les crèches soient à nouveau garnies. On y apprend à ces chers petits qu’ils ne doivent pas s’en faire, que le GADLU et sa Commission veillent définitivement sur eux, qui n’ont de toute façon aucune responsabilité. Cette fête donne l’occasion aux parrains de rivaliser de cadeaux somptueux et de décors rutilants. Elle permet également aux épouses (voir aussi l’article “FEMME”) de se rassurer quelque peu quant aux fréquentations/frasques vespérales, sinon nocturnes, de leurs époux.
ANCIEN ET ACCEPTE (Rite Ecossais) : Voie triomphale vers le dernier et ultime stade de la vanité, vérité dont sont intimement pénétrés ses serviteurs les plus convaincus; son parcours est jalonné d’étapes parfois rocambolesques, parfois sublimes, fruits des suées nocturnes de très éminents Maç∴ du XVIIIe siècle.
ANDERSON : Auteur de contes pour enfants. Peut aussi s’adresser à des Maç∴ avides de merveilleux.
APPRENTIS : Ignares tellement honteux de leur analphabétisme (ils ne savent ni lire ni écrire !) qu’ils ne parlent pas en public (des fois que cela s’entendrait !). Dans certains cas, véhicule d’injures: «va donc, espèce d’éternel apprenti ! “ou “Mon pauvre, tu ne seras jamais qu’un éternel apprenti !”
ASSIDUITÉ / ASSIDU : Qualité absolue qui donne droit à toutes les excuses. Dire d’un frère qui exprime quelque chose de peu intéressant: “Oui, mais il est très assidu”. Synonyme : en règle de cotisation”.
ATHÉE : Il y a deux sortes d’athées :
Ceux qui n’ont aucune inquiétude spirituelle, ce qui leur vaut l’appellation d’”Athées Stupides”. Une telle attitude est incompatible avec une réelle vocation maçonnique. Ils sont cependant peut-être plus croyants qu’ils le pensent – ou le croient – car si Dieu (ne lésinons pas sur les majuscules) avait le peu d’existence qu’ils veulent bien Lui accorder, pourquoi aurait-Il ce pouvoir de provoquer chez eux des éruptions cutanées dès qu’ils entendent prononcer Son Nom ? (Voir article “Tolérance”). A leur conseiller vivement : une relecture du 14e degré.
Ceux qui rejettent le Dieu révélé par les Églises, mais qui n’en sont pas moins des esprits religieux.
CORDONITE : Affection aiguë qui peut toucher le franc-maçon qui n’y prendrait garde. Se traduit par une propension à collectionner des colifichets et autres accoutrements si possible brillants et clinquants dans le but de satisfaire un ego dilaté et un orgueil bien peu maçonnique. (L’orgueil est-il donc vertu maçonnique ?). Elle se manifeste par des symptômes incompréhensibles au profane, entre autres pour nos FF∴ une usure prématurée du col du smoking qui part de l’épaule gauche pour se terminer sur le flanc droit.
CULTURE MAÇONNIQUE : Désigne le paquet d’habitudes de l’Institution telles que les rêve le profane et telles que les supporte le franc-maçon.
DEVOIRS DU FRANC-MAÇON : Les exiger de la part des autres, s’en affranchir quant à soi. Les autres en ont envers vous, mais vous n’en avez pas envers eux.
DIEU : Voir GADLU – c’est fou ce que cette institution, qui jouit dans le profane d’une solide réputation de laïcité, voire d’athéisme, peut engendrer parmi ses membres le besoin de parler de Dieu.
DIGNITAIRE (Officier) : Membre d’une Commission d’Officiers du même nom. Certains d’entre eux éprouvent parfois d’énormes difficultés à faire la différence entre honneur, privilège, service et charge.
ECOSSISME : Mouvement ésotérico-exotique fort en vogue au Siècle des Lumières, connaît aujourd’hui une renaissance sous la forme d’un intérêt passionné pour les whiskies “Pure Malt”.
FEMME : Indispensable auxiliaire (op.cit : un ancien rituel de fête blanche) sans qui nos Travaux n’auraient pas l’éclat qui leur revient et notre assiette serait beaucoup moins bien garnie.
Lasses de ce rôle subalterne quoi qu’incontournable, certaines ont voulu en finir avec cette servitude et ont créé leurs propres ateliers où elles travaillent en paix, loin des sarcasmes de leurs FF∴.
FRATERNITÉ : Souvent invoquée, rarement pratiquée. Synonyme : serpent de mer.
GADLU : Voir DIEU.
