R.I.P. Annick de Souzenelle (1922-2024) 17 août, 2024
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Annick de Souzenelle (1922-2024)
Un parcours spirituel exceptionnel
Annick de Souzenelle, née Meaulle, le 4 novembre 1922 et décédée le 11 août 2024, est une figure emblématique de la spiritualité contemporaine, reconnue pour son exploration profonde des traditions judéo-chrétiennes, de la Kabbale, et de la psychologie jungienne. Après des études initiales en mathématiques, elle commence sa carrière en tant qu’infirmière anesthésiste, avant de se réorienter vers la psychothérapie.
En 1958, après un cheminement spirituel marqué par son catholicisme de naissance, Annick de Souzenelle se convertit à l’orthodoxie. Cette conversion marque le début d’une quête spirituelle qui la conduira à étudier la théologie et l’hébreu, une langue qui deviendra centrale dans ses recherches spirituelles et dans sa compréhension des textes sacrés.
Au fil des décennies, elle devient une voix influente dans le domaine de la spiritualité, publiant de nombreux ouvrages où elle explore la symbolique du corps humain, les traditions hébraïques, et la Bible. Ses œuvres sont devenues des références pour ceux qui cherchent à comprendre le lien entre le corps, l’âme et l’esprit à travers le prisme des traditions anciennes.
Annick de Souzenelle développe une lecture unique de la Bible, estimant que la civilisation judéo-chrétienne est marquée par un culte de la souffrance et du sacrifice. Elle propose de dépasser l’opposition morale entre le bien et le mal, en mettant en avant la notion de cheminement vers l’accomplissement, qu’elle oppose à l’inaccompli. Selon elle, les crises contemporaines, y compris la crise écologique, sont le reflet d’une transgression des « lois ontologiques » qu’elle identifie dans ses travaux. Elle prône un retour à une spiritualité enracinée pour répondre aux défis actuels.
En 2016, elle fonde l’association Arigah, destinée à transmettre son enseignement et à rassembler ceux qui cheminent à ses côtés. Elle contribue également à l’animation de l’Institut d’Anthropologie Spirituelle, créé pour perpétuer sa vision d’une spiritualité intégrale.
Parmi ses œuvres majeures, on peut citer L’Égypte intérieure ou les dix plaies de l’âme (1991), Le Symbolisme du corps humain (Albin Michel, coll. « Espaces Libres », 1991), Le Féminin de l’être (2000), L’arc et la flèche (Albin Michel, 2003), L’alliance oubliée (Albin Michel, 2005), Résonances bibliques ( Albin Michel, coll. Spiritualités vivantes, 2006) et Va vers toi (2013), qui ont profondément marqué le paysage de la spiritualité contemporaine. Et tant d’autres titres…
Jusqu’à sa mort, Annick de Souzenelle reste une voix forte et respectée, laissant derrière elle un héritage intellectuel et spirituel considérable.
Elle décède le 11 août 2024, à l’âge de 101 ans, laissant une œuvre prolifique qui continue d’inspirer de nombreux chercheurs et adeptes de la spiritualité à travers le monde.
Annick de Souzenelle a apporté une contribution significative aux réflexions des francs-maçons
Annick de Souzenelle a nourri notre réflexion, notamment par son approche symbolique et ésotérique des textes sacrés et de la tradition judéo-chrétienne. Sa lecture profonde de la Bible, éclairée par la Kabbale et la psychologie jungienne, offre aux francs-maçons un cadre de réflexion riche en symboles et en archétypes, qui sont des éléments centraux dans les rituels maçonniques.
Son travail sur la symbolique du corps humain, ainsi que sa quête de l’accomplissement spirituel, résonnent avec les objectifs de nombreux francs-maçons, qui cherchent à intégrer la spiritualité et la moralité dans leur cheminement personnel. En mettant l’accent sur la transformation intérieure et la compréhension des « lois ontologiques », Annick de Souzenelle propose une voie de développement spirituel qui peut inspirer les francs-maçons dans leur quête de connaissance de soi et de l’univers.
De plus, son approche non-dualiste, qui préconise de dépasser l’opposition entre le bien et le mal pour atteindre une vision plus intégrale de l’accomplissement humain, s’aligne avec la philosophie maçonnique de la recherche de la vérité et de l’harmonie universelle. En somme, Annick de Souzenelle a offert aux francs-maçons des outils intellectuels et spirituels pour approfondir leur compréhension des mystères de la vie et renforcer leur engagement envers un développement intérieur authentique.