GANT : Attention à l’orthographe, s’écrit bien GANT et pas GAND. En principe, signe de la pureté des intentions du Maçon; pour certains, affirmation de leur détermination à ne pas se salir les mains, surtout à l’occasion d’une tâche profane. Se méfier des farceurs ou des distraits : j’ai commencé ma vie maçonnique avec une paire reçue, j’en ai acheté une seconde par la suite et je me trouve aujourd’hui à la tête d’un capital de deux gauches et quatre droits.
Chez nos FF∴, la paire attribuée au nouvel initié est traditionnellement assortie d’une paire de gants de femme, à remettre à la Femme qu’il estimera la plus digne de les recevoir de la main d’un Franc-Maçon. Quelle méprisable vanité ! Pourquoi ne pas inverser le propos : “dont il s’estimera assez digne pour pouvoir les lui offrir sans rougir” ?
GRAND : Qualificatif favori des Maçons. Tout est Grand chez eux, rien n’est petit, pas même le cou.
Quelques cas particuliers : Grand Maître : Maître plus long que les autres, ou encore Maître-étalon. Doit cette appellation à son étonnante capacité à diriger une érection de colonnes. Grand Officier ; Officier qui se croit plus grand que les autres.
HAUTS GRADES : Les dénigrer, mais tâcher d’en faire partie si l’on peut.
INITIATION : Cérémonie qui permet de recevoir la Lumière: Avant j’étais complètement dans le cirage, maintenant que je suis initiée, la couleur du cirage est passée du noir foncé au noir clair.
Certains sont parfois tellement impressionnés par la Lumière qu’ils reçoivent qu’ils en deviennent des Illuminés pour le reste de leur vie
LIBERTIN IRRÉLIGIEUX : Quel Beau programme !
MAÇONNIQUE : Qualité souvent caractérisée par son absence (cette attitude n’est pas M∴) ou encore propriété attribuée à des objets qui n’ont que peu de choses à voir avec elle (qu’est-ce donc qu’une Musique M∴, une Mallette M∴?)
MAILLET : Voir outils. Peut faire très mal lorsqu’il est utilisé à des fins carriéristes.
MAITRE : Unité de mesure d’une loge : il faut une loge de 7 MM∴ pour qu’elle soit juste et parfaite. Les Grandes Loges font jusqu’à une centaine de MM∴.
OBÉDIENCE : Synonyme parfait de “Droit chemin”. Voir secte
OUTILS : Autant que possible, éviter de s’en servir tout en en parlant d’abondance. Certains peuvent causer de vilaines blessures (voir maillet). Toujours bien les ranger dans sa boite à outils; se méfier du compas qui pique et du fil à plomb qui s’emmêle facilement.
PLANCHE : Instrument de supplice préféré de tous les verbeux qui n’ont rien à dire mais espèrent s’arroger le droit de parole en invoquant le mot. On distingue : les planches d’instruction, les planches d’érudition les planches à clous, les planches à repasser , les planches de salut , les planches à tartiner, les planches à voile et les planches ennuyeuses, de loin les plus nombreuses.
QUELQUE PART : venu d’ailleurs. Paradigme du processus d’appauvrissement dont est actuellement gangrené notre langage. Transcende une évidence en la plongeant dans une espèce de profondeur vague, teintée d’universalisme; n’a son pareil en matière de langue de bois que dans cette autre expression “par rapport à”
Comparer : “l’initiation est une progression” à ” l’initiation est quelque part une progression”.
La capacité quasi ubiquiste de cette locution lui permet d’offrir une gamme étendue de nuances gouvernées par sa seule position dans une phrase; voyez plutôt la poignante différence d’extension et de localisation provoquée par un petit déplacement : “L’Initiation est quelque part une progression” / “L’Initiation est une progression quelque part” ; la première ouvre la porte à toutes les spéculations ontologiques, laissant – et c’en est très émouvant – au verbe être déployer toute son extension sémantique, alors que la deuxième patauge platement et rachitiquement dans une gadoue désespérément pragmatique (où donc, et non pas en quoi, l’initiation est-elle ?) Dans le premier cas, on frise quelque part le sublime, dans le second on passe en-dessous des fraisiers sans même s’en apercevoir. Mais dans un cas comme dans l’autre, le sens du mot progression est singulièrement occulté. Je garde pour la bonne bouche “sortir de quelque part”.
RECTIFIE (Rite Ecossais) : Petit frère de l’autre quoique son aîné; permet aux membres de l’un comme de l’autre de se proclamer la seule Maç∴ authentique.