Chère Annick de Souzenelle, requiescas in pace !
Par
Yonnel Ghernaouti
12 Août 2024
Qui étaient les DIEUX BERBÈRES ? 11 août, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouette , ajouter un commentaireExploration du Mysticisme de Gurdjieff 28 juillet, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouette , ajouter un commentaireExploration du Mysticisme de Gurdjieff
Publié par Yann Leray sur 16 Juin 2024
George Ivanovitch Gurdjieff était un mystique et philosophe arménien dont l’influence sur la spiritualité moderne est considérable. Sa pensée est souvent considérée comme complexe et multidimensionnelle, englobant des éléments de philosophie orientale et occidentale, de psychologie, de mysticisme et de musique, ce qui en fait un personnage fascinant dans l’histoire de la pensée mystique.
Gurdjieff, né dans les années 1860, a consacré une grande partie de sa jeunesse à des voyages exploratoires profonds qui ont grandement façonné ses enseignements ultérieurs. Les régions qu’il a explorées — Asie Centrale, Égypte, Iran, et Inde — étaient des carrefours de civilisations et de croyances spirituelles diverses. Ces voyages étaient fondamentaux, car ils lui ont permis de s’immerger dans des traditions ésotériques et mystiques variées, et de rencontrer des maîtres spirituels qui ont eu une influence déterminante sur le développement de sa pensée.
En Asie Centrale, Gurdjieff est entré en contact avec les traditions soufies, qui mettent l’accent sur la quête intérieure et la réalisation de l’union avec le divin à travers l’amour et la dévotion. Les pratiques soufies de méditation, de récitation de mantras et de danse (comme le Sema des derviches tourneurs) ont pu influencer ses propres méthodes de méditation et ses mouvements sacrés.
L’Égypte, avec son riche héritage de mysticisme ancien, a également marqué Gurdjieff. Il a été particulièrement intéressé par les pratiques des prêtres et des initiés égyptiens, qui utilisaient des symboles ésotériques et des rites initiatiques pour transmettre des connaissances secrètes. Ces éléments se retrouvent dans la manière dont Gurdjieff structurait ses enseignements autour de symboles complexes comme l’Ennéagramme.
En Iran, Gurdjieff a probablement été exposé à d’autres aspects du soufisme, ainsi qu’à la philosophie de l’école de pensée de Mulla Sadra, qui combine des éléments de théosophie, de platonisme, et de mysticisme islamique. La conception de la transsubstantiation de l’existence et la primauté de l’expérience spirituelle directe dans les enseignements de Sadra pourraient avoir trouvé un écho dans la quête de Gurdjieff pour un « réveil » spirituel.
En Inde, Gurdjieff a été exposé aux enseignements yogiques et à la philosophie védique. Les concepts de karma, de réincarnation, et de moksha (libération) sont des thèmes que l’on retrouve sous différentes formes dans ses écrits. De plus, les pratiques de concentration et de méditation profonde (dhyana) ont influencé ses techniques de travail intérieur.
Ces voyages n’étaient pas simplement des explorations géographiques mais aussi des quêtes de savoir ancestral et de sagesse transculturelle. Les enseignants et les traditions qu’il a rencontrés ont contribué à façonner une vision du monde où l’interconnexion entre divers systèmes de pensée était fondamentale. Cette approche synchrétique a permis à Gurdjieff de développer un système de pensée qui, tout en étant enraciné dans des traditions spécifiques, était aussi universellement accessible et applicable aux défis spirituels modernes.
Au centre de la philosophie de George Ivanovitch Gurdjieff réside la notion provocatrice que la plupart des humains vivent dans ce qu’il décrit comme un état de « sommeil psychologique. » Selon Gurdjieff, cet état de sommeil se caractérise par une automatisation de nos pensées, émotions et actions, où nous fonctionnons en grande partie de manière inconsciente, réactifs aux stimuli externes sans une véritable prise de conscience de nos actions ou de nos véritables potentialités.
Gurdjieff considérait le « réveil » de cet état de sommeil comme une nécessité vitale pour le développement spirituel et l’accomplissement de soi. Ce réveil n’est pas simplement un moment éphémère de réalisation, mais plutôt un processus long et ardu, nécessitant un engagement profond et continu. Il voyait l’éveil comme une émergence progressive à une conscience de soi plus complète et authentique, où l’individu commence à vivre avec intentionnalité et conscience de sa propre nature divine.