REGULARITE : Prétexte providentiel pour tous ceux qui souffrent d’un vénéralat rentré ou de toute autre charge qui leur a échappé; il permet de réputer parjures mais tout de même pas infâmes tous ceux qui leur ont damé le pion et, par la multiplication des charges qu’il engendre, fait le bonheur et la fortune des marchands de décors.
Remarquons que cette régularité ne peut se fonder que sur l’irrégularité des FF∴ et SS∴ préalablement reconnus comme Maç∴.
RETOUR (Assuré-dans-leur-Patrie-si-tel-est-leur-désir) : Chorus final d’une formule incantatoire par laquelle beaucoup croient avoir exprimé le meilleur de la Maçonnerie. J’en doute, car je suis porté à m’interroger sur ce que seraient disposés à faire pour faciliter ce retour (je connais cependant un F∴ qui ne lésinerait pas sur ses coups de pied au derrière pour précipiter ledit retour) tous ceux qui n’ont pas leur pareil pour rester à table sur leur cul de plomb tout en ignorant superbement ( quand ce n’est pas pour la dénoncer comme une gène) la main du F∴ qui s’est chargé de desservir la table.
RITUEL : Grimoire dans lequel sont consignés des échantillons représentatifs des aptitudes humaines à la banalité et à l’obscurantisme, ces échantillons voisinent avec des textes qui dépassent parfois le niveau de l’entendement humain : bien des années sont nécessaires pour en pénétrer le sens.
SECTE : Assemblée de Maç∴ ou de profanes qui n’appartiennent pas au même groupement. (Voir aussi “Obédience”)
SERMENT : Formule par laquelle le nouvel initié s’engage à tenir une impressionnante série d’engagements dont la teneur lui échappe souvent et ce, moyennant des sanctions impliquant les plus horribles supplices. A force d’en prononcer, on finit par oublier de les tenir. Synonyme : SERREMENT (voir ACCOLADE)
SMOKING : Bleu de chauffe du Maçon, peut d’ailleurs être bleu, surtout en Loge du même nom
SYMBOLISME : Art d’enfoncer les portes ouvertes. Exemple d’une planche sur la Porte :
“La porte est liaison disjonctive, dans l’Histoire de l’Homme comme dans les constructions qu’il édifie. Entre le dedans et le dehors elle pose en langage binaire (ouverte/fermée) la question de savoir si la détermination normative débouchera sur une synthèse codée potentielle. Avant d’y répondre, cette planche n’esquivera pas une question préalable : Tout cela n’est-il pas une histoire de gonds ? En effet, le symbolisme peut-il être l’apanage d’autres individus qu’une bande de gonds ?”
Pendant longtemps, je me suis interrogé sur les raisons qui poussaient infailliblement les gens à s’arrêter dans les portes ou aux endroits étroits; des années durant, je suis resté convaincu que c’était pour me faire ch… Et bien non : c’est tout simplement parce que cette porte, cet endroit étroit, marque un passage, ce qui n’échappe pas à leur subconscient qui hésite à franchir ce passage.
La notion qui me paraît devoir être développée est sans conteste celle de passage : une porte peut s’ouvrir ou bien entendu se fermer, sur quoi ? L’espoir ou le désespoir ? L’affirmation d’une finitude ou une ouverture vers un progrès ? La richesse ou le néant?
TABLIER : sert pour s’essuyer les mains après avoir copieusement taillé la pierre (sans pour autant avoir bataillé). Curieusement certains sont plus blancs que d‘autres.
Dialogue entendu à la colonne du nord: “Pourquoi ton tablier est il plus blanc que le mien ?” “Normal je le lave avec Ariel”
TOLÉRANCE : Tarte à la crème systématiquement lancée par ceux qui ambitionnent ne poser que des questions intelligentes : lorsque le silence s’installe lors d’un interrogatoire de profane par exemple, et qu’il faut craindre d’en être réduit à voir passer un ange, ce qui provoquerait un regrettable prurit chez certains, il se trouve toujours un bénévole (au sens d’homme de bonne volonté) pour poser cette question qui force le silence par l’importance qu’elle semble porter en elle et n’a pas pour moindre mérite de donner des idées aux imbéciles : que pensez-vous de la tolérance ? (Ce serait bien entendu trop facile de demander : “Êtes-vous tolérant ?”).
Ce calotin de Paul Claudel avait bien raison de dire : “La tolérance ? Il y a des maisons pour cela.” Les bordels sont, je le crois, le lieu idéal où peut s’épanouir la tolérance dans les objets qu’actuellement elle mérite, c’est à dire les petits travers. En dehors des écarts de conduite parfois bien compréhensibles et des excès de vitesse, il n’est rien de tolérable; il n’est en effet que des choses intolérables et des choses qui exigent qu’on s’y intéresse. (En Turc, paraît-il, tolérance se dit “regard aimant”.)
Il ne faut pas perdre de vue que ce qui était au 18e siècle une réelle vertu nécessitant pour être exercée un courage voisinant à la témérité s’est réduit aujourd’hui à un médiocre alibi permettant d’échapper à un conflit.
TROISIÈME : Ne mérite d’être pris en considération que s’il est précédé de Trente. La différence entre Trente-Trois et Trente-deux est plus grande que la différence entre n’importe quels autres nombres
VÉNÉRABLE : office de.
Le blaguer cet office, mais le convoiter. Quand on l’obtient toujours dire qu’on ne l’a pas demandé.
Protégé : Profane … – 1°- 22 septembre, 2019
Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Humour , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.incroyable rituel franc-maçon 33ème enfin devoilé 25 avril, 2019
Posté par hiram3330 dans : Humour , ajouter un commentaire
Rituel du Franc Maçon Glouton – Pastiche de l’instruction du grade 17 janvier, 2019
Posté par hiram3330 dans : Humour , ajouter un commentaireRituel du Franc Maçon Glouton
Pastiche de l’instruction du grade
(Le franc glouton arrive sur scène vêtu d’une toque blanche d’un tablier blanc de cuistot, il porte à la boutonnière un badge formé d’un triangle la pointe en bas dans lequel sont dessinées trois grosses molaires. Il a de l’embonpoint, une trogne de bon vivant. Le Tuileur s’assure de sa qualité sur le ton de la curiosité et de l’étonnement.)
Question : êtes vous franc glouton ? Réponse : Mes traits me font reconnaître comme tel !!!
Q : Qu’est-ce qu’un franc glouton ???
R : c’est un homme libre et de bonne humeur, et à toute ces choses qui donnent du goût à la vie : le foot, la télé, il préfère les épices et les marrons glacés. C’est un homme vraiment sans préjugés, qui baffre avec les riches comme avec les pauvres.
Q : mais alors qu’est-ce la franc gloutonnerie ???
R : la franc gloutonnerie est une société gourmande qui veut rétablir la bonne cuisine dans l’humanité et qui veut faire régner à table la fraternité.
Q : quels sont ses principes ???
R : la tolérance de toute écuelle, le respect de sa bouffe et de celle d’autrui, la liberté absolue de bombance.
Q : quelle est sa devise ???
R : boire, manger, éructer.
Q : boire, manger, éructer… ne convient-il pas de corroborer cette devise par un quatrième terme ???
R : oui, chanter !!!
Q : quels sont les devoirs du franc glouton ???
R : indépendamment de son devoir de nourrir ses frères et sœurs de table, le franc glouton doit travailler sans relâche à améliorer les repas élaborés par ceux qui sont à la tête de l’ordre. Pour cela, il goûte tous les plats qu’on lui soumet, puis il propage autour de lui les recettes qu’il a acquises. Pour cela, il est prêt à tous sacrifice.
Q : comment peut-on reconnaître un franc glouton ???
R : a des lignes, rots et attroupements
Q : comment sont les lignes ???
R : arrondies, épaisses, voluptueuses
Q : que signifient-elles ???
R : ne me le demandez pas ! J’aimerais mieux avoir la gorge tranchée que de révéler les secrets qui m’ont été confiés.
Q : voulez-vous montrer l’attroupement au surveillant des renseignements généraux ? (Il fait mine de chercher du regard puis désigne un groupe dans l’assistance)
R : là ! Ils sont là !!!
Q : donnez-moi le mot de passe.
R : c’est un rot (et il rote)
Q : que signifie ce rot ???
R : c’est le cri du premier homme qui selon la légende s’est mis à table.
Q : pouvez-vous me donner le rot sacré au rite hoqueté. A l’ail et au hareng fumé ???
R : (après quelques tentatives de rots avortés) je ne sais ni sortir, ni le décrire… je ne sais que le mimer. Si vous parvenez à l’éructer en premier, je pourrai peut être vous éructer un second.
Q : que signifie ce rot ???
R : satiété, à votre santé ! C’est d’après la légende adoptée, le grognement d’une des cochonnes se la tante de Salomon prés de laquelle les apprentis gloutons reniflaient le sale air. (Il renifle)
Q : les francs gloutons n’ont-ils pas d’autres rots de reconnaissance ???