Ce processus de réveil est ce que Gurdjieff appelait « le Travail ». Ce terme englobe diverses pratiques et disciplines qui visent à transformer la conscience de l’individu de l’intérieur. Parmi les éléments essentiels du Travail, on trouve :
Méditation et Attention : Gurdjieff enseignait des techniques de méditation qui visaient à augmenter la sensibilité et l’attention de l’individu à ses propres processus internes — pensées, sentiments, et sensations physiques. Cette pratique constante de l’attention devait aider à rompre le cycle de l’automatisation psychologique.
Mouvements et Danses Sacrées : Sont une série de mouvements délibérés et complexes que Gurdjieff développait et enseignait à ses élèves. Ces exercices, souvent exécutés en groupe, nécessitent une grande concentration et coordonnent le corps, l’esprit et les émotions. Ils sont conçus pour aider les praticiens à expérimenter et intégrer des états de conscience supérieure.
Observation de soi : Une partie cruciale du Travail est l’observation minutieuse et continue de soi-même. Gurdjieff encourageait ses élèves à observer sans jugement leurs comportements, habitudes et réactions automatiques. Cette pratique d’auto-observation vise à accroître la conscience de soi et à identifier les aspects de leur personnalité qui maintiennent leur état de sommeil psychologique.
Souffrance Consciente et Effort Intentionnel : Gurdjieff affirmait que le véritable changement nécessite ce qu’il appelait la « souffrance consciente » — un effort volontaire pour affronter et transcender les aspects les plus difficiles de l’expérience humaine. Cela implique souvent de défier les tendances confortables et habituelles de l’esprit et du corps, et d’embrasser l’inconfort comme un moyen de croissance spirituelle.
En résumé, la quête du réveil selon Gurdjieff est loin d’être un chemin facile ou direct. Elle demande un engagement total à se transformer de façon continue, à vivre consciemment et à développer une compréhension plus profonde de la réalité. Son approche reste une invitation audacieuse à explorer les profondeurs de l’existence humaine, à démanteler les illusions de l’ego, et à s’éveiller à une vie pleinement vécue dans la vérité de son être intérieur.
Gurdjieff a élaboré une compréhension unique des chemins spirituels à travers sa conceptualisation des « quatre voies », chacune représentant une méthode distincte d’approche du développement spirituel. Ces voies sont empruntées traditionnellement par ceux cherchant l’éveil ou la réalisation spirituelle, mais chacune possède ses propres défis et techniques.
La voie du fakir se concentre sur le contrôle et la maîtrise du corps physique à travers des pratiques ascétiques rigoureuses. Les fakirs s’engagent dans des pratiques extrêmes de renoncement et de résistance à la douleur, souvent pour atteindre un état transcendantal à travers la maîtrise physique.
La voie du moine est centrée sur la foi, la dévotion et la prière. Elle implique souvent une vie retirée du monde séculier, consacrée à la méditation, à la contemplation et à l’adoration religieuse, cherchant la connexion avec le divin à travers l’abandon émotionnel et spirituel.
La voie du yogi est axée sur la maîtrise de l’esprit. Elle comprend une série de disciplines mentales et physiques, notamment le yoga et la méditation, destinées à unifier le corps et l’esprit, et à réaliser l’auto-libération à travers cette harmonisation.
Gurdjieff propose une alternative à ces trois voies traditionnelles avec ce qu’il appelle la « Quatrième Voie », qui diffère fondamentalement en ne nécessitant pas de retrait du monde. Au contraire, elle permet à l’individu de poursuivre son développement spirituel tout en restant engagé dans la vie quotidienne. Cette voie n’exige pas la renonciation aux responsabilités familiales, professionnelles ou sociales, mais encourage plutôt à les utiliser comme matériel pour la croissance intérieure. Les pratiques de la Quatrième Voie sont conçues pour être intégrées dans les activités quotidiennes, où l’élève apprend à rester émotionnellement et mentalement présent et engagé tout en accomplissant des tâches ordinaires.
Un autre pilier important de l’enseignement de Gurdjieff est l’Ennéagramme, un diagramme symbolique qui illustre les interactions et les interdépendances des forces universelles et individuelles. L’Ennéagramme est utilisé par Gurdjieff non seulement comme un outil de développement personnel mais aussi comme un moyen de comprendre les dynamiques plus larges de l’univers. Il a enseigné que l’Ennéagramme révèle les lois cachées derrière les transformations physiques et spirituelles et peut être utilisé pour diagnostiquer des aspects spécifiques de la personnalité et du comportement, offrant des perspectives sur les voies potentielles de développement personnel.