R : il y a encore les rots de semestre. A l’époque de chaque solstice, le grand rotant adresse aux chefs de table, en flacons cachetés, deux rots destinés à constater la régularité des gloutons. Ces rots sont humés à table selon des règles établies, ils ne doivent être reniflés qu’a respiration basse, et sans sortir des bocaux bachiques.
Q : pour quelle raison vous êtes-vous fait recevoir franc glouton ???
R : parce que d’une façon symbolique, je mangeai dans les fast-food et que je désirais m’en mettre plein la lampe. (la société au milieu de laquelle nous vivons n’est qu’a demi civilisée : les nourritures essentielles y sont encore entourées de graisse épaisse)
Q : pourquoi vos yeux étaient ils bandés lorsque vous avez introduit à table, le jour de votre première invitation ???
R : pour marquer les sens de l’invitation qui est le passage de la bouffe sans odeur ni saveur à la bouffe odorante des connaisseurs.
Q : que vous a-t-on fait faire à table pendant que vous aviez le bandeau sur les yeux ???
R : on m’a interrogé à trois reprises et l’on m’a fait ingurgiter le contenu de trois grands verres.
Q : que contenaient ces trois verres ???
R : le premier contenait de l’eau ; le deuxième un excellent « moulin à vent » ; le troisième un rosé de « pierre feu ». Auparavant on m’avait enfermé à la cave sur un sac de pomme de terre, devant un œuf, une tête de veau et une salière !!!
Q : quelle est la signification des fourchettes dont les pointes étaient tournées vers vous quand le bandeau vous a été enlevé ???
R : (avec effroi) elles m’annonçaient que les francs gloutons n’hésiteraient pas à me dévorer si l’envie de manger venait à me passer.
Q : les fourchettes qu’ils emploient en diverses circonstances n’ont-elles pas d’une manière générale une signification symbolique ???
R : oui ! Elles en ont deux : avant 1789 elles symbolisaient l’égalité. A cette époque, en effet, les roturiers mangeaient avec les doigts, ainsi à table chaque glouton avait droit à une fourchette ; cette pratique servait à indiquer que tous les baffreurs sont égaux.
Q : pourquoi le chef de table qui vous a reçu vous a-t-il fait remettre une rose destinée à la femme que vous estimez le plus ???
R : parce que les francs gloutons – du moins ceux du GO … la gueule ouverte- n’admettent pas les femmes à leur table, mais ils ne peuvent pas s’enivrer sans penser à elles !!!
Q : quel est l’emblème de la bavette que vous portez ???
R : c’est l’emblème de la ripaille ; il rappelle au franc glouton qu’il peut s’empiffrer sans retenue. La bavette est le véritable insigne des francs gloutons qui doivent toujours en être revêtus à table.
Q : pourquoi les apprentis gloutons se tiennent-ils au nord de la table ???
R : le nord étant le côté le moins chauffé, cette place rappelle aux apprentis qu’ils n’ont qu’à bien baffrer s’ils veulent se réchauffer.
Q ; que signifie la passoire placée au dessus de la table, et le gros œil qui s’y trouve ???
R : cette passoire est l’emblème du ventre, le gros œil ouvert figure la gourmandise, il évoque cette maxime qui remonte à la plus haute antiquité : « il faut toujours avoir les yeux plus gros que le ventre »
Q : a quelle heure les francs gloutons se mettent-ils à table ???
R : a midi !!!
Q : pourquoi ???
R : midi c’est l’heure gastronomique par excellence !!!
Q : a quoi travaillent les apprentis francs gloutons ???
R : a casser la croûte.
Q : que fait-on à table ???
R : on y combat le régime et la minceur, on y glorifie l’ivresse et la gourmandise. C’est ce que les anciens formulaires bachiques traduisent par ces mots : « On y fait venir l’appétit en mangeant » « On y creuse sa tombe avec les dents »
Q : (en désignant le revers de la veste de l’interrogé) quel badge avez-vous ???
R : trois dents !
Q : qu’ambitionnez-vous ???
R : j’aspire à oublier l’horreur d’avoir «été trop grassement nourri parmi les francs glouton .
Il peut se mettre a table vénérable glouton.
Merci mon F:. Jérôme pour ce partage …
- https://www.hiram.be/ -
Protégé : LES ÉLUCUBRATIONS* D’UN VIEUX MAÎTRE APPRENTI – 1°- 1 septembre, 2018
Posté par hiram3330 dans : Bleu,Chaine d'union,Humour , Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.Merci parrain … 13 août, 2018
Posté par hiram3330 dans : Chaine d'union,Humour , ajouter un commentaireUNE BLAGUE MAÇONNIQUE…
Voici une blague maçonnique … Un brin d’humour ne fait pas de mal …
« Un petit lapin est assis devant son terrier, en train de d’écrire avec application sur un bloc-notes, une grosse paire de lunettes sur le nez.
Un renard affamé s’approche de lui sans bruit avec la ferme intention d’en faire son déjeuner.
Arrivé à quelques centimètres, le lapin relève la tête, toise le renard un instant avant de replonger dans ses écrits.
Plus qu’intrigué, le renard l’interpelle ;: » Hé ! Le lapin ! Tu fais quoi là ? »
Le lapin s’arrête d’écrire et en profite pour essuyer ses lunettes.
» Je suis en train d’écrire une planche maçonnique, ne te déplaise ».
Une planche maçonnique ?
C’est quoi le sujet que tu travailles ? . » Je démontre dans ma planche que les lapins sont les prédateurs naturels des renards… »
Le renard écarquille les yeux avant de se rouler par terre, mort de rire.
» N’importe quoi ! C’est nul !
Tout le monde sait que ce sont les renards qui sont les prédateurs des lapins, pas l’inverse ! »
Le lapin ne se départi pas de son calme et poursuit : » Et je parviens même à démontrer que les lapins sont aussi les prédateurs naturels des loups ! ».
» Des loups ! En plus des renards ? Mais c’est impossible, ça ne repose sur rien !
Tu ne peux pas affirmer de telles choses sans preuves. » . » Ha ! Mais attends ! J’en ai des preuves. Et des preuves indiscutables, même ! « .
» Tu as des preuves ? Sérieusement ? ».
» Oui, bien sûr, j’en ai plein mon terrier ; tu n’as qu’a y jeter un coup d’œil, si tu veux… ».
Sans attendre, le renard s’engouffre dans le terrier du lapin… Après quelques secondes, des bruits de lutte, des hurlements terribles se font entendre avant qu’un silence de mort ne s’installe..
Le petit lapin pose alors son bloc-notes, entre à son tour et se dirige vers un gigantesque lion trônant fièrement sur un tas de restes mortels de renards et de loups. Le petit lapin escalade le tas d’ossements sanguinolents, monte sur les genoux du lion et, en lui faisant trois bises, lui dit : » Merci parrain… »
En savoir plus sur http://www.gadlu.info/blague-maconnique.html#os2K0xT8qVZPm1cf.99
LA PESTE CORDONITEUSE 27 juillet, 2018
Posté par hiram3330 dans : Humour , ajouter un commentaireJ Y M, un lecteur de GADLU.INFO avait publié dans un commentaire ce texte « humoristique« , en indiquant :
- « Voici une pastiche de Jean de la Fontaine. Toute ressemblance avec le texte de l’auteur d’origine est voulu et n’a d’autre but que d’exciter«
Je le retranscris aujourd’hui dans un article à part entière !
LA PESTE CORDONITEUSE
Un mal qui répand la terreur
Que l’Architecte en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre
La cordonite étant son nom,
Dans le temple de Salomon
Faisait aux Francs-Maçons, la guerre.
N’y succombant pas tous, tous en étaient frappés
Et l’on n’en voyait plus, de vraiment occupés
A rédiger de planche, ou à toute autre envie,
Même le Ri-tu-el n’exitait plus leur vie.
Il semblait que chacun s’égarait sur la voie
En n’ayant plus d’amour, et partant plus de joie,
Le Grand Maître – en conseil – déclara « mes amis,
Je crois que le ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du Céleste courroux
Peut-être obtiendra-t-il, la guérison commune.
L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents
On fait de pareils dévouements,
Ne nous flattons donc point, voyons sans indulgence,
Mais par ordre de préséance
En respectant toute allégeance,
L’état de notre conscience
Pour moi, satisfaisant mes appétits de Gloire
Dans un poste, il est vrai tout à fait provisoire,
Je me suis revêtu de mon beau sautoir blanc
Et de mon tablier, brodé d’or et d’argent,
Allant de-ci, de-là, jouer à la vedette
>Y compris chez ceux de « Condorcet-Brosolette »
Il se peut qu’en ces faits réside mon offense
Je me dévouerais donc, s’il le faut, mais je pense
Qu’il est bon que chacun s’accuse, ainsi que moi,
Car on doit souhaiter, selon toute justice,
Que le plus coupable périsse ».
Très respectable Ami, vous êtes trop bon roi, dit le Grand Chancelier,
« Vos scrupules font voir trop de délicatesse
N’allez donc pas vous humilier.