L’un des aspects les plus provocateurs et profonds de l’enseignement de George Ivanovitch Gurdjieff est son approche de la souffrance et de la difficulté comme des instruments essentiels de la croissance spirituelle. Cette vision s’inscrit dans une perspective qui peut sembler, à première vue, stoïque, mais elle est profondément ancrée dans une compréhension du rôle actif que l’individu doit jouer dans sa propre évolution.
Gurdjieff différenciait entre la souffrance inutile, que nous expérimentons souvent de manière passive et réactive, et la « souffrance consciente », qu’il considérait comme cruciale pour le développement spirituel. La souffrance consciente implique une acceptation volontaire des défis et difficultés de la vie comme moyen de transformation intérieure. Au lieu de fuir la douleur ou de s’en plaindre, ses adeptes sont encouragés à l’observer attentivement et à l’utiliser comme un levier pour la croissance personnelle et l’auto-transcendance.
Le concept de travail volontaire chez Gurdjieff est étroitement lié à cette notion de souffrance consciente. Il ne s’agit pas simplement d’accomplir des tâches ou des exercices physiques, mais d’engager consciemment chaque aspect de son être—mental, émotionnel et physique—dans des activités qui sont intentionnellement conçues pour être difficiles et exigeantes. Ce travail n’est pas une punition mais une opportunité d’éveil et de renforcement de la volonté intérieure, visant à briser les habitudes de pensée et de comportement automatiques qui maintiennent l’individu dans un état de sommeil spirituel.
Gurdjieff voyait les épreuves et les défis non pas comme des obstacles à éviter, mais comme des catalyseurs essentiels à l’évolution personnelle. Chaque difficulté rencontrée est une invitation à se dépasser, à explorer les limites de sa résilience et à développer une compréhension plus profonde de soi-même. Cette perspective transforme les luttes de la vie en occasions précieuses d’apprendre et de grandir.
Bien que les idées de Gurdjieff puissent rappeler le stoïcisme par leur emphase sur la maîtrise de soi et la persévérance, elles sont distinctes dans leur but ultime. Pour les stoïciens, l’objectif est souvent de maintenir une certaine tranquillité face aux vicissitudes de la vie. Pour Gurdjieff, cependant, l’objectif est plus dynamique : il s’agit de transcender les limitations personnelles et de réaliser un potentiel supérieur. Cette transformation est perçue non seulement comme un processus de purification mais aussi comme une ascension vers un état de conscience plus élevé.
En somme, Gurdjieff réhabilite la souffrance et la difficulté en les plaçant au centre de la quête spirituelle. Il ne les glorifie pas pour elles-mêmes, mais les considère comme des outils indispensables pour atteindre une plus grande liberté intérieure et une réalisation plus profonde de notre nature essentielle. Ce faisant, il offre une voie qui, bien qu’exigeante, promet une récompense inestimable : la possibilité d’une vie pleinement consciente et vibrante.
En méditant sur les enseignements de George Ivanovitch Gurdjieff, nous sommes invités à envisager un voyage spirituel qui transcende les simples notions de confort et d’auto-satisfaction pour s’orienter vers une quête profonde de révélation et de transformation. Ce voyage, riche en défis et en récompenses, nous rappelle que chaque pas sur le chemin spirituel est une opportunité pour un éveil plus profond, un appel à reconnaître et à réaliser notre véritable potentiel.
Dans cette exploration, nous découvrons que notre propre éveil n’est pas un moment isolé de réalisation, mais un processus continu, un flux ininterrompu d’expériences qui façonnent et définissent la trame de notre existence. Comme les eaux d’un fleuve qui sculptent lentement mais inévitablement le paysage à travers lequel elles s’écoulent, notre voyage spirituel est une série d’interactions dynamiques entre notre soi intérieur et les forces de la vie qui nous entourent.
L’éveil, dans la vision de Gurdjieff, devient alors un art vivant, un acte créatif de participation consciente à la symphonie de l’existence. Chaque moment de souffrance consciente, chaque effort délibéré dans le travail intérieur, est une note dans cette mélodie, une étincelle de lumière dans l’obscurité de l’inconscience. Nous ne sommes pas de simples spectateurs dans notre quête spirituelle, mais des co-créateurs de notre réalité, sculptant notre destinée avec les outils de notre attention, de notre intention et de notre volonté.