Vous visitâtes tant de sotte espèce
de petits maçons de Province,
Vous êtres leur Prince,
Allant de leurs travaux jusqu’à faire l’éloge,
Et dans leur propre Loge
Est-ce un péché ? Mais non, vous leur fîtes Seigneur,
Au contraire, à chacun, infiniment d’Honneur »
« Ou bien », – dit le Grand Chancelier –
« Je vais, dans mon propre atelier,
M’accuser d’être aussi, un Cor-do-ni-to-mane,
Moi, qui depuis longtemps, de Brusselles à Lausanne
Transporte mes décors
En argent et en or »
Mais non, dit le Grand Secrétaire,
« Le coupable, c’est moi, voilà mon affaire :
Oui je suis un cordoniteux,
Sans être pourtant vaniteux,
Car en tant qu’inspecteur de nombreux ateliers
Je me dois de venir, revêtu du collier
De ma haute fonction
Mais sans ostentation. »
Ainsi, dit le Cher Frère, et les flatteurs d’applaudir
On n’osa trop approfondir.
Le Conseil Fédéral, tout entier, défila,
Avec cordons, sautoirs et autre falbalas
Le jury fraternel acquitta
Tous les Grands Officiers
Ne retenant contre eux, pas le moindre Iota,
Se comportant ainsi, en parfait justicier.
Ce fut alors le tour des Frères Vénérables
Et chacun, de son mieux, fit amende honorable
« C’est vrai – dit l’un – J’ai cherché les cordons,
Les honneurs même, les présidences,
J’en demande aujourd’hui dix mille fois pardon
En mesurant, hélas, mon degré d’impudence »
« C’est vrai -dit l’autre aussi –
Longtemps sur ma colonne, assis,
J’ai lorgné bien souvent
Sur le premier maillet
Et le fauteuil douillet
Qui se trouve au Levant »
Et je fais, aujourd’hui, devant vous, mille excuses
Car je sais maintenant, combien le pouvoir use »
« Assez, cela suffit – dit le Grand Maître – Enfin
Vous avez fait votre devoir
Et n’avez pas pu décevoir.
Mais nous ne pouvons pas, rester sur notre faim,
Il nous faut trouver un coupable
Dont le délit soit tout à fait indiscutable
Qu’on s’informe un peu mieux par devers ma maîtrise
Car c’est peut-être là, qu’il faut chercher traîtrise ».
Alors un vieux maçon, blanchi sous le cordon
S’approcha de la barre et demanda pardon
De porter dans le Temple un tablier brodé
Et partout frangé d’or, bien qu’un peu trop fripé.
» J’a i- dit-il un grand tort, devenu vieille cruche
De m’accrocher encore à cette fanfreluche »
» Mais non – dit le très cher, très cher, Grand Trésorier –
Tu as bien mérité ce joli tablier
Cinquante ans de travail et de capitations
T’ont largement valu cette décoration »
Un maçon ,Maître
Dit » J’ai été encouragé
Par quelques-uns, à postuler
Dans les Ateliers Supérieurs
Et j’en ai fréquenté plusieurs
Je me dois de me dévoiler.
J’ai travaillé en perfection
Puis en amour, puis en action,
J’ai porté différents sautoirs :
Bleu, puis pourpre, et rouge et puis noir,
Et maintenant j’en porte un : blanc,
Cela peut paraître troublant ? »
« Mais non – dit le Grand Orateur –
Tu nous fais beaucoup trop d’honneur.
En apportant au sein de ton Atelier Bleu
Des notions de Sanscrit, de Chinois… et d’Hebreu ».
» La Maîtrise est blanchie, affirma le Grand Maître
Mais il y a un coupable, et qu’il nous faut connaître.
Les premiers surveillants les trouvent bien mignons
Adressons-nous, alors aux frères Compagnons.
Dans une vieille, et grave, et symbolique affaire
Déjà sur ce degré pesaient bien des soupçons
Qui attristent toujours les Maîtres Francs-Maçons
Quand l’un passe au compas, en délaissant l’Equerre »
» J’avoue très humblement – dit un Compagnon sage –
Avoir, peut-être à tort, présumé de mon âge
En faisant coudre, ici, sur mon tablier blanc
Une bordure rouge, et puis dans mon élan
De l’avoir ouvragé
Avec la lettre G »
» Broutille que cela – dit le Très Respectable –
Certes, vous avez fait le pitre
En vous croyant dans un chapitre,
Mais ce qu’il nous faut, c’est un véritable coupable.
Tournons-nous vers les apprentis
Qui sont, paraît-il, si gentils
Mais leur apparente innocence
Peut camoufler leur délinquance
Qu’on fasse donc venir ici
Le plus jeune de ces petits
En le plaçant rituellement
Au garde à vous, face à l’orient ».
Le tout dernier des initiés
Fut donc à la fête associé
Impressionné devant un tel Aréopage
Grelottant de frayeur, la sueur au visage,
Le petit apprenti
Se mit à l’ordre et dit :
» Je crois bien franchement que c’est moi, le coupable.
C’était pour la Saint-Jean , ou d’Eté, ou d’Hiver,
En tous cas j’en suis sûr, pour des travaux de table
Avec le Grand Architecte de l’Univers
Je me suis revêtu d’un beau cordon de Maître
Qu’en ce jour de festin je croyais pouvoir mettre
Mais, il portait, c’est vrai, l’équerre et le compas
J’avoue bien humblement que je ne savais pas
Qu’il s’agissait pour moi de simple tolérance
E je mérite ici, beaucoup de remontrances ».
Un silence pesant glacé
Suivit ce propos insensé.
Puis très solennellement
Comme pour un enterrement
L’Orateur se leva et dit d’une voix forte
« Chers Amis, que le Grand Architecte m’emporte
– Et que ce soit inscrit dans le procès….verbal,
Si nous n’avons pas là, le coupable idéal.
N’ayant pas vu l’Etoile, ignorant l’Acacia,
Ne sachant pas qu’il n’est, pour l’instant, qu’un paria
Cet Apprenti s’excite et voudrait parader
Et pourquoi pas ? Parler, au lieu que d’É – PE – LER
Ainsi le prescrit notre cher catéchisme
Où allez-vous mon Frère ? Est-ce là nouveau schisme ? »
A ces mots on cria HARO sur l’apprenti
Et chacun déclara, refusant son parti,
Qu’il fallait sacrifier ce maudit animal
Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout le mal,
Sa peccadille fut jugée un cas pendable,
Se déguiser ainsi, quel crime abominable
Seule la radiation était vraiment capable
D’expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
C’est la dure loi, archaïque;
Celle du pavé mosaïque.
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Humour 27 décembre, 2017
Posté par hiram3330 dans : Humour , ajouter un commentaireVénérable épouse
Un Maçon se dispute avec son épouse.
Elle lui reproche de toujours faire rapidement lorsque son Vénérable Maître lui demande quelque chose , alors que , à la maison……..
La femme ajoute imprudemment :
– Ah , j’aimerai bien être Vénérable Maître !
– Moi aussi , j’aimerai bien que tu le sois !
L’épouse s’étonne :
– Et pourquoi donc ?
-Eh bien , parce qu’on en change tous les ans ou tous les deux ans !
Très « macho » , mais l’inverse est aussi vrai !!!
***
Emulation volatile
Ce Frère du rite Emulation avait beaucoup de mal à mémoriser son rituel . Aussi demande t -il à un F.°. plus âgé . Celui-ci lui conseil d’aller chez l’oiseleur du coin voir les « perroquets maçonniques ».
Avez–vous des perroquets Emulation pour souffler le rituel ? Demande t-il au vendeur .
bien sûr ! Répond ce dernier .
Celui-ci , avec le tablier de Vénérable coûte 1500€ , mais il connaît tout le rituel par cœur .
Et celui avec le tablier de maître ?
1000€ , mais il ne connaît pas tout .
Et celui-ci avec le tablier de Grand Officier
20€ ,seulement !
C’est pas cher ! Il ne connait pas tout ?
Si , mais quand vous vous trompez , il se contente de répéter : « c’est pas ça! , c’est pas ça ! , c’est pas ça ! »
***
Horloge de Loge
Après une vie bien remplie , Albert se retrouve à la Grande Loge d’En Haut . Saint Pierre est là , qui l’attend .
Notre Homme s’étant identifié comme maçon , Saint pierre lui demande :
Quelle Loge ?
Fièrement , Albert répond :
Lumière Céleste numéro 144 . J’en ai été le fondateur et le Vénérable Maître ….
Aussitôt Saint Pierre l’emmène dans la salle des horloges maçonniques . Albert regarde les centaines d’horloges , chacune ornée d’une petite plaque de cuivre sur laquelle est gravé le nom et le numéro de la Respectable Loge. Il s’étonne qu’aucune des horloges ne marque la même heure .
Saint Pierre explique :
C’est simple . Les aiguilles ne bougent que quand les FF:. De la Loge commettent une erreur de rituel .
Albert s’inquiète : Mais je ne vois pas l’horloge de ma Loge !
Oh si , elle est bien là , dit Saint Pierre , mais on l’a mise à la cuisine , on avait besoin d’un bon ventilateur !