Ainsi, le chemin spirituel selon Gurdjieff n’est pas seulement un chemin de découverte de soi, mais une invitation à participer activement à l’évolution de notre conscience. C’est un appel à embrasser pleinement la complexité de l’existence, à transformer les défis en opportunités de croissance et à voir dans chaque épreuve une porte ouverte sur des possibilités infinies.
En fin de compte, le mysticisme de Gurdjieff nous enseigne que notre plus grand potentiel réside dans notre capacité à vivre pleinement éveillés, à reconnaître dans le miroir de notre vie quotidienne le reflet de quelque chose de profondément sacré et extraordinairement ordinaire. C’est dans ce paradoxe que nous trouvons la clé de notre libération spirituelle, où chaque instant devient un lieu de rencontre avec l’infini, un sanctuaire de la présence divine.
Yann LERAY @ 2024
SOURCE : https://www.lesamisdhermes.com/2024/06/exploration-du-mysticisme-de-gurdjieff.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail
HISTOIRE DU DIEU HERMES DANS LA MYTHOLOGIE GRECQUE 26 juillet, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouette , ajouter un commentaireAlbert Einstein croyait-il en Dieu? Quelle était sa religion? 25 juillet, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouette , ajouter un commentaireJohn William – Du haut du Sacré-Cœur 17 juillet, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouette , ajouter un commentaireJ ai pardonné des erreurs presque impardonnables 13 juin, 2024
Posté par hiram3330 dans : Contribution,Silhouette , ajouter un commentaireJ’ai pardonné des erreurs presque impardonnables
j’ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables.
J’ai agi par impulsion, j’ai été déçu par des gens que j’en croyais incapables,
mais j’ai déçu des gens aussi.
J’ai tenu quelqu’un dans mes bras pour le protéger
J’ai ri quand il ne fallait pas
Je me suis fait des amis éternels
J’ai aimé et l’ai été en retour, mais j’ai aussi été repoussé
J’ai été aimé et je n’ai pas su aimer
J’ai crié et sauté de tant de joies,
j’ai vécu d’amour et fait des promesses éternelles,
mais je me suis brisé le cœur, tant de fois !
J’ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos
J’ai téléphoné juste pour entendre une voix,
je suis déjà tombé amoureux d’un sourire
J’ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et…
…J’ai eu peur de perdre quelqu’un de très spécial (que j’ai fini par perdre)…
Mais j’ai survécu !
Et je vis encore ! Et la vie, je ne m’en passe pas …
Et toi non plus tu ne devrais pas t’en passer. Vis !!!
Ce qui est vraiment bon, c’est de se battre avec persuasion,
embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant,
parce que le monde appartient à celui qui ose
ET LA VIE EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !
CHARLIE CHAPLIN
♥ ♥ ♥
SOURCE : https://www.gadlu.info/charlie-chaplin-j-ai-pardonne-des-erreurs-presque-impardonnables/
LE HASARD SELON HUBERT REEVES … et … L’UNIVERS N’A PAS TOUJOURS EXISTÉ | HUBERT REEVES 26 mai, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouette , ajouter un commentaire
A toi qui lis là 21 mai, 2024
Posté par hiram3330 dans : Silhouette , ajouter un commentaireA toi qui lis là
Le « hasard » a conduit tes pas ici, sur ce blog,
La curiosité t’a fait frapper à la porte,
La Fraternité t’a donné quelques clés de voûte …
Tu as souhaité découvrir,
Tu as souhaité discerner d’autres pensée,
Tu as souhaité apercevoir d’autres angles de vue …
Membre d’un Ordre, tu poursuis une quête,
Membre d’un Ordre, tu aspires à progresser,
Membre d’un Ordre tu désires un partage …
Il t’appartient maintenant de participer à cette chaîne fraternelle de partages …
A ton tour de poser une ou plusieurs planches ici,
A ton tour de montrer ton regard et l’élan de ton cœur,
A ton tour d’être un Maillon …
Je sais …
Tu ne te crois pas capable comme …, ou comme …
Tu ne te sens pas prêt à …
Tu ne t’imagines pas …
Pourtant
Tu es dans l’erreur, quasiment dans les ténèbres …
Tu es ainsi hors du chemin que tu as tant voulu emprunter …
Tu es … dans la fausse humilité …
Ma Sœur, Mon Frère,
Sois Fraternel dans le Partage …
Combien, comme toi, cherchent … urbi & orbi ?
Apporte ta contribution et ton aide sans compter, sans complexe, sans hésitation …
N’oublie pas le Miroir …
En ce 8 mai … .. 8 mai, 2024
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